Conclusion Sur Le Classicisme

sur l'issue tragique du conflit C.B. Triste réalité que doit faire face Rodrigue C.II. Le choix déchirant que doit faire Rodrigue entre l'honneur et l'amour CONCLUSION • Confirmation : C'est dans le renoncement librement consenti de ses passions en faveur de l'exigence la plus conforme à sa gloire que le héros cornélien attire la pitié du spectateur

Lecture analytique des « Animaux malades » de la peste, La Fontaine, Fables Axe d’étude : une fable inscrite dans le Classicisme a) une fable reprenant l’ordonnance « classique » : mesure et clarté la fable s’écrit en vers au XVIIème siècle ce qui n’a pas toujours été le cas ? Dans l’Antiquité, elle était rédigée en prose. Le fabuliste s’inscrit dans la lignée des poètes voire des auteurs de théâtre de son temps écrivant en vers. La fable est ici un poème : * Emploi de l’alexandrin

en France Un immense artiste : il était peintre, sculpteur, dessinateur (symbole majeur du XX siècle Fondateur du cubisme avec son ami George Braque Il touche à tous les courants artistiques du XX siècle : surréalisme, expressionisme ou néo-classicisme. 1982 il s’inscrit à l’Ecole d’Art de la Corogne alors qu’il avait 11ans, encouragé par son père (professeur de dessin) Autres œuvres : Les Demoiselles d’Avignon : 1907 Guernica : 1937 Massacre en Corée : 1951 Le cubisme : il est caractérisé

Séquence 5 Tragédie et comédie au XVIIe siècle : le classicisme Sommaire Objectifs & parcours d’étude Introduction 1. Autour de l’auteur Fiche méthode : Le classicisme Corrigés des exercices 2. Le classicisme de L’École des femmes : vue d’ensemble Fiche métode : Les règles du théâtre classique 3. Le classicisme de L’École des femmes : à l’épreuve du texte Corrigés des exercices Bilan Séquence 5 – FR20 1 © Cned – Académie en ligne O bjectifs & parcours d’étude Textes et œuvres

Clèves. Auteur : Mme de La Fayette, né Marie-Madelaine Pioche de la Vergne (1634-1693), XVIIè siècle Contexte historique et culturel : sous le règne de / genre romanesque méprisé, considéré commme inférieur voir immoral. Mouvement littéraire : Classicisme Biographie : Elle fut élevé au milieu d'intellectuel dont le duc de la Rochefoucaud. Elle fut vite réputée pour la finesse de son esprit. Introduite à la cour elle à l'estime de Louis XIV. Elle écrit des romane et des nouvelles qui ne sont

merveilleux, fantastique et tragique. L’irréel surgit brusquement cô dans un conte L .34 «  se senti prendre… à l’entrée de l’estomac » =Métaphore et périphrase. Situation tragique pour K : le destin le laisse seul. L.40-42 : 3 négations, hyperbole. CONCLUSION : Il vaut mieux passé du temps avec ces proches plutôt que de vouloir toujours + d’argent et de bien . L’auteur reprend un de ces thèmes préféré qui est le comportement de l’homme et construit son texte cô une nouvelle à chute (disparition de

courant se développe en réaction contre le Classicisme. La rivalité entre les deux courants sera si forte que, non contents de simples querelles, leurs membres en viendront aux mains lors de la représentation de la pièce romantique de Victor Hugo, Hernani. L'affrontement restera connu sous le nom de Bataille D'Hernani. Et si ces deux genres sont radicalement opposés c'est avant tout à cause des innovations du romantisme. En effet, quand le Classicisme prône un retour à un art antique, le romantisme

dans les comédies, on se moque souvent des aristocrates. Habituellement les noble sont les héros des tragédies. •La scène d’exposition peut laisser perplexe. Molière appartient aux Classicisme mais Dom Juan n’est pas une pièce qui respecte les pièces du Classicisme c’est une pièce inclassable (Baroque) Conclusion : La tirade de Sganarelle est un morceau de bravoure comique où Sganarelle y déploie tout ses talents. C’est aussi une tirade paradoxale du tabac qui ne peut être compris que par un

difficile. Ils ne peuvent pas s’aimer ni renoncer à leur sentiments. Il s’agit d’un élément perturbateur qui met à l’épreuve la vertu et l’éducation de la Princesse. Ils vont vivre une tragédie. Conclusion : réponse la problématique Connaissances sur la séquence Le classicisme XVII eme. Le classicisme se décline en trois grands principes : 1. Clarté : «  ce qui se conçoit bien s’énonce clairement »  2. Vraisemblance : refus des incohérences aussi bien sur le plan de l’action que des caractères

et qui présente les défauts de la monarchie absolue satire dénonciation justice/roi morale Intro : Auteur du 17, lf a su élever la fable, au départ simple récit didactique au rang de littérature en s inspirant comme le préconise les règles du classicisme des auteurs antiques. Cependant il ne s est pas contente d imiter les anciens puisqu il élargit ses sources d inspiration de sources orientales et également d histoire contemporaines. Des le premier recueil des Fables il affirme sa conception très