Conclusion Tartuffe Faux Dévots

la troupe officielle de Monsieur, frère du Roi. Des grandes pièces de théâtre s’enchainent et il commence à gravir les échelons de la réussite qui fait des envieux surtout ceux du parti dévot qui l’accuse d’athéisme et le qualifie de démon. Cette polémique fait interdire deux des ses pièces de théâtre : Le Tartuffe et Dom Juan. Cette querelle est donc bien plus que littéraire car elle engage la liberté du créateur dramatique. A 43 ans, Molière a eu une grave fluxion de poitrine. Une grosse toux ne

là, Madame la Belette / Que l’on déloge sans trompette ». *Le ton est léger, le vocabulaire piquant et amusant. Ainsi, le chat inspire au poète des tournures à la fois solennelles et drôles : les vers 32 à 35 le définissent tour à tour comme « un dévot ermite » mais « faisant la chattemite » ; « Un saint homme de chat » : La Fontaine fait de « saint homme » une locution adjectivale figée qui produit un effet comique en mettant sur le même plan « homme » et « chat ». L’expression « bien fourré » est

comédie, qui permet une critique des mœurs et travers de son temps. Dom Juan, qui est joué pour la première fois en 1665, connaît un succès considérable jusqu’à ce qu’il soit secrètement interdit par le roi sous la pression des dévots qui venaient de faire interdire Tartuffe. En effet, cette pièce, qui reprend un sujet à la mode déjà illustré par l’espagnol Tirso de Molina, est une tragi-comédie qui raconte la vie dissolue d’un libertin. Si Molière est considéré comme un classique, Dom Juan est néanmoins

dénonçant les problèmes sociaux culturels. Sous cette forme une préface était donc mise à la disposition du lecteur afin dʼéviter tout malentendu pouvant être assez lourd de conséquence pour lʼauteur, à lʼimage de Tartuffe ou Molière dans se préface explique quʼil ne critique pas les Dévot ni la religion pour ne pas attirer les foudre de ces gens la. Effectivement, le rire permet en réalité à l’auteur de faire passer plus facilement son message.La comédie est aussi souvent utilisée pour dénoncer

moralise dépasse l’anecdotique et le transitoire pour peindre, à la façon de son illustre modèle des types, des caractères éternels. Des clés circulèrent même pour trouver les modèles qui inspiraient ces portraits./ Le portrait d’Onuphre est celui du faux dévot. L.B. observe ses comportements pour tenter de trouver la vérité d’un homme si habile à la cacher. I) L’Art de la composition : La théâtralité A) Un acteur confirmé  7 premières lignes consacrées à sa vie intime contre toutes les autres

Louis XIV. Molière utilise le classicisme comme courant littéraire, il va utiliser ce genre dans son théâtre et surtout pour ses comédies. Dom Juan qui est une comédie en cinq actes a été écrite en prose en 1665 a la suite de l'interdiction de Tartuffe. Cette tragi-comédie raconte la vie du libertin Dom Juan. Si Molière est considéré comme un classique, Dom Juan fait des exceptions aux règles classiques : la pièce refuse la règle des trois unités, est écrite en prose, se finit mal (contraire au

elles ne l’intéressent pas. DJuan est l’homme du présent, de l’instinct... d’où peut-être, du reste, son indifférence à la médecine : un remède donné au hasard peut être efficace, comme il peut ne pas l’être (et, ma foi, au XVII° siècle, ce n’était pas faux !) ; aussi, pourquoi y accorder de l’importance ? B- Sganarelle « connaît [son] Dom Juan par cœur » ! * Sganarelle comprend parfaitement les non-dits de DJuan : il sait traduire : d’où ces répliques du tac au tac : « Laissons cela »= «  C’est-à-dire

enterré religieusement, à cause de son statut de comédien. Œuvres : le Bourgeois gentilhomme, l'Avare, le Tartuffe, le Médecin malgré lui, le Médecin Volant, l'École des Femmes, le Malade Imaginaire II. La création de Dom Juan a. le contexte En 1664, Tartuffe fait scandale auprès des membres influents de la Cour, comme Anne d'Autriche, car la pièce aborde le sujet des faux dévots. Ce sujet est délicat, car la religion ne peut pas être utilisée en comédie (c'est un sujet "noble"). Malgré

XVIIème siècle et continua d'exister par la suite tout en suscitant toujours de vives critiques au cours des siècles. Ainsi, Victor Hugo, auteur français du XIXème siècle, déclara qu'il s'agissait du "domaine où tout est à la fois vrai et faux". Qu'est-ce que le faux dans le théâtre si ce n'est le théâtre lui même tout entier ? En quoi peut-on affirmer qu'il y a une part de vérité dans le théâtre ? I) 1) Comme le dit Victor Hugo «Le théâtre n'est pas le pays du réel: il y a des arbres en carton

bien que ce chiffre n'est pas probable su simple fait du bon sens et de la logique. En lisant, nous finissons par connaître. Certaines oeuvres sont connues de tous, les oeuvres de molière pour exemple, nous savons tous que dans Tartuffe, tartuffe est un faux dévot et que Orgon est tombé dans son piège. 2-puisque nous sommes pas en mesures de vérifier, soit parce que les évènements sont passés soit parce qu'ils sont vérifiables mais pas à notre échelle. ainsi le seul moyen d'être sur est de