Conclusion Le Réalisme

Un peuple en marche A. L'arrivée des femmes B. L'arrivée des hommes II) Une révolte placée sous le signe de la violence A. Les raisons de cette fureur B. Une misère qui déshumanise et qui animalise C. De la révolte à la révolution Conclusion 
 Descriptif Ce commentaire littéraire propose une analyse approfondie du chapitre 5 de la cinquième partie de Germinal de Zola, avec le texte étudié, une mise en contexte et le commentaire en lui-même, structuré en différentes parties. Des

à l’époque romantique 4) Le roman historique 5) Le théâtre à l’époque romantique 6) La poésie et le poète à l’époque romantique V. Le Parnasse 1) L’histoire du Parnasse 2) La poétique du Parnasse VI. Le Réalisme 1) Histoire du réalisme 2) L’esthétique réaliste VII. Le naturalisme 1) La notion de naturalisme VIII. Le symbolisme Repères historiques 1800-1815 Après la révolution et la fin de l’ancien Régime, cette période voit le règne

modelé par le personnage et le décor agit sur ce personnage : c'est une interaction entre le décor et le personnage. Aussi, on va assister à la physiognomonie : le rapport entre physique et caractère. I. Le portrait physique et le caractere : realisme et ironie A. Traits de caractère Le narrateur présente Mme Vauquer comme une personne pauvre. En effet, elle possède « des faux cheveux », ainsi qu’ « un bonnet de tulle » (l.5), qui est une dentelle peu coûteuse. Ce personnage parait

détail a une place « parfaitement reconnue par l’institution littéraire ». La finalité du détail est celle du « beau ». « La description a eu pendant longtemps une fonction esthétique ». Dans l’antiquité : «La description n’est assujettie à aucun réalisme (…) il n’y a aucun gène à placer es lions ou des oliviers dans un pays nordique ». « Ce sont les règles générique du discours qui font la loi ». Pour parler de l’effet de réel, Barthes analyse l’esthétique de Flaubert et son travail au brouillions :

faire « concurrence à l'état-civil » selon sa formule célèbre. * But sociologique, étudier la société et les individus qui la composent Comment Balzac dépasse-t-il le simple réalisme par le portrait , c’est à dire comme épuise-t-il la peinture du réalisme ? Montrer que Balzac utilise les procédés du réalisme pour entourer son personnage d’une aura mystérieuse ? Le personnage de Vautrin : I) Un portrait réaliste a. Les caractéristiques physiques et psychologiques

Intro. Le tableau : Je vais vous parler d'une huile sur toile nommée 'Des glaneuses' ou plus communément 'Les glaneuses'. Elle a été peinte par JF Millet. Elle appartient au style du réalisme. Publiée en 1857 et maintenant exposée au musée d'Orsay à Paris. Le peintre : Jean-François Millet (naît en 1814 dans la commune de Gréville en Normandie et mort en 1875 à Barbizon en Seine-et-Marne) est issu d'une famille de paysans. Peintre réaliste, pastelliste, graveur → célèbre pour ses tableaux

part, ce fut le romantisme, un courant qui a pour but d'explorer plus en profondeur la collectivité des sentiments. Il apparut au début du XIXe siècle en France et celui-ci deviendra vite très populaire. D'autre part, le réalisme, lui, apparut vers la moitié du XIXe siècle. Le réalisme adopte une approche plus réaliste comparativement au romantisme, et donc ceux-ci s'opposent. Parmi les grandes auteures romantiques, ce retrouve Aurore Lucile Dupin qui utilisa le pseudonyme « George Sand ». Paru en 1846

besoin d'un grossissement pour toucher le public. a. Exagération dans le texte. Le théâtre a besoin d'une exagération dans l'écriture même du texte : en effet : vocabulaire, situations, passions (notamment dans les tragédies) (didascalies) Conclusion partiel : Grâce à l'exagération le théâtre tend un miroir grossissent au spectateur ce qui lui permet d'approfondir sa connaissance de l'homme. b. Exagération par les acteurs. Ex : Le malade imaginaire par la compagnie Jacques Bachelier en 2007

Réalisme et naturalisme 19.03.2015 Romantisme / Realisme,Naturalisme subjectivisme / objectivisme Antirationalisme / Positivisme (passion,imagination (ambition sientifique, gout pour

des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelqu’un héros. » Conclusion partielle : Hyper réalisme dans les détails + une certaine exagération qui permet de déshumaniser les victimes : «  bras et jambes coupés », «  cervelles répandus », «  membranes palpitants ». Comme si les hommes étaient réduits au statut d’objets comme si la guerre leur ôtait même leur condition d’homme. Réalisme du spectacle : cf. «théâtre de la guerre », avec le bruit des mourants. «  Devenus