Conclusion Tartuffe Faux Dévots

Un rôle de séduction s’impose entre les acteurs, ce rôle de séduction est la pour mieux interpréter les personnages. Tartuffe de Molière est un personnage qui impose un double jeu des acteurs qui l’interprète .Tartuffe a comme rôle de faux dévot .Il se fait passer pour dévot envers son directeur alors qu’il tente de séduire sa femme. « Ah pour être dévot je n’en suis pas moins homme » Cette phrase veux tout dire, elle annonce bien le double jeu. Les gestes, contrôler ou incontrôler

pourtant inextricables. De plus, la comédie met en scène des sujets légers par opposition à la gravité de la tragédie ; des personnages ordinaires, généralement des bourgeois, règlent des soucis du quotidien. A l’exemple de la scène 1 de l’acte I de Tartuffe de Molière où l’on est témoin d’une dispute d’une famille bourgeoise moyenne. Madame Pernelle, mère d’Orgon est déçue et révoltée du train de vie que mènent ses petits enfants, et décide de quitter la famille. D’autre part, dans Le Barbier de Séville

pourtant inextricables. De plus, la comédie met en scène des sujets légers par opposition à la gravité de la tragédie ; des personnages ordinaires, généralement des bourgeois, règlent des soucis du quotidien. A l’exemple de la scène 1 de l’acte I de Tartuffe de Molière où l’on est témoin d’une dispute d’une famille bourgeoise moyenne. Madame Pernelle, mère d’Orgon est déçue et révoltée du train de vie que mènent ses petits enfants, et décide de quitter la famille. D’autre part, dans Le Barbier de Séville

théâtre réglementé par une influence religieuse très présente. Jean-Baptiste Poquelin, connu sous le nom de Molière, vient s’essuyer un échec peu rassurant pour sa carrière, par l’interdiction de sa pièce « Tartuffe », écrite en 1664, jugée trop outrageuse par sa critique explicite qu’elle fait des dévots (personne pieuse qui est attachée aux pratiques religieuses). Afin de renouer avec le succès, il écrit à la suite, en 1665, Dom Juan. Pièce éponyme, dont le héros est un libertin. Dans cette pièce, Molière

l’admirateur inconditionnel de Tartuffe, tyran vis-à-vis de sa propre famille. Nous nous doutons que les personnages n’évolueront pas : les masques de Molière sont en général dépourvus de profondeur psychologique. 2. L’intrigue L’essentiel de l’intrigue nous est livré dans ces premiers vers : il s’agit de la division provoquée au sein d’une famille par l’intrusion d’un faux dévot. La douceur de vivre qui régnait dans la maison contraste avec le rigorisme qu’y impose Tartuffe. Mais l’intrigue compte

double et une simple recto verso. Le tiene n’est donc pas assez développé.Attention aux contresensIl faut être plus méthodique: un argu et un ex analysé à chaque foisII. est hors sujet: tu dois parler d’ORGON, un homme sous l’emprise de Tartuffe. Or tu parles de Tartuffe, un homme sous l’emprise d’Orgon. Hors sujet donc (et contresens) Cette partie est vide: ce n’est pas une partie de commentaire de texte. Reprends la méthode Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est né le 15 janvier 1622

pourtant inextricables. De plus, la comédie met en scène des sujets légers par opposition à la gravité de la tragédie ; des personnages ordinaires, généralement des bourgeois, règlent des soucis du quotidien. A l’exemple de la scène 1 de l’acte I de Tartuffe de Molière où l’on est témoin d’une dispute d’une famille bourgeoise moyenne. Madame Pernelle, mère d’Orgon est déçue et révoltée du train de vie que mènent ses petits enfants, et décide de quitter la famille. D’autre part, dans Le Barbier de Séville

respecte les convictions religieuses. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot Tartuffe et celle du libertin Don Juan prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de Don Juan est très ambiguë. Certes, Don Juan est puni de ses péchés par la mort, il est anéanti physiquement (en effet les didascalies l'indiquent comme avalé par la terre), la conclusion semble donc morale (comme on peut l'attendre à l'époque). Néanmoins, peut-on dire qu'un héros est vaincu si il

conclusion : Une scène babillarde et légère, où il manque le seul personnage qui pourrait bien faire basculer la pièce dans une tonalité beaucoup plus grave ; Tartuffe n’apparaîtra qu’à l’acte III ; d’ici là, nous aurons d’autres portraits de lui, et le spectateur va peu à peu prendre conscience que l’engouement que lui porte Orgon n’est pas sans danger pour l’équilibre familial. 3. L’atmosphère de la scène C’est donc d’emblée une scène comique, sans que soit soulevé un débat de société comme

Lecture analytique n°1 Acte I, scène 1 (intégrale) du Tartuffe (1669) de Molière.   Rappel sur les enjeux d’une scène d’exposition (d’après Michel Pruner, L’analyse du texte de théâtre, 2e édition, éd. Armand Colin, 2010) : Dans un théâtre où l’action se présente selon un enchaînement de causes et d’effets, l’exposition est le moment où l’auteur livre les éléments indispensables à la compréhension de l’action. L’exposition constitue une convention dramaturgique qui pose les bases