Conclusion Sur Andromaque

Quelques auteurs et oeuvres -Pierre Corneille (1606-1684): Le Cid (1634)/ Cinna (1640)/ Horace (1640)/ Polyeucte (1641)/ Nicomède (1651). -Jean Racine (1639-1699): Andromaque (1667)/Phèdre (1677) -Molière (1622-1673): Les Précieuses Ridicules (1659)/ Don Juan (1665)/ L'avare (1668)/ Le Bourgeois Gentilhomme (1670)/ Conclusion: Malgré la condition des comédiens, malgré ce que pensait l'Église du genre, le théâtre au XVIIe était le divertissement le plus important. Sous Louis XIV, le théâtre

vais vous présenter une lecture analytique de l’acte I, scène 3 des vers 269 à 290 de Phèdre, de Jean Racine. Racine est un dramaturge français du 17ème siècle connu pour ses tragédies classiques telles que Andromaque, Britannicus, ou encore Iphigénie . Il appartient au classicisme. Ce mouvement fait apparaitre au théâtre la règle des trois unités élaborées par Boileau « Qu’en un jour, en un lieu, un seul fait accompli. Tienne

orphelin et se fait admettre au couvent janséniste où il reçoit une solide éducation morale et religieuse. A partir de 1658 il commence à fréquenter les milieux mondains et littéraires et devient dramaturge : il connaît son premier grand succès avec Andromaque en 1667. Les succès s'enchaînent avec Bérenice (1667), Bajazet (1672), ou Iphigénie (1674). Il intègre l'Académie française en 1673. En 1637, il rompt avec le théâtre et devient avec Boileau, historiographe du roi Louis X1V. Racine meurt à Paris

Sophocle et Euripide. Il débute à Paris, dès 1658, après des études de philosophie, une carrière de dramaturge et de courtisan. Dramaturge à succès, mais aussi membre de l’Académie française et historiographe du roi , on lui doit les tragédies comme Andromaque, Britannicus , Iphigénie, Phèdre, et bien d’autres. Britannicus est une tragédie classique écrite en 1669, inspirée de l’Antiquité. Britannicus, héros éponyme aime Junie qui est aimée de Néron, l’empereur de Rome. Ce texte est extrait de

de mon entendement, mais je ne vois que ce que je regarde et je ne regarde que ce que je veux. Même l'évidence du Vrai est donc soumise au bon vouloir de ma libre attention. ** L'acte libre = un choix réfléchi = un choix intelligent - Andromaque = stratagème habile = acte libre- Antigone = solidarité actes/pensées = liberté Mourir libre plutôt que de vivre en n'étant plus solidaire avec elle-même. - Don Juan **La liberté disjointe de l'entendement Suis-je alors contraint comme le pense

vision du monde qui se dégage de ses pièces porte la marque de l’enseignement janséniste, et de sa conception pessimiste de l’Homme, soumis à la grâce divine et prisonnier d’un destin qui le dépasse. Il écrivit par la suite des pièces à succès comme Andromaque, en 1667, avec lequel il fut élu à l’Académie française en 1673, Britannicus (1669), Bérénice (1670). Mais, à l’automne 1677, la carrière de Racine prit un tournant radical : sa dernière pièce, Phèdre, malgré son succès immense, fut attaquée violemment

comprendre qu’il s’est évanoui et qu’il faut vite en profiter : " il perd le sentiment... Sauvons-le... reprenait sa rage avec ses sens ". Une fuite donc, mais surtout un personnage dégradé, dont il faut maintenant s’occuper comme d’un enfant.  Conclusion :     La fonction cathartique de la tragédie (la catharsis correspond au fait de provoquer l’horreur et la pitié chez le spectateur afin de le purifier de ses mauvais penchants) est parfaitement remplie par cet épilogue qui contient le récit d’un

accordée qu'aux seuls élus dès leur naissance. Ce mode de pensée aura une influence sur Racine et ses écrits, notamment Britannicus. Racine fait ses débuts littéraires en composant des poèmes classiques d’inspiration profane. En 1667, il écrit Andromaque qui remporte un vif succès. Pendant les dix années qui suivent, Racine écrit ses chefs-d’œuvre les plus connus. En 1669, il met en scène Britannicus, une tragédie politique romaine sur les jeux et enjeux liés à la quête du pouvoir tyrannique. Cette

seulement le plaisir de leur nuire ? » Agrippine, femme forte, trahit son désarroi. Elle n’ a plus de jugement : amour, haine : deux raisons opposées. Il y a une autre explication : « le plaisir de leur nuire ». Cet enlèvement visera Agrippine. CONCLUSION : L’ exposition montre le rapport de la mère et du fils, les premières années de Néron et l’ enlèvement de Junie. Le jeu des pronoms « il » et « je » est souvent opposé. Agrippine en parlant de Néron se révèle elle-même. Il y a un enjeu du pouvoir

abandonner le siège de Troie – Les Achéens s'apprêtent au départ - Ulysse arrête ce mouvement - Dénombrement des peuples et des chefs achéens (catalogue des vaisseaux) puis troyens. Chant III.- Les reproches d'Hector décident Pâris à se battre - Conclusion d’un traité : duel de Pâris et de Ménélas– Hélène monte aux les remparts auprès de Priam, nomme les chefs Achéens - Pâris sauvé par Aphrodite, qui le ramène mystérieusement auprès d'Hélène Chant IV.- Dispute entre les dieux sur le sort de Troie