Conclusion Lorenzaccio Le Romantisme

dont ils disposent. C’est en confrontant ces exemples à la remarque de Dorante que la préparation de la dissertation pourra progresser. Les élèves ont parfois du mal à trouver la phrase amorce de l’introduction et la fameuse « ouverture » de la conclusion. Une fois que le plan a été élaboré, ces deux paragraphes peuvent donc être l’objet d’une séance spécifique. On pourra montrer que la phrase amorce peut partir de la querelle de L’École des femmes qui force Molière à se battre pour légitimer

la description et glissement métatextuel mettant à distance le référent au profit de la référence littéraire. Dans la première occurrence, le fétichisme précieux des armes blanches adoucit la violence en même temps qu’il évoque une réplique du Lorenzaccio de Musset où le héros ourdit le meurtre de son cousin Alexandre1, mise à distance renforcée par la précision anatomique informant le fantasme. Parce qu’il est rêvé, le meurtre ici demeure invisible, à l’état de simple projet conçu d’après la représentation

les plus célèbres comme Le Père Goriot ou Eugénie Grandet, qui constituent une part très importante de son œuvre, ont induit, à tort, une classification réductrice d'« auteur réaliste».Les études balzaciennes récentes soulignent au contraire le romantisme de Balzac et la poétique de ses romans, notamment dans Lys dans la vallée, ainsi que l'inspiration fantastique, voire mystique, qui imprègne nombre de ses romans ou nouvelles, et qui, selon Jacques Martineau, « ne disparaît jamais totalement de

comme pervers. Le fantastique dérange parce qu'il ne repose sur rien d'autre que la force (ou la faiblesse) de l'esprit capable de le mettre en œuvre. En cela il s'oppose à la tranquillité du réel, du réalisme et même aux tourments du cœur du romantisme. C'est en ce sens qu'il les dépasse et leur devient supérieur : il est une création de l'esprit, il est en même temps que le texte ; de façon un peu simplifiée, les autres courants sont subis : ils montrent et expliquent, un point c'est tout.

Digue insulte le comte Qui na pu lobtenir ne le mritait pas (scne 3). Don Digue est hors de lui, il doit se venger (scne 4). Il demande son fils Rodrigue de le venger en combattant le pre de Chimne (scne 5). Le dilemme cornlien apparat avec la conclusion suivante de Rodrigue Courons la vengeance (scne 6). ACTE IILe comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colre du roi (scne 1). Rodrigue retrouve loffenseur de son pre et russit le convaincre de se battre avec lui (scne 2). Chimne, en

Le Jeu de l’amour et du hasard, La Dispute, Le Prince travesti, L’Île de la raison. Beaumarchais : Le Barbier de Séville, Le Mariage de Figaro. XIXe  siècle.   Hugo : Hernani, Ruy Blas (nous parlerons de Cromwell et de sa préface). Musset : Lorenzaccio et un drame amoureux, par exemple Les Caprices de Marianne ou On ne badine pas avec l’amour.  XXe  siècle.   Claudel : Tête d’or (même si la pièce appartient en fait au siècle précédent), L’Échange. Giraudoux : un « drame pacifiste », par

la gravité n’est pas absente de ce texte facétieux. Le poète soumet la lune à un questionnement ludique, mais parfois teinté d’inquiétude. En cela, il anticipe par exemple l’interpellation dramatique que Lorenzo lancera à l’astre nocturne dans Lorenzaccio. Comme ici déjà, le monologue de l’acte IV, scène 9 s’ouvrira par une invective Chapitre 3 • La poésie • 147 n 2. Une ballade audacieuse (questions 1 et 2) Composée de quatrains insolites (formés d’hexasyllabes perturbés par un trisyllabe en

. . . . (« . . .les . . . .coïncidences . . . . . . . . . . . . . . . . », . .« . . des ............. preuves . . . . . . . . . . .»). . . .Le . . . discours . . . . . . . . . . .aboutit . . . . . . . . . alors . . . . . . .à . . une . . . . . conclusion . . . . . . . . . . . . . . pour . . . . . . .le . . moins . . . . . . . . .peu . . . . .convaincante, . . . . . . . . . . . . . . . . . .absurde . . . . . . . . . . (« . . .il. .eût . . . . été . . . . .surprenant . . . . . . . . . . . . . .»,

objets familiers : le chat, la raie, le lièvre mort, la marmite… QUENTIN de la TOUR : un physionomiste remarquable ROBERT : le peintre des ruines. - XIXème siècle : "L'Art engagé" – DAVID (vote la mort du roi) - Néoclassicisme, puis triomphe du Romantisme. C’est au cours de ce siècle que s’établit un décalage apparent entre les historiens d’art et la critique. Les premiers fondements scientifiques de l’histoire de l’art prennent naissance dans les " Recherches italiennes " de l’Allemand von RUMOHR

la progression : certains sonnets sont moins fondés sur une division en deux blocs que sur une progression constante orientée vers la chute. Le Dormeur du val de Rimbaud ; – la chute : le dernier vers du sonnet doit apparaître comme une brève conclusion, brillamment formulée. Ce sera une image expressive résumant le tableau décrit par le poème, une formule satirique spirituelle, une « pointe », un effet de surprise, une sorte de morale éclairant le sens du texte, etc. C’est ainsi que le formule