Conclusion Tartuffe Faux Dévots

notamment, les défauts humains sont poussés à leur paroxysme et les personnages sont si caricaturaux que le nom de chacun devient, par antonomase, un nom commun (un tartuffe, un dom juan). Lec lecteurs ont affaire à des pédants affectés (comme l'illustrent Les Femmes Savantes, Les Précieuses Ridicules), des faux dévots (comme dans Le Tartuffe), des hypocondriaques (tel que Le malade Imaginaire). De même, Arnolphe dans L'école des Femmes est semblable à Sganarelle, dans Le Cocu imaginaire, et sont tous

complète, La Fontaine peaufine son personnage pour la chute. Il a deux noms, deux faces, " Raminagrobis " et " Grippeminaud " Il fait un peu penser à Tartuffe. C'est par ce personnage que l'on va rentrer dans la dénonciation. Deux faces : qualités morales = " dévot ermite ", " saint homme ", " bon apôtre ". Cependant, il cache son jeu, il utilise un faux air paternel pour arriver à ses fins : " mes enfants " Allitération en R - sonorité dure qui prévient le lecteur

autres personna¬ges et agir en conséquence. Tartuffe, comédie de Molière, offre un exemple de ce procédé. Orgon fait tellement confiance à Tartuffe qu'il ne parvient pas à croire ce que sa famille dit de lui, qu'il n'est qu'un « cagot de criti¬que », un faux dévot, qui veut séduire les femmes de la maison et ruiner le chef de famille. Pour le persuader de renvoyer Tartuffe, Elmire décide de dissimuler Orgon, son mari, sous une table et de laisser Tartuffe lui déclarer sa flamme (acte IV scène 4 et

particulier celles concernant la littérature anglaise au CDI (recherche de livres, magazines, encyclopédies…) mais aussi sur Internet ensuite j’ai contribué à la mise en page du dossier et à la confection du plan détaillé. De plus, j’ai rédigé la conclusion et enfin les biographies des auteurs. Pour faire le bilan, ce dossier m’a apporté de nouvelles connaissances en ce qui concerne le monde du théâtre au temps de Molière et Shakespeare. Ces époques qui se sont révèlées être riches. Tout

Molina, El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (1625), Molière écrit Dom Juan en 1665, à la suite de Tartuffe, censurée pour son impiété. Cette nouvelle pièce, qui raconte l'histoire d'un noble sicilien libertin refusant de s’amender malgré les multiples injonctions du Ciel, connaît un succès considérable jusqu’à ce qu’elle soit à son tour interdite par le roi sous la pression des dévots. A la fin de l'acte IV, Don Juan lance un défi à la Statue du Commandeur, l'invitant à souper avec lui.

littérature est souvent une source de plaisir, tant par la beauté du texte que son pouvoir d’évasion. Elle permet au lecteur de découvrir de nouveaux univers, de nouvelles façons de vivre et de penser » Corps : Intro 3 Arguments donc 6 exemples Conclusion I - La littérature est un outil qui permet de transmettre des idées et de s’évader CAR elle permet aux auteurs de mettre en avant des valeurs morales humaines dans des critiques sociales. Elle incite donc le lecteur à y réfléchir et à se remettre

ouvre d’autres horizons. II. LA COMEDIE CLASSIQUE A AUSSI UNE FONCTION DE CRITIQUE Si les comédies de Molière s’étaient contentées de divertir, il serait difficile de comprendre pourquoi certaines, comme par exemple L’Ecole des Femmes ou Le Tartuffe, ont pu déclencher des scandales à leur sortie. Si cela a été le cas, c’est bien parce qu’au-delà de l’apparence légère, les pièces de Molière proposent également un regard critique sur la société et les hommes qui l’entourent. 1. Une critique

partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe.Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés. En 1665, Dom Juan suscite également des remous. Malgré son succès, la pièce est retirée.Molière continue cependant de bénéficier de la faveur du roi. Viennent les pièces Le Misanthrope (1666)

Analyse lineaire n° 4 Moliere, Le Misanthrope Introduction Le Misanthrope ou l'arbitraire amoureux est une comedie de caractere ecrite par Moliere en 1666. Apres Dom Juan en 1665, et surtout apres la censure du Tartuffe en 1664, Moliere compose cette piece en vers en cinq actes , qui denonce l'hypocrisie au XVIIe siecle, particulierement a la cour du roi Louis XIV. Dans la scene 1 de l'acte I, Alceste, le misanthrope, se dispute avec son ami Philinthe: il lui reproche d'etre un hypocrite et

fin de la pièce. Il se produit effectivement et de façon spectaculaire. Un spectre déguisé en femme voilée vient avertir une ultime fois DJ et lui demande de se repentir. Face au refus de ce dernier, il se transforme en allégorie du Temps avec sa faux puis s'envole. Dans la scène suivante, la statue revient pour que Dj respecte sa parole donnée, à savoir dîner ensemble. La statue châtie le libertin d'une façon particulièrement spectaculaire puisqu'il finit embrasé, très certainement dans les flammes