Conclusion Sur Cendrillon

par-dessus l’épaule, en lui tendant son nerf de bœuf. » Elle adopte même pour le séduire, une attitude théâtrale en usant de ses charmes tels une jeune fille de ses lectures. Alors que dans notre enfance nous sommes bercés de contes et histoire comme « Cendrillon » où la jeune femme est dans une situation triste et sans espoir mais par chance un prince la remarque et à jamais ils sont heureux : Emma ne ressent pas ça, au contraire d’être heureuse : elle et malheureuse et en colère. B-Déception d’Emma

d’un succès médiatique, elles misent sur le| |voyeurisme du public. Souvent peu crédibles, elles sont construites sur le schéma du conte de fée et correspondent à l’idéologie dominante :| |soit la morale de l’effort, soit le hasard qui transforme Cendrillon en princesse. De plus, le manque d’intérêt pour une œuvre peut résulter| |de l’absence d’éléments qui suscitent une émotion, pitié ou admiration. De cette manière, Sylvia Smith dans les Misadventures raconte la vie| |de ses parents, puis ses différents

psychanalyse, et le lien qui existe entre ces deux concepts. Nous avons poursuivi notre travail avec les différentes positions théoriques, que nous avons pu remarquer lors de nos lectures : STRUCTURE . critiques Nous finalisons ce travail par une conclusion qui reprend nos idées principales. Définitions Le conte : “est un récit apparament simple, presque naïf, enfantin en un mot. Mais il est à la fois transparant et opaque, sa simplicité est trompeuse […]. Comme le rêve, le conte se présente

et le mode de fonctionnement. De ce fait, il nous explique comment le colportage a permis un si grand succès dans les villages les plus reculés ; comment les éditeurs s’y prenaient pour ces récits ; et enfin, quels en sont les grands thèmes. En conclusion, ce voyage à travers les milieux populaires français durant l’Ancien Régime permet de se rapprocher et de connaître mieux cette tradition orale et littéraire. 2. Contexte littéraire des XVIIe et XVIIe siècles Avant de décrire les origines

c) Les artistes, ces voyants… II) La puissance de l’imaginaire au service du technique P.15 a) Architecture & Imagination. P.16 b) Lorsque l’utopie se concrétise … P.20 c) Quand l’imagination fait son cinéma. P.23 Conclusion P.27 Annexes P.28 Synthèses individuelles P.30 Synthèse de Thomas Robert P.31 Synthèse de Maurane Abélard P. 34 Synthèse de Sandhya Dyall

n’accepte pas de le reprendre (cf contre partie de ce qu’il lui apporte) et mieux encore, lui offre cet œuf. Il y a un déséquilibre dans les échanges. Et c’est ce que met en avant Marcella. • Un film réactionnaire (arriéré) « « Intouchables », cendrillon des temps modernes » article publié le 9 Novembre 2011 dans le journal Libération par Jean-Jacques Delfour qui dénonce l’importance donnée à l’argent dans ce film. En effet, on met en avant le fait qu’on est lus heureux en étant pauvre, tant qu’on

mécanisme. Le document 2 est sur les contes et les légendes qu’on raconte aux enfants dès leur plus jeune âge. On y remarque, après la lecture du document, que ces contes sont aussi une manière d’imposer des rôles aux enfants. Si on prend l’exemple de Cendrillon énoncé par le document 2, c’est précisé qu’elle était « l’idéale » d’une femme. Elle est « le prototype des vertus domestiques, de l’humilité, de la patience, de la servilité, du sous développement de la conscience ». Les filles adoptent ces personnages

eu du mal à être accepter par les intellectuels et il se bat pour la France : C'est l'attraction / répulsion (répétition des vers 3 et 5). En opposition, un unique vers annonce un thème, celui de cendrillon et de ces rêves qui sera repris dans le sizain (vers 6) : c'est la rupture du rêve de cendrillon. Il se rend compte que jamais une femme comme Mme de Récamier ne voudra de lui. Le sizain reprend les figures de femmes exotiques et intellectuelles. Le distique est l'aveu d'Apollinaire (vers 1 et

Lectures analytiques : 1. Blaise Pascal, Pensées, 139, 1670 : “quand je m’y suis mis quelquefois à considerer les diverses agitations des hommes … Car il est malheureux tout roi qu’il est si il y pense.” 2. Voltaire, Candide, Chapitre 30 : Conclusion : « Ayant dit ces mots, il fit entrer les étrangers dans sa maison … - Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. » 3. Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, Lettre 48, 1782. 4. Alain, Propos sur le Bonheur

Bettelheim reprend tous les contes les plus populaires de la littérature enfantine ceux qui se rattachent à la lutte de l’enfant pour atteindre la maturiténen se servant d’exemples comme les frères aînés des « trois plumes », les demi-soeurs de « Cendrillon » ou le loup du « petit chaperon rouge ». Ces contes indiquent subtilement à l’enfant pourquoi il doit lutter pour parvenir à une intégration supérieure, et ce que cela implique. Ces mêmes histoires font également comprendre aux parents qu’ils doivent