Conclusion Terreur

au début suivit de l’action. 2) Procédés des vers 1-14 : répétitions l1-2 : « un mal qui répand la terreur, Mal »=> accentuation, insistance. Chiasme : « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés »l7, l11-14 : « Ni loups ni renards n’épiaient/La douce et innocente proie./Les tourterelles se fuyaient/plus d’amour, partant plus de joie. » Rimes suivies : « Un mal qui répand la terreur/Mal que le Ciel en sa fureur ». Rimes croisées l11-14 : « _______n’épiaient/________proie/_______fuyaient/_______joie

ennemie de la nation. Les régimes totalitaires retiennent le même modèle caractéristique avec une idéologie imposée à tous, un parti unique contrôlant l'appareil d'État, dirigé idéalement par un chef charismatique, un appareil policier recourant à la terreur, une direction centrale de l'économie, un monopole des moyens de communication de masse et un monopole de la force armée. A partir de ces trois régimes, et de caractéristiques a priori communes, nous nous poserons la question de savoir quels sont

révolution et de guerre civile ininterrompues ont dévasté et ruiné le pays. 1 1)Conséquences sociales 2)Conséquences économiques 3)Conséquences Politiques Mise en place d'un régime autoriataire dans lequel Staline possède tous les pouvoirs CONCLUSION: L'État totalitaire mis en place par Staline à partir de 1928 est une véritable dictature dans laquelle il est le seul chef. c'EST une soumission totale ainsi qu'une obéissance aveugle et il utilise plusieues moyens pour rester au pouvoir: la

totalitarisme F) La matrice de la Grande Guerre : la « brutalisation » des sociétés européennes G) Des proximités idéologiques : l’hostilité envers les élites, l’antilibéralisme, l’apologie de la violence, l’utopie de l’Homme Nouveau Conclusion Quelques pistes pour la transposition didactique Comme d’autres mots en vogue à notre époque, totalitarisme ou totalitaire sont des termes que tout le monde emploie mais que peu savent définir : c’est aussi le cas de mondialisation,

la tragédie d' " Œdipe roi ", de Sophocle : Thèbes est ravagée par une épidémie de peste, et l'on recherche le coupable de ce châtiment divin. Mais aussi : - allitération en " r " : " répand ", " terreur ", " guerre ",... - hyperbole dans le vocabulaire violent ; - rimes masculines (fureur, terreur), donc dureté ; - syntaxe très étudiée : la peste est définie par 2 appositions avant d'être nommée. Il établit ainsi une attente progressive, pressante en gradation ; - Enfin, opposition forte en

couteau, il semble qu’il entend une voix lui murmurer sa sentence à l’oreille : « Ah! … mort! »(P.11). Ici, c’est la tonalité dramatique qui est utilisée pour susciter le suspense de l’émotion de soulagement que vit le condamné lors de son réveil. En conclusion, le fait de n’avoir que l’idée de la condamnation à mort en tête et celui d’halluciner divers faits autour de lui venant de l’impitoyable idée de la peine de mort nous démontrent que cette idée, toujours présent tant autour de lui que dans son esprit

place à un style beaucoup plus dépouillé,marqué par des phrases courtes et un vocabulaire simple « périssaient »l.20; « ils avaient peur »l.20; « cette charge qui les avaient broyés avait fait naître en eux la terreur »l.21-22.La gradation du sentiment de peur transformé en celui de « terreur » montre l'humanité des combattants ,humanité sur laquelle insiste l'auteur(cette sorte d'acceptation de la défaite est impossible dans un combat antique).Les phrases courtes miment le désarroi des combattants

Cet aveu est contre nature puisqu’il s’adresse à son beau -fils, le propre fils du mari de Phèdre, Thésée dont on ne connait pas le sort. Selon Aristote, un évènement doit avoir lieu dans la tragédie. Et cet évènement doit procurer à la fois la terreur chez le spectateur mais aussi la pitié pour le personnage victime de cet évènement. Ici, ils sont deux à être victimes : Phèdre à la fois coupable mais innocente car dominée par la fatalité mais aussi Hyppolyte, victime de cet amour incestueux.

insupportable, car cette tristesse n'était nullement tempérée par une parcelle de ce sentiment dont l'essence poétique fait presque une volupté, et dont l'âme est généralement saisie en face des images naturelles les plus sombres de la désolation et de la terreur. Je regardais le tableau placé devant moi et, rien qu'à voir la maison et la perspective caractéristique de ce domaine, les murs qui avaient froid, les fenêtres semblables à des yeux distraits, quelques bouquets de joncs vigoureux, quelques troncs

ou Jean-Paul Sartre Mort : au cours d'une de ces missions, le 31 juillet 1944, son avion disparaît au-dessus de la Méditerranée. Reconnu "Mort pour la France". Type : texte narratif situé à l'incipit Genre : Roman Style : Tragique ( pitié & terreur ) + registre épique qui évoque le combat de l'homme tout seul face à la machine. Thème : mort imminente pour moraliser ses lecteurs sur les dangers de l'aviation P + Axes : « En quoi le personnage de Saint-Exupéry est-il un héros ? » Pour y répondre