Conclusion Le Réalisme

Guerreiro, professeur certifié de Lettres Modernes, pour ses élèves de seconde du lycée de l'Arc à Orange. Objet d'étude : « Le roman et la nouvelle au XIXe siècle : réalisme et naturalisme » Problématique et objectifs : Cette courte séquence succède à l'étude du Colonel Chabert qui aura permis de formaliser les principes essentiels du réalisme balzacien. En prolongement, on propose un travail autour du naturalisme de Zola. A travers des textes représentatifs de l'écriture naturaliste du romancier, il

l’apparition du roman « Bruges-la-Morte » publié en 1882, les avis divergent à l’égard ce celui-ci. Ayant été vivement accueilli en France suite à sa publication dans le Figaro, les Belges, quant à eux, ne digèrent pas le mélange hétérogène entre le réalisme et le symbolisme qu’a tenté d'exprimer Rodenbach dans ce roman. La jeune Belgique, revue littéraire et artistique, ira jus’à comparer Bruges-la-Morte à un infâme Plum pudding auquel on peut y mettre feu sans aucun remords. Pouvons-nous dès lors

de vivre la scène. Ainsi, il alterne entre récit et discours direct. Nous trouvons six répliques dans l’extrait. D’ailleurs, le discours indirect est aussi très présent : « On parla d’abord d’un cancan… ». Cette variété dans l’écriture apporte un réalisme indéniable au passage. La focalisation externe employée par l’auteur donne de plus l’impression au lecteur d’être un témoin de la scène. Il englobe tous les personnages d’un regard, et entend toute la conversation. (deuxième sous-partie centrée sur

femmes partiellement nues, sans doute des prostitués car Picasso, pour ce, se serait inspiré d’une maison close rue d’Avignon d’où le nom du tableau. Description : Ce tableau peut être dit comme le point de départ du cubisme car il rompt avec le réalisme. En effet, nous pouvons commencer par remarquer que les femmes sont ici représentées de manière non réaliste, et très simplifiée (exemple de la bouche qui est représentée seulement par un trait horizontal pour celle de la femme qui se trouve au centre

simple Répétition introduite : Jupin -> la fable met en scène un narrateur B- Une peinture réaliste, pittoresque * Le cadre : un étang * Les animaux : grenouille, grue * Mouvement : rythme sautillant (rimes croisées, plates et embrassées) * Réalisme dans l’approche prudente du soliveau par les grenouilles * La cruauté de la grue : évoquée par des actions précipitées C- Le registre comique * La fable instruit et divertit en même temps * Fantaisie dans les coassements interprétés comme

une libération «  il appelle la Mort » II – La vérité du récit : 1) Le réalisme du portrait : * rythme et allitération en [f], [ch] essoufflement et effort v.7 et 8 : long soupir d’épuisement v.10 : effroi de la misère * le pittoresque des gestes : v.2, 3 et 4 : lourdeur de la marche, longueur de la 1ère phrase, inversion du v.3, rythme des alexandrins effort pénible et continu 2) Le réalisme historique : V.9 : point de pain référence aux famines sous Louis XIV V.10 :

mort. Le dernier vers renvoie au Carpe Diem et à l'épicurisme (Philosophie) selon laquelle il faut profiter du jour présent comme si c'était le dernier. Conclusion : L'originalité de Ronsard dans ce poème et qu'il décrit avec un réalisme cruel Hélène en vieille femme. C'est une façon pour lui de nier sa propre angoisse de la mort. Ce réalisme est très inattendu dans un poème lyrique (Expression des sentiments) : Il donne un accent très humain au poème et le fait échapper au lyrisme habituel. On

narration et passé simple *Le narrateur est Jupin introduite par une répétition de son nom B. Une peinture réaliste, pittoresque Le cadre :un étang Les animaux :grenouilles grue Mouvement :rythme sautillant(rimes croisées ,plates et embrassées Réalisme dans l’approche prudente du soliveau par les grenouilles La cruauté de la grue : représentation d’une autorité tyrannique C .Le registre comique La fable instruit et divertit en même temps Fantaisie dans les coassements interprétés comme

personnage Pour le récit => Orchestre Omniprésent Conclusion=>Chez Puccini et dans la fin du XIX siècle on parle de récitatif continu c'est à dire un chant à but narratif qui imite le langage parlé contrairement aux opéras à numéro que réalisait Mozart II Lecture historique de l’œuvre et lien avec le Château Saint-Ange La Tosca marque le tout début du post romantisme mais aussi du vérisme. Le vérisme est un mouvement proche du réalisme Français qui pose comme principe que l'auteur doit s'inspirer

deuil « condoléances » formules toutes faites, sans sens, tenue vestimentaire du deuil « quand il me verra en deuil » L’objectivité et le cynisme du personnage pourrait être interprété comme de l’indifférence, comme le dira le procureur, c’est faux. Conclusion : Incipit remplit ses fonctions brièvement (lieu, personnage=>mais pas d’identité précise compte tenu de l’écriture qui se rapproche de celle d’un journal intime », pas de précision sur le temps). Action in medias res, lecteur plongé dans le monde