Conclusion Monde Romanesque

doit s’inspirer de ce qu’il connait, ce qui lui est familier. C’est pour cela que les héros romanesque sont souvent « taillés dans la chair » de leur auteur ; une imagination peut être florissante, mais elle permettra rarement à l’auteur de créer un tout nouveau personnage sans qu’il n’ai de rapport direct avec lui-même, ses habitudes, sentiments et autres. Un roman permet a un auteur de réimaginer son monde, sa vie, en incorporant le même personnage, à savoir lui-même, mais en changeant tout ce qu’il

littéraire du 19e siècle qui se base sur organiser le réel - vision de la société, démontre les classes sociales, contraire du romantisme (idéalisme - tout beau tout laid), réalisme (réel, bon et mauvais dans tout). Zola et Balzac inventent la fresque romanesque - une saga qui dépeigne la société dans laquelle ils vivent, iridité de traits. Zola = Rougon Mackart Zola : né en 1840, mort en 1902, voyage à Paris : juste au moment du Second Empire (1852-1870) - Empereur Napoléon III coup d’État (démocratie

Les axes : I/ Le lieu de la rencontre, la scène de bal. a. Un lieu éclatant b. Les circonstances romanesques II/ La rencontre. a. Le regard b. Portraits c. Points de vue Explication du texte : I/ Le lieu de la rencontre, la scène de bal. a. Un lieu éclatant * La scène se déroule au Louvres, en présence du Roi et de la Reine, lors de fiançailles | Monde de la noblesse | * « beauté » l.16 + 34 * « air brillant » l.29 * « admiration » l.36 * « louanges »

en transposant au roman l’esthétique classique, a-t-elle fait évoluer la conception du genre ? L’amour doit-il obéir à la morale ? La Princesse de Clèves, « La scène du bal » et « La scène de l’aveu » La construction romanesque, roman et vison du monde, genre romanesque et vraisemblance. La description, la focalisation Répondre à des questions de compréhension Répondre à des questions d’interprétation Thématique culturelle 4: Le siècle des Lumières, la nouvelle rationalité Cadre historique

d’âme (= la douceur) Le jugement assez droit avec l’esprit le plus simple * trop naïf * son nom = son caractère Généalogie de Candide * enfant naturel = batard * situation intéressante, origine mystérieuse => perspective romanesque Le Baron * Présentation élogieuse * Signe extérieur de richesse (piqueurs, monseigneur…) La baronne * 350 livres * maîtresse de maison respectée Cunégonde * fraiche, grasse, appétissante physique agréable => sensualité

fidèle du réel, celui du discours véridique. En lisant les œuvres réalistes, le lecteur doit avoir l’impression qu’il a affaire à un discours sans autre règle que celle de retranscrire scrupuleusement le réel, de nous mettre en contact immédiat avec le monde tel qu’il est. En somme, il a pour effet de dissimuler toute règle et de nous donner l’impression que le discours est en lui-même parfaitement transparent, et que nous sommes en présence du vécu brut, d’« une tranche de vie ». Mais la vérité dans le

Vaubyessard retombe dans un état d’abattement encore plus grand. Ainsi ce passage est-il placé sous le signe de l’enfermement, la monotonie et l’inertie mais il est aussi révélateur de l’art de Flaubert qui refuse de se plier aux conventions du genre romanesque. I. Une héroïne en proie au mal de vivre. 1) Enfermement A la suite d’une déception, Emma voit de nouveau son univers se réduire. Elle n’a de cesse tout d’abord de revivre ce moment éblouissant du bal à la Vaubyessard où rêve et réalité pour

demander si, lorsqu'il compose, il aide à déchiffrer le monde. En d'autres termes, le poète clarifie-t-il ou complexifie-t-il le monde qui nous entoure? Dans un premier temps [...], avant dans un second temps. - Rédiger la conclusion: Bilan/Répond à la problématique, ouvre sur un problème littéraire en lien avec ma problématique (œuvre d'art, texte) L'ouverture porte sur un NOUVEAU sujet --> Nouvelle question ex: En conclusion, nous observons que le sens d'un poème est à déchiffrer

voir son jeu et cherchant à connaître celui de son adversaire : « Un sourire malicieux et mordant exprima les idées moitiés philosophiques, moitié railleuses ». C’est un homme de loi intelligent qui a été initié aux lois et aux vérités cachées du monde : « un homme si bien placé pour connaître le fond des choses, malgré les mensonges sous lesquels la plupart des familles parisiennes cachent leur existence. » Dans l’Excipit, l’avoué intègre, apparaît vingt ans plus tard, comme un homme déçu qui renonce

les grandes questions de son époque : la guerre de 1914-1918 dans laquelle il s’engage, et dont il découvre les horreurs, le colonialisme, le modernisme, le progrès. * De malheur en déchéance, le héros malmené par les événements, découvre le monde et le fait découvrir aux lecteurs, avec une ironie et un cynisme grinçants. Le roman est écrit à la première personne, dans une langue volontairement crue et familière. * Après l’expérience de la guerre et celle des colonies, l’épopée de Bardamu