Conclusion Fable Sur Le Renard

SEQUENCE N°1: POUVOIR ROYAL ET COURTISANS CHEZ LA FONTAINE Texte n°1 : Les Animaux Malades de la Peste (Livre VII, fable 1) Procédés Citations Interprétations Récit Situation initiale (v1-v14) + élément perturbateur (v18-v19) : Pb énoncé : ravage de la peste Péripétie 1 (v30-v33) : Discours & solution du Lion Montre l’exemple Péripétie 2 (v34-v44) : Discours flatteur & habile (ordre hiérarchique non respecté + pas de confessions) Péripétie 3 (v45-v49) : Confession des puissants Elément

« Les animaux malades de la pestes », Fables, VII, 1 PB : Dans quelles mesures cette fable illustre-t-elle la devise classique du classicisme : plaire et instruire ? 1er axe : PLAIRE - animaux personnifiés parlant et hiérarchisés (lion (carnivore) ( en haut / âne -> en bas / renard ( courtisant) - Recours au discours direct = rend plus vivant + révèle le caractère des animaux - Théâtralité - Variété dans les discours apportés - Histoire bien construire

des hommes et les abus auxquels leur condition les conduit, contribue elle aussi à rendre l’apologue humoristique. Chez la Fontaine, c’est le milieu hypocrite et injuste de la cour qui fournit bien souvent la cible de la satire, comme le montre la fable Les Obsèques de la lionne, qui met en scène le succès que l’on rencontre en mentant devant les rois. Les animaux malades de la peste dénonce de même les « jugements de cour », capables de condamner l’innocent au mépris de toute équité. Mais l’apologue

ensuite nous allons présenter les arguments qui nous feraient pencher vers l'efficacité supérieure de l'argumentation directe ; pour continuer nous allons présenter les arguments réfutant les deux types d'argumentation afin de déboucher sur une conclusion cohérente puis un élargissement. Tout d'abord, nous allons commencer par parler de l'efficacité de l'argumentation indirecte, c'est un type d'argumentation qui consiste à ne pas donner son point de vue personnel clairement mais d'utiliser des

le but que celui-ci accorde à son travail. Dans l’extrait que nous allons analyser, Jacques Moussarié commence son propos par «  il n’a jamais voulu donner de leçons (l.1). Donnons, dès maintenant, pour plus de précision, la définition d’une fable. La fable est une histoire imaginaire généralement rédigée en vers dont le but est d’illustrer une morale. L’auteur met en avant le dégoût de La Fontaine pour les pédants, ces auteurs qui se complaisent à faire l’étalage de leur érudition littéraire.

une chronologie , on peut diviser le texte en 2 parties : • Tout d’abord le récit de l’histoire • Puis le message de la Fontaine (v. 30 à 43) Cette fable possède un schéma narratif : • Une situation initiale (v. 1 à 6) • Des péripéties (v. 7 à 21) • Un élément perturbateur (v. 22 à 23) • Une situation finale (v. 24 à 29) ● Cette fable est construite comme un petit drame en 3 actes et d’un épilogue . La fontaine à rédigé à l’aide de parties d’inégales longueur. Il insiste tout particulièrement

destinées à l’éducation du jeune Dauphin, le fils du roi Louis XIV alors âgé de sept ans, elles revêtent dans leur première publication un aspect simpliste et enfantin comme en témoigne par exemple la morale de la Cigale et la Fourmi ou du Corbeau et le Renard ; leur moralité devient cependant plus complexe et plus subtile au fur et à mesure des publications, qui visent un public de Cour de plus en plus large et de plus en plus raffiné, rompu à l’art de la rhétorique et des conversations mondaines. Les

comme un agneau La Fontaine choisi les animaux de ses fables en fonctions du trait de caractère qu'il présente: -Le Loup: cruauté -Le Lion: force, roi -La Colombe: paix, liberté -Le Paon: fierté, orgueil -Le Singe: imite, hypocrite -Le Renard: ruse Souvent les deux animaux ont deux caractères opposés. Ici l'innocence de l'Agneau s'oppose a la férocité du Loup, qui apparaît comme un prédateur: il est soumis à la faim (« survint à jeun et cherchait aventure ». B) Un discours qui

la Fontaine, 1678 Introduction : La Fontaine est un auteur du XVIIème, siècle du classicisme, courant qui se veut pédagogue, tout en offrant des œuvres plaisantes à la lecture. La Fable se prête bien à cet idéal puisqu'elle se compose du récit, dont la fonction est d'illustrer la morale : 'Le corps est la fable ; l'âme la moralité" dira La Fontaine. "Les Obsèques de la Lionne" est tiré du deuxième recueil des Fables, dédiées au Dauphin, alors âgé en 1668 de 7 ans. Le fabuliste affirme dans

« L'ANIMAL ET L'HOMME » ABORDÉES DANS CHACUNE DES TROIS ŒUVRES DU PROGRAMME   1-    La Fontaine, dans ses Fables et tout particulièrement dans le second recueil métamorphose la fable d'ésope en poeme ; ce qui sert au mieux sa quadruple mise en œuvre du thème « l'animal et l'homme »   1.1- Conformément au genre de la fable, l'animal sert à peindre et instruire l'homme : l'allégorie animalière. 1.1.1-     « il faut travailler à rendre les habitudes bonnes… Or quelle méthode y peut contribuer plus