Conclusion Education Sentimentale

quatre formes b) Naissance de l’amour selon Stendhal c) Du coup de foudre à la première « cristallisation » III) La plus grande beauté mène au malheur a) L’engouement b) Le coup de foudre IV) La jalousie a) Le doute de l’amour-passion b) Conclusion Jai choisis de détaillé le thème de la cristallisation, car c’est le ‘cœur du livre’ A* Genèse : en 1818 Stendhal résidait à Milan depuis presque 4 ans, lors de son arrivé il n’était rien, sans image. Après une période d’isolement plutôt moral

consiste à développer une anecdote. L'argument a toutes les apparences de la justesse, de l'exactitude. Il apparaît incontestable d'autant plus que l'adverbe « merveilleusement » renforce l'argument. Histoire ressemble à celle de Mlle de St Yves et la conclusion montre à celle-ci ce qu'elle a à faire. Il a justifié par ces quatre arguments les exactions de puissance qui met la jeune fille devant un dilemme cornélien. Bilan : Habileté de Voltaire qui ironise en enrobant le discours immoral du jésuite

critique littéraire…   Conclusion : Cet extrait est donc bien identique à tous les autres contes philosophiques de Voltaire, qui utilise ici une nouvelle fois comme outil critique le regarde étranger, et s'en sert pour introduire une partie de l'ironie présente dans ce passage. On retrouve ici aussi une sévère critique du Jansénisme et de la religion chrétienne. Une critique acerbe et quasi systématique Voltaire utilise la forme du conte, ou plutôt du roman sentimental et larmoyant alors à la

admiration bien perçue par la dauphine et sans aucun doute Nemours, mais sous-entendue ici car elle tente de la cacher). L’embarras ressenti lors de l’échange avec la dauphine s’explique par la pudeur, la réserve de la princesse et le poids de son éducation. Cet embarras peut être aussi analysé comme le signe d’un amour impossible entre les deux êtres. * leurs discours sont différents : - la princesse se garde de dire qu’elle a reconnu son cavalier (cf. ci-dessus) : « Je vous assure…si bien que

l'histoire ait une fin heureuse, et qui ne choque pas la morale commune : les méchants sont punis, et le jeune héros sera récompensé pour avoir fait, même si tardivement, le choix de rejoindre le camp de l'ordre, personnifié par la Chevalière. La conclusion, en particulier, qui fait défiler sur un rythme accéléré les péripéties de la vie d'adulte de Louis-Marie, ne présente qu'une succession de bonheurs, domestiques et professionnels, à peine ternis par la parenthèse mélancolique du retour à Brest

j’avais toujours cru que le français était la plus belle de toutes les langues après le bas-breton. » Par ailleurs, l’éducation provinciale transmettant des préjugés est remise en cause au chapitre XVIII : « Ce n’était plus cette fille simple dont une éducation provinciale avait rétréci les idées. » D’autre préjugés de registre religieux et philosophique seront critiqués par l’Ingénu lors de ses discussions avec Gordon, ou directement par le narrateur (chapitres X, XI et XIV). L’Ingénu fait donc

dans l’œuvre, comme un dieu présent partout, visible nulle part. Hostile à toute manifestation littéraire puisqu'il recherche le beau. On reproche alors les longues descriptions de Flaubert. Il s'oppose à la formulation de toute idéologie. Education sentimentale, peinture ironique de la révolution de 1848, génération versatile, qui se nourrit des idéaux romantiques. La critique passe par une distance ironique, l'objectivité de l'écriture. Création d'effets de sens. Point de vue de Moreau = les événements

d’un héros que Voltaire veut faire réfléchir. Il y a ainsi un mélange avec le roman d’aventures car le héros est amené à voyager et à faire des rencontres hors du commun et c’est ainsi qu’il va s’instruire. Pour finir nous pouvons inclure le genre sentimental de cette œuvre, un genre qui était très à la mode au XVIIIème siècle. III- Dans son conte Voltaire traite dans chaque un de ses chapitres un thème différent. Dans son premier chapitre il évoque premièrement la critique de l’Eglise avec St-Dunstan

2/3 page, on ne peut non plus parler de nouvelles Beaucoup de thèmes abordés, très évocateurs, très révélateurs de ses thèmes de prédilection, ses idées favorites, ses convictions, Gigi : éducation des filles, délurées, suranné, écrit en 47, vers la fin de sa vie, style ampoulé La retraite sentimentale : agréable à lire quand elle décrit la nature (thème récurrent chats/chiens), elle se sent vieillir, décrit la déchéance d'une femme et ne veut pas que cela se voit Autobiographies : La bisexualité

MOINS UN PROCÉDÉ LITTÉRAIRE dans votre paragraphe afin d’étayer votre thèse ou votre aspect principal. Conclusion partielle : Cette partie de votre texte sert à faire la synthèse de votre argumentation en lien avec le sujet de l’analyse. Une phrase de transition à la fin du premier paragraphe effectue un lien pertinent avec le paragraphe suivant. Catherine Arvisais-Castonguay Page 1 Conclusion (environ 60 mots) Synthèse : La synthèse consiste en un retour sur la thèse de départ et sur sa véracité