Conclusion Britannicus

J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce ; J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer, ont attendu le jour. Racine, Britannicus, 1669 (acte II, scène 2) Commentaire Composé Comment le récit de l'enlèvement de Junie révèle-t-il de la part de Néron un amour ambigu ? I. Un récit en contraste A. Le récit de deux visions récit d'une vision réelle : temps

de situation, de mots, de caractère et de geste. Ensuite, nous pouvons pensez que tous les auteurs n'écrivent pas dans le but de devenir une légende comme Victor Hugo ou Jean Racine, avec des œuvres telles que Le Dernier Jour d'Un Condamné ou Britannicus. Il va de soit que certains écrivains restent lucide quand ils commencent à être célèbre. John Grisham, auteur de romans judiciaires déclare clairement : « Je vous assure que je suis parfaitement conscient que je n'écris pas des fictions dont les

différemment d’un empereur ambitieux par exemple). 4 points • L’expression est fluide et claire. Je recours aux procédés du discours. 8 pointsCandidats Élevés concernés 1. Auguste Chloé M. 2. Tibère Jeanne 3. Caligula Jibril 4. Claude Abel 5. Néron + 6. Britannicus + 7. Agrippine Sacha

contrer la volonté divine et la malédiction vaine. Expression tragique de l’amour contre lequel toute tentative d’échapper au sentiment est vouée à l’échec CONCLUSION : Tirade ou se lit la quintessence de l’amour selon Racine Regard déterminant un coup de foudre aliénation et dépossession de soi ces aspects qui on retrouve dans Britannicus et Iphigénie sont portés ici à un degré de violence extrême en raison de la nature mène de cet amour qui par sa monstruosité inscrit Phèdre dans filiation maudite

envisagée que dans un seul but : faire réagir le lecteur. III. Effet recherché : faire réagir le lecteur pour mieux le persuader Emouvoir le lecteur a) Susciter la pitié Exemple : Hugo « Joyeuse vie » , Racine, « Britannicus » Interprétation : A travers le vocabulaire de la misère ou de la souffrance ; des procédés d’exagération et autres, l’auteur rallie le lecteur ému à sa cause. b) Provoquer l’identification Exemple : Roger Martin

fin de laquelle se situe le sommet et la deuxième est descendante (partie rouge): ! 1 De plus, d’autres éléments qui sont fondés sur l’écoute interviennent au théâtre. Tout d’abord le rythme peut être saccadé, lent. Par exemple dans Britannicus de Racine, le rythme des alexandrins présents est très lent pour souligner le style tragique de cette pièce. Le rythme peut être aussi rapide, avec les vaudevilles, comme, On purge bébé de Georges Feydeau en 1910. Ces caractéristiques appartenant

s’essaie à la médecine. Surprise dans la conclusion de la pièce, qui d’autant plus est entrecoupée par des intermèdes musicaux qui augmente cette intensité. • Commedia dell’arte et Arlequin Transition : « Dom Juan », Jean-Baptiste Poquelin : exemple du tragicomique, fin tragique qui reste tout de même comique. II. La tragédie classique en cinq actes et les règles de Boileau A. La place aux personnages et à l’effet de catharsis • « Britannicus », Jean Racine : les sentiments priment,

Le 17ieme français est le siècle du théâtre classique. Racine est un dramaturge qui a sus faire des règles des atouts pour son théâtre. Le succès d’Andromaque ne s’est pas démenti depuis sa création, avec Phèdre et Britannicus, elle est la tragédie la plus jouée. La pièce se déroule après la guerre de Troie. Andromaque, veuve d’Hector est devenue la captive de Pyrrhus, roi d’Epire. Il menace à de nombreuses reprises de mettre à mort son fils si elle ne se décide pas à l'aimer, mais repousse la mise

prémices d’un coup de théâtre et le moment de la révélation du double jeu est toujours un temps fort de la pièce. Ce peut être un moment de surprise, par exemple quand le spectateur, après avoir entendu Narcisse se faire le confident dévoué de Britannicus et feindre la sollicitude, le voit obéir traîtreusement à Néron. Ce peut être un moment où le spectateur sent concrètement le poids de la fatalité sur le personnage : dans Ruy Blas, le laquais, démasqué par luimême aux yeux de la Reine par ses

avec les nerfs du spectateur. Ce type de rivalité sert de ressort tant à la comédie qu’à la tragédie et se double parfois d’une lutte pour le pouvoir. Dans Britannicus de Racine, une double rivalité oppose Néron et Britannicus. Néron enlève à son demi-frère son amante Junie en même temps qu’il lui ravit l’empire, par usurpation ; Britannicus, entré au palais, se fait arrêter ; le conflit explose alors et se concrétise par un affrontement, masqué d’abord, puis ouvert, à rebondissements. Le conflit