Conclusion Taylorisme Toyotisme

Toyota est toujours « l’usine du désespoir » Du simple quidam croisé dans la rue aux dirigeants des think-tanks les plus en vue, en passant par des hauts fonctionnaires ou des journalistes, à Tokyo, chacun en arrive peu ou prou à la même conclusion : les Etats-Unis appuient sur l’accélérateur des révélations afin de discréditer Toyota, passé numéro un mondial devant les constructeurs automobiles américains. « “Too big to stay on top” (trop gros pour rester au top), m’assure une jeune journaliste

liée au renouveau technologique. Ex: taylorisme + électricité, toyotisme + NTIC. 1ère révolution industrielle = factory system basé sur les machines à vapeur et sur le savoir-faire des ouvriers, "héritiers des secrets des corporations" (Coriat). L"électricité est tout d'abord apparue comme une possibilité de démocratisation de l'énergie pour les artisans. - Les nouveaux principes de l'organisation du travail. Complémentarité entre les NTIC et le toyotisme. adéquation entre : le juste à temps (production

15 VI- Le prolongement des classiques …………………………………………………… 16 1- Le fordisme……………………………………………………………………16 2- Le toyotisme…………………………………………………………………. .17 3- Lyndall Fownes Urwick ………………………………………………….. ….18 4- Luther Halsey Gulick……………………………………………………… …19 Conclusion……………………………………………………………………………….21 Bibliographies & Wébographies …………………………………………………………21 Introduction Les écoles et, comme toutes les sciences de l’homme

réalisation personnelle dans le cadre de travail. La qualité de la production s'en ressent. Il faut donc réussir à  combiner une réelle efficacité économique avec une meilleure intégration sociale et humaine des salariés. A la fin des années1970, le Toyotisme est une première réponse aux difficultés du modèle taylorien-fordien, grâce à  sa grande réactivité face au marché. Les procédés de fabrication reposent tout d'abord sur une meilleure intégration des personnels, plus polyvalents et plus autonomes

* Ouvrage : « The Principles of Scientific Management » (1911) * « On ne vous demande pas de penser, il y a des gens payés pour cela, alors mets-toi au travail » * On l’a accusé de vouloir transformer les hommes en machines. Le taylorisme Contexte : L’Amérique des années 1900 – beaucoup de main d’œuvre non qualifiée, beaucoup d’immigrants. * Quel travail peuvent-ils occuper alors que l’agriculture n’a plus besoin de main-d’œuvre ? * Comment augmenter la productivité ?

les gestes les plus efficaces * Adapter les outils aux différents postes * « The principles of scientific management » 1911 * Henry Ford : L’applicatif du Taylorisme. * « On ne vous demande pas de penser ; il y a des gens payés pour cela, alors mets toi au travail » Taylor à l’ouvrier Mickael J.Shartle Le Taylorisme Contexte : L’Amérique des années 1900, beaucoup de main d’œuvre non qualifiée, immigrants Comment augmenter la productivité ? Quels travail peuvent ils occuper, alors

ont eu pour conséquence de segmenter le marché du travail, particulièrement au détriment des femmes et des jeunes. I. AUX ORIGINES DE LA SEGMENTATION DU TRAVAIL A. rappel sur l'historique de l'organisation du marché du travail : du Taylorisme au Toyotisme - À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle Taylor et Ford ont mis en place les principes de l'organisation scientifique du travail : - Séparation radicale entre la conception et l’exécution C’est la division verticale

processus productifs, est depuis longtemps l’objet de fortes inquiétudes. Lors du développement de la Révolution Industrielle, la mécanisation provoque d’importants rejets de la part du mouvement ouvrier. Au début du siècle, l’introduction du Taylorisme et du Fordisme se heurte à de vives contestations syndicales. Aujourd’hui encore, ces craintes sont ravivées par l’extension des nouvelles technologies. Pour un bon nombre de nos contemporains, c’est d’ailleurs dans le développement sans cesse croissant

4. Trop d’éthique tue l’éthique : exemple du Japon 2. Ethique interne, prise en considération des salariés 1. Passage du taylorisme au toyotisme : intégration du salarié dans l’entrepriseç 1. Modèle classique avec l’organisation scientifique du travail 2. Behaviorisme : aspect humain pris en compte, postulat de Freud 3. Toyotisme : intégration de l’homme au système de gestion de la production 2. Les moyens mis en œuvre pour un dévelopement de l’éthique au

d'individus qui agirait en totale liberté. Les individus sont inscrits dans une société qui leur préexiste et qui s'impose à eux sous la forme d'obligations sociales (holisme), normes que les individus s'approprient dans les phases de socialisation. Conclusion Mauss: Une société ce sont des institutions qui imposent leurs obligations et qui préexistent aux individus. (ex: Noël nous fait comprendre que ces de dons-contre-dons mécanismes valent dans toutes les société → fond anthropologique commun.) Toute