Conclusion Sur Le Déficit De Sécurité Sociale

réglementation sociale se développe peu à peu avec des textes de loi sur le travail des enfants, le travail des femmes, l’hygiène et la sécurité aux alentours de 1880 né le paternalisme industriel (Gerard Mulliez) sous l’influence de grand chef d’entreprise (Michelin, Leclerc, Mulliez) il crée des maternités, des pouponnières, des services médicaux gratuits pour les ouvriers et leur famille certains vont même plus loin et les initiatives voient le jour pour tenter d’organiser une protection sociale ancêtre

disponible Cf fiche redistribution La redistribution c l’ensemble des opérations permettant de passer du revenu primaire o revenu disponible des ménages. Le revenu disponible=revenu primaire (impots – cotisations sociales)prélèvements obligatoires + prestations sociales (=env 1 /3 des ressources des ménages modestes) Le revenu dispo est soit consommé soit épargné (taux d’épargne =16%) II -/ Objectifs de la redistribution objectif d’assurance assurance contre la maladie,le chomage

couverture sociale au Maroc La sécurité sociale est « la protection que la société accorde à ses membres, par un ensemble de dispositions publiques contre la misère économique et sociale qui les menace en cas d'arrêt ou de réduction importante de leurs gains pour cause de maladie, de maternité, d'accident de travail, de chômage, de vieillesse ou de décès ; la fourniture de soins médicaux ; l'octroi d'allocations aux familles ayant des enfants ». Avant l'institutionnalisation de la sécurité sociale, la

les organismes qui en dépendent directement (certaines entreprises publiques, les organismes de sécurité sociale, etc.). Il s’agit d’une dette brute, il n’est pas tenu compte des actifs publics dans son calcul. Elle est la différence entre les produits (les recettes fiscales, en particulier) et les charges (notamment les dépenses budgétaires) de l’état. La dette augmente donc à chaque fois qu'un déficit public est financé par emprunt. On peut distinguer au sein de la dette publique, la dette

situation où les recettes sont insuffisantes par rapport aux dépenses. Le ministre des finances : Necker va dire au Roi que si il ne crée pas un nouvel impôt qui est donc l’imposition territoriale qui devait rapporter beaucoup au point de supprimer le déficit. Le Roi va donc créer l’impôt de sa propre autorité et ne va pas rassembler les Etats généraux. Le Parlement de Paris en 1787 va rejeter l’enregistrement du nouvel impôt : Necker dit au Roi de distribuer à la population un cahier de doléance ; tous

d’imposition. Au niveau socialL’entrepreneur ne bénéficie pas du régime général de la sécurité sociale : il relève du régime des travailleurs indépendants pour la maladie, et du régime des professions industrielles et commerciales pour la retraite. Il a la possibilité d’adhérer à des régimes complémentaires.Inconvénients : les prestations de ce régime sont beaucoup moins complètes que celles du régime général de la sécurité sociale. ConclusionLes deux tiers des entreprises qui se créent chaque année sont des

d’assurer l’ordre dans la société. 2) Les origines de l’Etat a) La théorie du contrat social La situation « de nature » définie par Hobles : « la guerre de tous contre tous » car les individus guidés par intérêt personnel, ont droit sur toutes choses. Conséquences : un ensemble de droits individuels et d’intérêts incohérents, source de conflits violents et permanents. La naissance de l’Etat : L’Etat est né d’un contrat social pour rompre avec la situation de nature. Contrat propre à faire respecter le système

années 1970, ont permis de réhabiliter l’intervention de l’Etat dans le champs économique, en montrant que celle-ci pouvait avoir un rôle influent sur la croissance de long terme du pays. En effet, alors que le modèle de Solow parvenait à la conclusion que la croissance économique n’était dépendante que de la croissance de la population active et du progrès technique, considéré comme exogène, Romer et Lucas démontre qu’il est possible de mettre en place les conditions de ce progrès technique,

marginalisation vis-à-vis du système scolaire, et une « précarisation », qui nuit à la fois à leur avenir, mais également à leur contribution sociale. Au final, les « jeunes », victimes reconnues du chômage et de la précarité, ne participent pas pleinement à la solidarité nécessaire à l'équilibre du système des retraites. Le chômage est une cause prépondérante du déficit des retraites, chiffré à 25 milliards selon l'article du Monde. Se situant en octobre 2009, aux alentours des 9, 5%, soit environ 2,6

de l’Union Européenne à adopter des politiques ayant pour but une augmentation du déficit budgétaire public (solde du budget de l’Etat négatif où les recettes sont inférieures aux dépenses). Les dépenses de la Sécurité Sociale, des collectivités territoriales et de l’Etat central sont supérieures aux recettes qui sont les cotisations sociales, tous les types d ‘impôts ainsi que les taxes. Pour combler leur déficit les pays empruntent des sommes d’argent à la BCE (Banque Centrale Européenne) ou empruntent