Conclusion Les Obsèques De La Lionne

allégeance à l’égard du puissant)- on peut y lire peut-être de l’ironie (le loup n’est pas le roi, c’est le lion, ou un excès de politesse justifié par la peur)- allusion à la colère est elle un peu irrévérencieuse : elle laisse entendre que le puissant n’est pas capable de se maîtriser- il n’est donc pas un modèle d’honnête homme et agit selon ses pulsions (cf le lion dans « Les obsèques de la lion »)- l’agneau tente dès lors de substituer à cette rage irrationnelle la raison qui conduit à « considérer »

de l’apologue sur de tels sujets est possible notamment par l’emploi d’une dimension satirique. Le « pouvoir du récit » grâce à cette dimension est utilisé dans les fables de Jean de la Fontaine. Par exemple, dans le texte intitulé ; « Les obsèques de la Lionne » qui dénonce la flatterie dont les courtisans font preuve à l’égard du souverain. Par ailleurs, le récit est attrayant par son charme, sa fantaisie, car il évoque des individus au sein de situations particulières, mais sans avoir à les particulariser

simple a priori, mais l'auteur d'un tel récit n'écrit pas que pour l'amusement de son lecteur. • La Fontaine => moraliste : critique, dans ses fables, le monde de la cour, l'assujettissement, la bassesse des courtisans, la flatterie. Dans « Les Obsèques de la lionne », une des moralités dénonce l'hypocrisie des courtisans mais surtout la vanité et la naïveté des rois : • Dans Candide, Voltaire dénonce de nombreux travers de la société : l'esclavage, l'Inquisition... Ex : « C'est à ce prix que vous mangez

D'abord je vais étudier la méditation de La Fontaine sur la mort puis je vais étudier le dialogue entre la mort et le mourant . I- LA MEDITATION 1 ère partie , valeur générale (1-19) Dernière partie plus personnelle « Je » 1er vers :Conclusion v17; litote sur l'importance de la mort v2; euphémisme . V8; periphrase mort Mort: seul principe « égalitaire » v15 Il parle de suicide , v3 Il était libertin donc on n'a pas besoin de religion , l'intelligence peut tout expliquer

abus auxquels leur condition les conduit, contribue elle aussi à rendre l’apologue humoristique. Chez la Fontaine, c’est le milieu hypocrite et injuste de la cour qui fournit bien souvent la cible de la satire, comme le montre la fable Les Obsèques de la lionne, qui met en scène le succès que l’on rencontre en mentant devant les rois. Les animaux malades de la peste dénoncent de même les « jugements de cour », capables de condamner l’innocent au mépris de toute équité. Mais l’apologue ne tire pas

si différents de nos pays, de mœurs fort nouvelles, qui vous ont plu dans cette lecture. La Fontaine, lui aussi, éduque par l’apologue de ses fables, tout en paraissant conter une histoire plaisante. Voyez plutôt la fable les Obsèques de la Lionne ; si le Cerf raconte au Lion, qui veut le tuer, une fable merveilleuse, ce n’est pas seulement pour l’amuser, mais surtout pour se sauver. La fable est donc, outre un récit plaisant, un moyen hypocrite de flatter et d’être bien vu. M’accordez-vous que la

fasse trotter devant lui… ». La série d’exemples aboutit à une première conclusion provisoire sur l’imagination : « L’imagination dispose de tout, elle fait la beauté, la justice et le bonheur qui est le tout du monde » (p23) 3. Présentation rapide d’autres sources d’erreurs humaines : la question des sens (« les impressions »), la subjectivité du jugement («notre propre intérêt »). Pascal aboutit alors à une seconde conclusion partielle plus large que la précédente. « L’homme […] n’a aucun principe

fasse trotter devant lui… ». La série d’exemples aboutit à une première conclusion provisoire sur l’imagination : « L’imagination dispose de tout, elle fait la beauté, la justice et le bonheur qui est le tout du monde » (p23) 3. Présentation rapide d’autres sources d’erreurs humaines : la question des sens (« les impressions »), la subjectivité du jugement («notre propre intérêt »). Pascal aboutit alors à une seconde conclusion partielle plus large que la précédente. « L’homme […] n’a aucun principe

partie du zodiaque entraient le soleil et la lune pour la journée. Cela fait, il était habillé, peigné, coiffé, adorné3 et parfumé ; pendant ce temps, on lui répétait les leçons de la veille. Lui-même les récitait par coeur et en tirait quelques conclusions pratiques sur la condition humaine ; ils y passaient parfois jusqu'à deux ou trois heures, mais d'habitude ils s'arrêtaient lorsqu'il avait fini de s'habiller. Puis pendant trois bonnes heures on lui faisait la lecture. Cela fait, ils sortaient

raisonnement déductif dans lequel on part d’une idée général pour en tirer une conclusion particulière comme le fait Aristote quand il écrit « L'âne, le mulet, le cheval vivent longtemps ; or, ce sont là tous les animaux sans fiel ; donc, tous les animaux sans fiel vivent longtemps. ». A l’inverse de celui-ci, le raisonnement inductif suit le chemin inverse. En effet, il part d’un fait concret pour aboutir à une conclusion générale. Beaumarchais écrit dans Le Barbier de Séville « Le grave magistrat