Concile de Vienne

Budapest et jusqu’aux portes de Vienne, mais aussi des guerres qui déchirent la France dans la deuxième moitié du XVIe siècle, comme de la politique de répression de l’hérésie et de la sorcellerie dans les tribunaux de l’Inquisition italienne ou espagnole. L’époque est celle des réformes religieuses : la réforme protestante et la réforme catholique, qui est aussi, en partie une « contre-réforme », c’est-à-dire, notamment dans le cadre de l’œuvre disciplinaire du Concile de Trente, une réponse à la réforme

la Rennaissance. 1570 : Palladio ; Principe permanents du classicisme Renaissance maniériste (après Bramante 1527-1563) Renaissance maniériste en Italie (1527 (sac de Rome-1666 fondation de l'Académie Française de Rome ou 1563 fin du concile de Trente ) CENTRES = ROME & VENISE = PHASE, pas un style Grandes découvertes, inventions, tensions, nouvel intérêt pour la nature. -Double source d’inspiration : antiquité et maîtres modernes( artistes classicisants. -Prise de conscience

quitter l'empire. Mais trop pris dans ces luttes contre le roi de France, il délaisse les affaires en Allemagne. Quand Charles Quint retourne en Allemagne en 1530, les protestants ont gagné du terrain. L'Empereur réclame de la papauté la réunion d'un concile, mais il se heurte au refus catégorique de Luther. Il en vient en 1546 à employer la force. Malgré sa victoire en 1547 sur l'armée luthérienne, il doit signer un traité en 1555 qui reconnaît l'existence dans l'Empire des deux confessions. Cet attachement

conserver son titre de roi. Il lui fallu pour cela faire acte de soumission Les années de repli Mais Arnulf était décidé à éliminer Rodolphe. Il commença par l’isoler en favorisant la formation, en 890, d’un nouveau royaume bosonide centré sur Vienne et la Bourgogne méridionale. Puis en 894, profitant d’une expédition qu’il conduisit en Italie, il ravagea la Bourgogne transjurane mais sans parvenir à capturer Rodolphe. En 895, Arnulf partagea le royaume de Rodolphe entre le bosonide Louis et son

l'histoire du jansénisme aujourd'hui reste encore à faire dans son ensemble, car pendant deux siècles l'esprit de polémique l'a emporté[2]. » S'il est d'abord une défense de la théologie augustinienne dans un débat ouvert par la Réforme protestante et le concile de Trente, il devient ensuite une mise en pratique concrète de cet augustinisme. La lutte contre l'ultramontanisme et l'autorité romaine lui donne un caractère gallican qui devient une composante essentielle de ce mouvement. Dans la France absolutiste

République romaine 1. Les leges rogatae : des lois votées Résultat d’un vote accompli dans le cadre d’assemblées populaires qui sont de deux sortes : - comices, assemblées regroupant les citoyens en fonction de critères géographiques et fiscaux) - les conciles de la plèbe, -287 décisions assimilées à des lois on parle de leges rogatae. Lois sont les + nombreuses sous la république au départ préparées par les magistrats qui émettent un projet de loi qui doit être validé par le sénat. Les citoyens peuvent

disciples : « Celui qui voudra être le premier d’entre vous sera votre serviteur. ». Unam Sanctam est donc une bulle pontificale de Boniface VIII sur l'unité de l'Église donnée le 18 novembre 1302. Cette bulle fut lancée à l'occasion d'un concile de prélats français réunis à Rome. Elle proclamait la suprématie de l'Église sur l'État, et ce qui en découlait, autrement dit l'obligation pour toute créature humaine de se soumettre au souverain pontife. Il ne semble pas que ce texte soit

abbatiales ou épiscopales, recouvrant les droits de collation et de patronage Ces trois prérogatives, et d’autres dont il ne sera pas question ici comme la réception en France des actes du Souverain Pontife ou la croyance en la supériorité du concile général sur le Pape, vont être appelées par les légistes et canonistes français les Libertés de l’Eglise gallicane. Elles vont être successivement confiées au Roi de France, qui en sera considéré comme le gardien, puis au Parlement, qui s’érigera

qu’en 1492) et surtout aux Turcs, très menaçants au Sud-Est : ils envahissent la Syrie et l’Egypte en 1517, Rhodes en 1521, ils prennent Belgrade en 1522, remportent la victoire de Mohacz qui leur ouvre la plaine de Hongrie en 1526, ils sont devant Vienne en 1529 ; aux orthodoxes enfin : une union avait été conclue à Florence en 1439 mais elle avait été refusée par la population grecque et la chute de Constantinople en 1453 lui enlève toute raison d’être ; on se méfie beaucoup de ces chrétiens pas

reconstruit après les fréquentes famines du XIV (peste noire 1347- 1351), la difficile position de l’Eglise avec le schisme de 1378 (papes d’Avignon), les guerres récurrentes (guerre de Cent Ans) et l’expansion turque (prise de Constantinople 1453, Vienne menacée en 1529). PREMIERE PARTIE LES ETATS EUROPEENS VERS LE MILIEU DU XV ème 1 Les cadres politiques Les monarchies nationales s’imposent. La Suède des Wasa, l’unification espagnole de la Castille et l’Aragon avec la fin de la Reconquista