Conclusion Tartuffe Faux Dévots

pris au dépourvu. Le rire place toutefois le spectateur ds une position inconfortable, nous invitant à réfléchir à ce que nous voyons et au-delà à nous situer par rapport à un personnage dont toute l'ambiguîté apparaît ici. Introduction et conclusion de la lecture analytique n° 3 : LA SCENE DU PAUVRE L'acte II était un acte de comédie autour du thème de la séduction, l'acte III s'ouvre plus sérieusement sur la question de l'existence de dieu : Sg, défenseur de la religion chrétienne, se

v1 qui ne peuvent pas « troubler l’eau », mais qui en vérité sont rusés et fourbes. Ils font un pèlerinage dans le but de manifester leur croyance qu’ils n’ont pas : « C’étaient deux vrais tartufs » v3. Le terme « tartuf » se réfère au personnage principal d’une comédie de Molière, Tartuffe, qui est un faux dévot hypocrite et roué. De plus, l’utilisation d’animaux personnifié, a qui ont prête la parole “ils disputèrent” et même des sentiments “et partant ennuyeux”. Aussi, l’histoire agit comme une

professionnel : il a rencontré des échecs avec ses dernière pièces (notamment Tartuffe). →  Il n’arrive plus à supporter les gens autour de lui : • médecins : il les trouve incompétents • courtisans : hypocrites, intéressés (il critique les précieux et les bourgeois qui veulent égaler les allures et les privilèges de la noblesse) • Église : « faux dévots », directeurs de conscience (cf . Tartuffe). → Il est en pleine dépression, il se fait de la bile (cf. L’Atrabilaire

qu’il a • professionnel : il a rencontré des échecs avec ses dernière pièces (notamment Tartuffe). à Il n’arrive plus à supporter les gens autour de lui : • médecins : il les trouve incompétents • courtisans : hypocrites, intéressés (il critique les précieux et les bourgeois qui veulent égaler les allures et les privilèges de la noblesse) • Eglise : « faux dévots », directeurs de conscience (cf . Tartuffe). à Il est en pleine dépression, il se fait de la bile (cf. L’Atrabilaire amoureux…). Le

rat qui s'est retiré du monde » (VII,3) Jean de la Fontaine extrait des Fables (1678) Introduction La Fontaine : moraliste du XVIIème siècle Conclusion : - objectif traditionnel didactique => ici : satire des religieux qui ne s'appliquent pas leurs préceptes -ouverture : Tartuffe de Molière => dénonciation des dévots (analogie dans description « gros et gras, le teint frais la bouche vermeille » v.234) -« Le songe d'un habitant du Mogol » fable 4 du livre IX => comparaison

l'imposture « imposture, grimace, grimaciers » -guise de question rhétorique : il n'attend aucune réponse, il veut juste nous faire réfléchir de manière provocatrice. A travers cet éloge paradoxale de l'hypocrisie dom Juan critique en réalité les faux dévots, qui sont des hypocrites, sous forme d'ironie et en utilisant un vocabulaire mélioratif II.2eme partie : dj un hypocrite qui reflète la société : (ligne 57-76) A partir ligne 57 DJ parle de lui même le texte passe donc à la première personne

l’Antiquité : tragédies/comédies grecques -> acteurs portent des masques. Ils ne sont pas eux : l’homme et son rôle sont bien définis séparément. Mais présence de ce masque dans le quotidien tout de même = le Tartuffe de Molière le démontre bien. Le personnage principal (Tartuffe) : masque du dévot. C’est en cela qu’il parvient à amadouer Orgon. Particularité : masque visible pour tous, sauf pour Orgon. Ce dernier peut être comparé à un spectateur totalement crédule, qui croit que le masque devant lui

Convaincre et persuader Corrigés des exercices Chapitre 2 La critique sociale au temps du classicisme A. L’art du récit au service de la critique sociale Texte 1 La Fontaine, Fables « Le Singe et le Léopard » B. La satire au théâtre Texte 2 Molière, Tartuffe Fiches méthode : Types de textes et formes de discours Les genres littéraires Corrigés des exercices Chapitre 3 « Bas les masques » : la satire du pouvoir à l’époque des Lumières A. La critique politique et religieuse Texte 3 Montesquieu, Lettres

aspect plus que sur un autre. On pourra ainsi noter dans une adaptation de Tartuffe, un Tartuffe habillé sobrement, ce qui aura pour impact d’insister sur côté manipulateur et froid du personnage, et donc accentuera cette aspect de la dénonciation des faux dévots. A l’inverse, un personnage haut en couleur, tant bien dans son accoutrement que dans son phrasé, ferra rire le spectateur et passer pour des « bouffons » les faux dévots. De même, l’habit fait parfois le moine, et dans le cas des Précieuses

qu’il a • professionnel : il a rencontré des échecs avec ses dernière pièces (notamment Tartuffe).  Il n’arrive plus à supporter les gens autour de lui : • médecins : il les trouve incompétents • courtisans : hypocrites, intéressés (il critique les précieux et les bourgeois qui veulent égaler les allures et les privilèges de la noblesse) • Eglise : « faux dévots », directeurs de conscience (cf . Tartuffe).  Il est en pleine dépression, il se fait de la bile (cf. L’Atrabilaire amoureux…). Le