Concordat de Worms

opposition, Grégoire VII ne désarmera pas. Il s'accrochera. Il ne parviendra pas à tout solutionner lui-même, mais, grâce à l'action de ses successeurs, les choses évoluent lentement.Calixte II (1119-1124) trouve une solution intermédiaire : le Concordat de Worms. Ce dernier stipule que la nomination du pape revient aux seuls cardinaux et que la nomination des évêques revient au pape. Grégoire VII fut canonisé par Paul V en 1606. Question 2 : Géographie Les réseaux urbains en France En France

d'élection du pape. Elle fut résolue -au bord de la guerre entre le StERG et les Etats pontificaux- avec le Concordat de Worms de 1122, statuant que les évêques seront nommés par le pape, établissant les conclaves tels que nous les connaissons et laissant l'attribution des fiefs ecclésiastiques à l'appréciation du souverain. Bien plus tard et dans un contexte politique différent, le Concordat de Bologne conclu entre François 1er et le pape Grégoire X en 1516, verra la France obtenir en échange de la

Bourgogne  Empereur = Rome Antique (prestige au M-A)  Mission : aider l'Eglise et peut sortir théoriquement de son cadre territorial pour l'ensemble de la chrétienté. b) L'Eglise impériale et la querelle des investitures => 1075-1122 - Concordat : document qui règle les relations entre la papauté et les puissances temporelles => Empereur :  élection, consécration et nomination des évêques  paix et aide en cas de besoin Pape :  laisse l'empereur assister aux élections sans

le Pape > à Rome, il y a alors 2 Papes. Cette situation dure un demi-siècle. Le conflit s'achève en 1122. Henry IV cède son pouvoir à son fils, Henry V & un autre Pape, Calixte II . Tous 2 conclut un concordat : traité entre la papauté & une nation > concordat de Worms signé en 1122. dans ce concordat, on confirme la réforme grégorienne & on indique que l'empereur ne pourra plus désigner d'ecclésiastique, les évêques seront élus par les élus ecclésiastiques. C'est la fin de cette lutte contre la féodalité

de fief Henrri Ier, roi de France Début de la réforme grégorienne Philippe Ier, roi de France Chanson de Roland Conquête de l'Angleterre par Guillaume, duc de Normandie Grégoire VII, Dictatus papae Querelle des Investitures ; s'achève avec le concordat de Worms (1122) Henri IV, empereur de Germanie va à Canossa Urbain II appelle à la première croisade Louis VI le Gros, roi de France Louis VII le Jeune, roi de France L'abbé Suger à Saint-Denis ; Décret de Gratien Dernier exemple d'association du successeur

d’une perte considérable. Le premier pape réformateur est Léon IX (pape de 1049 à 1054). La période de la réforme grégorienne se clôt au moment où l’empereur germanique reconnait l’autonomie de l’investiture des évêques par le Pape lors d’un Concordat passé à Worms en 1122. L’onde réformatrice va être beaucoup plus longue. Trois points qui caractérisent cette grande réforme du XIème siècle. Le premier est la révolution pontificale au terme de laquelle l’évêque de Rome prend le pouvoir de l’Eglise et

de la réforme grégorienne 1060 Philippe Ier, roi de France v. 1065 Chanson de Roland 1066 Conquête de l'Angleterre par Guillaume, duc de Normandie 1075 Grégoire VII, Dictatus papae 1076-1122 Querelle des Investitures ; s'achève avec le concordat de Worms (1122) 1077 Henri IV, empereur de Germanie va à Canossa 1095 Urbain II appelle à la première croisade 1108 Louis VI le Gros, roi de France 1137 Louis VII le Jeune, roi de France v. 1140 L'abbé Suger à Saint-Denis ; Décret de Gratien 1179

l'empereur germanique. Ce dernier ne descend pas tout de suite, et choisit un troisième prétendant, que le pape n'accepte pas, s'affirme donc supérieur, et Henri IV le prend mal et cela dégénère : en 1076, l'empereur Henri IV convoque un concile à Worms, concile à sa botte, et cette assemblée suit les recommandation impériales et fait déposer le pape. Riposte du pape, il destitue Henri IV , estime qu'il a le droit puisque c'est écrit dans les dictatus papae. C'est la première fois qu'un pape étend

Mayence (septembre 1049) et de Reims (octobre 1049). Sous le règne de son successeur, Victor II (1055-1057), les synodes réformateurs se multiplièrent, particulièrement en France et en Espagne. Lorsqu’il fut appelé à la papauté par le synode de Worms (1049), Léon IX s’entoura immédiatement de quelques prélats intransigeants, qu’il nomma cardinaux et dont il fit ses légats. C’est avec ces hommes qu’il initia sa réforme. Parmi eux se trouvaient Udon, du chapitre cathédral de Toul, Frédéric de

millions de francs, il a pris le contrôle d’une entreprise qui vaut huit milliards en bourse trois ans plus tard et fait de lui, instantanément, un des hommes les plus riches de France. Cependant, les créanciers du groupe restent menaçants. Tant que le concordat n’est pas voté, Bernard Arnault n’est que le patron d’une entreprise en dépôt de bilan et couverte de dettes. Commence alors une campagne de négociation avec tous les créanciers. Le ministère des Finances accepte d’étaler sur trois ans le recouvrement