Concordat

vie sociale et de la religion). a- Les structures de la religion protestante L’organisation de l’Eglise : Une nouvelle organisation de l’église a été établie après le concordat (1801) et complété par les lois organiques de 1802. Le protestantisme français accepte favorablement la protection de l'État apportée par le Concordat. Cette nouvelle organisation de la communauté protestante sera pourtant à l'origine de nombreuses difficultés, qui émailleront tout le XIXe siècle : elle impose une organisation

I) Un renouveau dans la pensée de l'Eglise, implication dans son temps A) Le Concordat. 1801 le Concordat La religion Catholique est reconnue Religion de la grande majorité des Français. C’est l’autorité politique qui décide des évêques et le pape les canonise0 Les ecclésiastiques sont rétribués par l’Etat. Une administration des cultes est mise en place. B) Les influence du Concordat. Ainsi l’Eglise retrouve son influence. Respect du dimanche (1814) abolition du divorce

districts. Le concordat de 1516 est ainsi aboli.· Le clergé doit prêter serment à la Constitution et passe ss l’autorité de l’Etat.· Le clergé se divise entre « jureurs », fidèles à la Révolution, et « réfractaires », qui refusent de prêter serment.· Le pape Pie VI a condamné cette « Constitution civile » qu’il juge « hérétique ».II. Régler les rapports entre religions et Etat : des liens étroits au début du XIXe siècle à la prise de distance progressive.A. Les enjeux du Concordat de 1801 et du sacre

SOCIETES EN DIFFICULTES A- SOUCI DE DEVELOPPEMENT DES ACTIVITES DE LA SOSIETE B- BESOIN DE PRESERVATION DE LA SOCIETE CONTRE CERTAINS RISQUES C- NOUVELLE ORIENTATION DES ACTIVITES DE LA SOCIETE D- RECAPITALISATION E- CONCORDAT II- TECHNIQUES DE RENFLOUEMENT A- SOUSCRIPTION SUPLEMENTAIRE B- APPEL PUBLIC A L’EPARGNE C- AUTRES PROCEDES INTRODUCTION Les sociétés jouent un rôle essentiel dans la vie économique d’une nation. Hélas! Il est assez

le Vatican, le Pape Pie VII propose de signer avec Napoléon le Concordat. Mais le Pape est déçu de cet accord étant donné que les biens du clergé n’ont pas étés restitués aux propriétaires d’origine. Napoléon Bonaparte s’affiche ainsi comme le défenseur du culte chrétien, une image qu’il projette afin de réaffirmer son autorité sur le peuple des chrétiens. Mais le Pape n’obtient pas tout ce qu’il désire car, non seulement le Concordat, qui durera jusqu’en 1905 est un texte de compromis, mais les articles

national-socialisme et n’est pas antisémite[1]. H. Wolf montre par ailleurs que le Saint-Siège s’est résigné à signer le Concordat car un pistolet était posé sur la tempe du secrétaire d’Etat[2]. Cependant, Godman reproche à Pie XI et à Mgr Pacelli de ne pas avoir adopté la bonne stratégie face à Hitler. En effet, leur stratégie a consisté à défendre à tout prix le concordat de 1933 pour protéger les catholiques allemands. D’où le choix de l’encyclique de 1937, sorte de « compromis boiteux entre

inamovibilité des juges) Le Concordat Liberté religieuse et neutraliste de l’Etat face à la religion (Etat laïc) pour autant cela ne vas pas mener à la séparation de l’Eglise et de l’Etat mise à part une brève séparation sous le directoire il faudra attendre 1905 pour avoir une véritable séparation, les révolutionnaires de 1789 vont plutôt tente d’instaurer un contrôle étroit de l’Etat sur l’Eglise catholique, ce que Napoléon va mieux réussir avec le concordat. De la constituante au directoire

Révolution et à sa survivance. II) Le Gallicanisme après la Révolution Après la révolution de 1789, le gallicanisme a eu une très forte influence sur le clergé, ce qui a permis l’adoption de la Constitution civile du Clergé (A) puis le Concordat entraînera la disparition du gallicanisme (B). A) La Constitution civile du clergé A la fin du XVIIème siècle, le Gallicanisme a une très forte influence sur le clergé français. Cela s’explique par le fait que les théories de Bossuet furent

auxiliaires. Napoléon a aussi changé l’organisation administrative judiciaire et financière. Le plus beau titre de gloire de Bonaparte, c'est d'avoir rendu à la France la paix religieuse par le Concordat. Bonaparte s'entendit avec le pape Pie VII et signa avec lui un traité appelé Concordat(1801). D'après le Concordat, les évêques étaient nommés par le Premier Consul, mais d'accord avec le Pape. Les curés étaient nommes par les évêques. Le clergé recevait un traitement pour le dédommager de la perte de

pape de Pise, Alexandre V. Cette situation sera finalement réglée par le concile de Constance avec l’élection d’un seul et unique pape, Martin V qui regagnera Rome le 22 septembre 1420. Ensuite c’est au tour de le roi François 1er qui négocie le concordat de Bologne grâce à sa victoire de Marignan qui va régir l’Eglise de France jusqu’à la révolution. Il régit les relations entre l’Eglise catholique romaine et le roi de France jusqu’en 1790. Il donne au roi de France un pouvoir sur l’Eglise dans son