Concile de Vienne

l'invasion des Turcs, demande à plusieurs reprises les aides de Rome contre les Seldjoukides. Le concile de Clermont En 1095, lors d'un séjour en France, le pape Urbain II prend acte de la fureur des chevaliers à qui les Turcs barrent dorénavant la route de Jérusalem (que les Arabes avaient toujours laissée libre) et répond à la demande d'Alexis Ier. Ainsi, le 27 novembre 1095, au cours du concile de Clermont qu'il a fait réunir, le pape lance un appel à la croisade4, et prêche pour secourir l'empereur byzantin et

Cappadoce au milieu du IVème siècle. Etymologiquement, le mot « hôpital » vient du latin « hostis », l’étranger, qu’il soit ami ou ennemi. Les premiers hospices apparaissent au VIème siècle à Reims, Arles et Lyon pour accueillir les pèlerins. Le concile d’Orléans donne en 549 aux hôpitaux, en application du principe de la charité chrétienne, la mission de « recueillir » les pèlerins, et les indigents, de les nourrir et d’en prendre soin, à défaut de pouvoir les soigner. Il confère en outre aux biens

devenir une réalité institutionnelle comme on peut encore le constater aujourd’hui. Elle va d’abord s’organiser en interne autour des évêques qui vont conduire cette église au niveau local et dont la réunion va déboucher sur ce qu’on va appeler les conciles dès 325. Il s’agit de parfaire l’organisation de l’Eglise, d’affirmer la discipline ecclésiastique qui doit s’imposer aux représentants de l’Eglise. L’évêque de Rome va progressivement imposer sa prépondérance. L’édit de Thessalonique proclame le

protestants) constituent un élément hétérogène dans l’unité allemande. Trouve une occasion d’agir dans le refus qu’oppose un petit groupe de catholiques allemands, les « Vieux catholiques », au dogme de l’infaillibilité pontificale proclamé par le Concile du Vatican. Soutenant ceux-ci contre les évêques, il prend une série de mesures hostiles à l’Eglise catholique qui sont présentées comme un combat pour la civilisation (Kulturkampf) contre l’obscurantisme. Les « lois de mai » prises de 1872 à 1875 :

Constantin, construit par le sénat en l'honneur de sa victoire au pont Milvius et de son decennalia. Vers 324-25, l'empereur réunira les évêques pour le concile de Nicée, qui définira l’Église orthodoxe. L'empereur est le chef de l’ Église et, par tradition, l'évêque de Rome est nommé Pontifex Maximus (Pape), soit le chef spirituel. Ce concile met en place le Credo Orthodoxe et définie par la même occasion les hérésies, tel que l'arianisme, courant dû Pontifex Maximus (Grand Pontife) : au prêtre

trois principes premiers : Dieu « a pris chair de la Vierge Marie », de par le Saint-Esprit, « et s'est fait homme » : le père, le Fils et le Saint Esprit. Cette théologie a été développée par les premiers Pères de l'Église, puis codifiée lors des conciles œcuméniques (rassemblement de tous les évêques et patriarches) Au sein de l'histoire théologique et institutionnelle du christianisme, tous se réfèrent évidemment à JésusChrist comme « seigneur » actuel. Mais les définitions sur sa personne, la

Rome est déjà consommée. C'est qu'entretemps Luther a aggravé son cas : en juillet 1519, lors de sa controverse avec Johann Eck (Disputatio de Leipzig), qui sera l'organisateur de la Contre-Réforme dans l'Empire, il met en cause l'infaillibilité des conciles. En juin 1520, Rome publie la bulle Exsurge Domine le menaçant d'excommunication, tandis que ses livres sont brûlés. Luther réagit en brûlant le 10 décembre à la fois la bulle papale et le droit canonique. L'excommunication, désormais inévitable

catholique romaine quand elle décide que le côté théâtral du style des artistes du baroque pouvait promouvoir des thèmes religieux avec une implication directe et émotionnelleR 5. C’est un art du catholicisme tel qu'il fut défini en 1545-1563 par le concile de Trente, dont le décret le plus significatif est le Décret sur l’innovation et les reliques des saints, et sur les images saintes. C’est donc une esthétique de la Contre-Réforme, que l'on retrouve particulièrement dans l'art jésuite ; on a d'ailleurs

Cathares hérétiques : le Languedoc. Il prit pour prétexte afin de lancer sa croisade, l’assassinat de son légat, Pierre de Castelneau, en 1208 sur les terres de Raymond VI de Toulouse. Il convia alors les archevêques de Narbonne, Arles, Embrun, Aix et Vienne, les comtes, barons et chevaliers du Nord de la France, ainsi que le roi de France Philippe Auguste, à se préparer à croiser contre les hérétiques. Ceux-ci venaient par l’assassinat de son légat de s’attaquer au pape et à l’Eglise Catholique. Raymond

se réduisait à peu près a la ville mais la prise de la ville et les trois jours de massacres provoquent une grande émotion en occident, ses successeurs comme Soliman le magnifique étant de l’empire du Maroc jusqu’à Bellegarde mais il échoue devant Vienne en 1529. L’Europe est face a cette expension en 1492. La reconquista met fin au dernier Royaume Arabo-musulman de la péninsule ibérique avec la prise de grenade la France et l’empire Ottoman salit dans les années 1530 pour comphéblir leur ennemis