Conclusion Le Mendiant

perdre, c’est aussi un symbole de la solitude. Ce pauvre pas pauvre par accident = choix religieux, celui de se retirer du monde et de se mettre au service de Dieu : l134-135.se consacre à l143 → un ermite qui se consacre à Dieu et se faisant mendiant. Le terme d’« aumône » l 132 € vocabulaire religieux. 2) Un personnage obligeant et désintéressé - Le pauvre se répond à avec une grande politesse (voir le « Messieurs » placé en incise) et avec précision. registre de langue soutenu (ce n’est

occupent et travaillent nos corps » montre des péchés dangereux. En effet, ici « occupent » est synonyme d’assiéger et « travaillent » nous renvoie à l’étymologie de ce mot trepalium qui était un instrument de torture. La comparaison « comme les mendiants nourrissent leurs vermines » (vers 4) montre que les hommes acceptent et ont de la complaisance pour ces vices -> allitération en « m » et en « i ». Les vices grouillent donc dans nos cerveaux. Cette idée est renforcée par la métaphore vers 22 «

parce qu’ils exercent des métiers impurs et/ou dégradants comme le boucher ou la sage-femme qui sont en contact direct avec le sang. On les appelle comme ça car il est interdit de les toucher. On y retrouve aussi dans cette catégorie d’exclus les mendiants, chasseurs, pêcheurs… 2) Le système des castes ou Jati: Il n’existe pas une caste mais plusieurs castes et chaque caste à besoin de l’autre pour se maintenir en vie. C’est cette interdépendance que l’on appelle un « système ». Cependant, il n’existe

quatrain : lumière, mouvement, présences multiples. Ainsi peut également mieux se comprendre l’expression « En tous sens », qui laisse à chacun, mais surtout au poète, la possibilité d’interpréter dans des significations diverses le monde évoqué. CONCLUSION : Ce sonnet retrace donc la composition d’un texte poétique, en montrant la position du poète dans le monde mystérieux, lumineux et mouvant de ce qui n’est pas encore de la poésie mais qui va le devenir grâce à la présence, même pauvre et misérable

provoquaient de la peur autour d’eux car ils étaient considérés comme des sorciers ayant des capacités précognitives. Cela amenait à penser qu’ils étaient en relation avec le diable. Ils étaient aussi persécutés, car ils avaient la réputation de vivre en mendiant et en volant. De plus, le fait qu’ils n'étaient pas baptisés attisait la méfiance car à l'époque cela avait unegrande importance. Néanmoins, ils inspiraient un peu de fascination par leurs comportements libres et sans attache à part avec leur peuple

* Martin est soldat en Gaule à l’époque. Un jour d’hiver 334 ou 335, il rencontre un mendiant transi de froid, à qui personne n’est venu en aide. Ayant déjà donné un vêtement à un autre pauvre (« il avait déjà sacrifié le reste pour une bonne œuvre analogue » l7), il a l’idée de partager sa chlamyde (manteau court et fendu, agrafé à l’épaule) en deux avec son épée (l8), et d’en offrir la moitié au mendiant. La nuit, il rencontre le Christ en songe, vêtu de la chlamyde du pauvre (l13), venu honorer

accomplir au visiteur avant de lui remettre un présent ; l’explication du geste est qu’il recevra ce dont il demande en toute dignité. C’est ainsi que jusqu’à ce jour, j’ai des hésitations à remettre des jetons aux mendiants (bien portants) aux abords de la route. Au lieu d’être « ce mendiant déguenillé, sollicitant l’attention et la pitié de la multitude » comme l’a dit Victor Hugo, il faut chercher à vivre en toute dignité en agissant, en luttant, en travaillant en vue de gagner sa vie. Par ailleurs

des autres· Le pauvre = dandysme de la misère, il pause aux pauvres, aux mendiants, aux exclus. « le convoi du pauvre » se compare à un peintre famélique, beaucoup de peintre se suicide à l’époque. Habite à Montmartre qui est le lieu des martyres. « un riche en Bretagne » portrait du pauvre Breton qui est un modèle sociale, esthétique pour C, il remercie en hébreux, une langue autre. Effet d’intertextualité // « le Mendiant » de Hugo. Le motif du lépreux « fière comme un lépreux » noblesse, fierté

constituent le dénouement de la pièce. L’heure du châtiment a sonné : Dom Juan s’est joué du mariage par de fausses promesses à Elvire (noble), Charlotte et Mathurine (2 paysannes). Il s’est également joué de la religion, en tentant de faire jurer un mendiant et en pénétrant dans le mausolée contenant la tombe du Commandeur (officier supérieur) qu’il a affronté et tué en combat singulier. Par provocation, il a invité la statue du commandeur à souper, or à l’acte suivant la statue apparaît dans la

des témoins, ce sont toutes des personnes de son entourage qu’Emma n’aimait pas vraiment. II°/ Une mort pleine de symboles A) L’aveugle, personnage maudit, accompagne Emma dans sa mort -« Tout à coup » -> rupture dans le récit. Apparition du mendiant aveugle. - L’aveugle se situe « sur le trottoir », et donc dehors, ce qui créé une opposition intérieur/extérieur. On voit ainsi que, malgré l’agonie d’Emma, la vie continue à l’extérieur. -L’ouïe, un des seuls sens qu’il reste à Emma, à une place