Concile de Vienne

serait particulièrement mal perçu par les fidèles et les cardinaux, déjà mécontents de l'établissement de la papauté à Avignon Après de longues années de tergiversions, il finit par céder et proclamer la dissolution de l'ordre en 1312 lors du Concile de Vienne. En se servant de l'Inquisition, Philippe Le Bel a donc réussi son plan et sort bel et bien gagnant dans cette procédure. D'un point de vue financier tout d'abord, car la dette du Royaume contractée auprès des templiers se trouve bien évidemment

Réponse de Philippe IV le Bel à l’empereur Henri VII, (1312).accroche : “rex francia in regno suo imperator est” (le roi de France est empereur en son royaume). Les légistes royaux au XIII eme siecle tente de réaffirmer la souveraineté du roi de france face à l'autorité impériale. Cette formule voulait bien exprimer cette supériorité politique du roi et l’indépendance politique du roi vis-à-vis de toute autorité externe. philippe le bel : Philippe IV de France, surnommé

sera attribuée à tous. Il existait 2 types d’associations de réunion entre gaulois avant la Colonie : * les Druides à la tête de chaque clan se rencontraient. * Réunion entre les représentants des différents clans. Certains Conciles ont été convoqués par Jules César avant la conquête des Gaules. En l’an 12 avant notre Ère, une Nouvelle Assemblée des Gaulois fait son apparition : le Conseil des Trois gaules. On peut penser que ce conseil n’est qu1 avatar des anciennes pratiques

des piques, des épées ? Vous mettrez une petite boîte de sapin que vous appellerez l’urne du scrutin, et de cette boîte il sortira, quoi ? une assemblée en laquelle vous vous sentirez tous vivre, une assemblée qui sera comme votre âme à tous, un concile souverain et populaire qui décidera, qui jugera, qui résoudra tout en loi, qui fera tomber le glaive de toutes les mains et surgir la justice dans tous les cœurs, qui dira à chacun : Là finit ton droit, ici commence ton devoir. Bas les armes ! vivez

comprenait 5 livres. Vient ensuite le sexte de Boniface VIII qui comprend aussi 5 livres. Cette oeuvre se présente comme le 6ème livre des décrétales de Grégoire IX. On trouve ensuite les clémentines de Clément V qui rassemblent les canons du concile de vienne de 1312. en dernier, les extravagantes de Jean XXII. L'ensemble de cette oeuvre pris le nom de Corpus nouris canonis. Le droit canonique est en avance sur le droit laïque en matière de droit public, concernant la résignation des offices royaux

est le Christ ? Le prêtre Arius nous dit que le Christ n’est pas vraiment Dieu, cette affirmation d’Arius va à l’encontre du Concile de Nicée qui affirme le contraire. Un certain nombre de rois barbares vont se convertirent à cette hérésie. Lorsqu’il est fait roi, Grégoire de Tours dit de Clovis qu’il est le nouveau Constantin, le témoignage de Avit qui est évêque de Vienne, lorsqu’il relate le récit du baptême de Clovis va insister sur le fait que le baptême de Clovis a été approuvé par tous les

propage dans les autres pays d’Europe (Jean Calvin en France). Une conciliation est tentée entre les protestants et l’Eglise catholique mais celle-ci échoue et résulte en la Scission entre L’Eglise catholique et l’Eglise Protestante. 1545 : Le concile de Trente pousse à la contre-réforme et entraine une longue période de massacre et de guerres (ex : Massacre de la St Barthelemy en 1572) 1598= Edit de Nantes Edit de Nantes : Edit de tolérance signé 13 avril 1598 par Henri IV, par lequel le roi

théocratie est très ambiguë car une chose est de dire qu’il n’est pas de pouvoir qui ne vienne de dieu, mais il est autre chose de savoir de qui détient ce pouvoir. Dans la tradition chrétienne, seul le Christ a été vrai dieu et vrai homme. Dans le nouveau testament, il y a les quatre apôtres, dont celui qui compte le plus, St Paul. Ce dernier est l’auteur de la fameuse formule « il n’y a pas de pouvoir qui ne vienne de Dieu ». Il en reste la question de l’interprète de Dieu. Il y a deux formes

archiépiscopal de Reims Arnoul, un fils bâtard de Lothaire. Il pensait ainsi se rallier le parti carolingien, qui soutenait toujours Charles de Lorraine. Arnoul livre Reims au Carolingien, trahissant ainsi à son tour le roi, qui le fit déposer par un concile en 991. Gerbert fut alors, enfin, élu archevêque de Reims(1). Dans le même temps, son influence sur Otton III s’accroît. Après la mort d’Hugues Capet, en 996, l’empereur confie à Gerbert, en 998, l’archevêché de Ravenne. Désormais Gerbert ne quittera

la chose publique et l’utilité des églises ? Certes, l’un et l’autre savaient, compte tenu des circonstances et de la raison, épargner leurs sujets et dompter les superbes. Témoin ce passage tiré des livres où sont consignés les résultats des conciles de leur époque avec une souscription des évêques : « La justice, pour le roi, consiste à n’opprimer personne par abus de puissance, à juger, sans acceptation de personne, entre tout homme et son voisin, à être le défenseur des étrangers, des orphelins