Concurrence Monétaire

publics) et d'opérations marchandes (entreprises publiques). L'État redistributeur : il prélève des impôts et les transfère vers d'autres agents économiques. L'État interventionniste : il réglemente l'économie et mène des politiques budgétaires, monétaires, industrielles, fiscales. L'État providence : il agit sur la société civile dans la plupart des domaines d'activités socioculturelles, familiales, de santé, d'éducation, etc. 12 - Les critiques faites à la régulation par l'État En amont de la décision

d’assurer la sécurité des transactions et de veiller au bon fonctionnement des mécanismes de marché. L’Etat doit donc laisser faire les individus permettant ainsi le libre jeu de la concurrence et d’aboutir au meilleur ordre économique. Par ailleurs, les produits doivent pouvoir circuler librement car la libre concurrence permet la meilleure utilisation des ressources mondiales. 1) L’adhésion à la théorie de la valeur travail Smith et Ricardo distinguent pour leur raisonnement la valeur d’usage

l’entreprise. 2. La notion de rivalité élargie La notion de rivalité élargie, due à Porter (1982), s’appuie sur l’idée que la capacité d’une entreprise à exploiter un avantage concurrentiel dans son marché de référence dépend, non seulement de la concurrence directe qu’elle y rencontre, mais également du rôle exercé par les forces rivales telles que les entrants potentiels, les produits de substitution, les clients et les fournisseurs. Menaces des nouveaux entrants Menaces des produits de substitution

qu’il leur permet de dégager un profite. Les services non marchants se sont rendu généralement par l’état à titre gratuit ou celui gratuit. -Le marché du travail : C’est un lieu de rencontre des travailleurs et des employeurs -Le marché monétaire ou interbancaire : C’est un marché du coût thermes (moins de 2 ans) où les banques, les assureurs, les entreprises, les Etats prêtent et emprunter des fonds en fonction de leur besoin. -Le marché forex ou des d’échanges : Il permet au agent

juridique Réglementation, politique de la concurrence, politique industrielle, politiques monétaire et fiscale, politique d’emploi Modèle PEST ou PESTEL Une liste des influences qui guident ou contraignent les choix stratégiques Des opportunités ou menaces pour les entreprises Possibilité de construire des scénarios sur l’évolution de l’environnement Politiques Economiques • influence des politiques publiques • conjoncture • politiques monétaires Technologiques Sociologiques • tendances

autres groupes européens mais aussi pour répondre aux exigences - désormais internationales - de leurs clients. Face à cette réalité les établissements nationaux se sont organisés afin de se doter des structures nécessaires pour faire face à une concurrence croissante. En effet la part de marché des 5 premiers établissements français est passée de 38,7% en 1993 à 44,7% en 2002. Et le mouvement continue comme le confirme l’acquisition du Crédit Lyonnais par le Crédit Agricole en 2003. Pour autant

Chapitre 2 : L’industrie L’industrie peut être définie comme un ensemble de firmes en concurrence, produisant des biens ou services étroitement substituables, offerts sur un même marché. Selon les époques, les courants de pensée, les préoccupations, les auteurs ont donc privilégié telle ou telle caractéristique particulière permettant d’effectuer un regroupement entre firmes (le marché pour les uns, l’ensemble des producteurs pour les autres), le groupement ainsi effectué étant considéré

face à la concurrence étrangère ; – favorise la croissance car la concurrence et l’accès à des marchés plus vastes provoquent la baisse des prix, donc une hausse de la consommation, des exportations, etc. B. Quelles sont les pratiques protectionnistes qui subsistent ? Le protectionnisme est une politique économique qui, par des mesures tarifaires et non tarifaires, vise à limiter les importations d’un pays pour favoriser et/ou protéger la production nationale de la concurrence étrangère

produits agricoles. Les classiques pensent que la concurrence est le meilleur moyen d’atteindre une hausse de la richesse de la nation. Il existe un ordre naturel qui se réalise de lui-même grâce à la liberté individuelle, la poursuite de l’intérêt individuel allant dans le sens de l’intérêt de tous. Métaphore de « la main invisible ». Smith souligne néanmoins l’asymétrie sur le marché du travail qui nuit aux travailleurs, les entraves à la concurrence réclamées par les capitalistes. A travers la poursuite

doit se diriger pour maximiser notre bien-être et nos profits. 3 grandes hypothèses : • L’hypothèse de concurrence pure et parfaite : croyance aux vertus de la concurrence  La concurrence est nécessaire pour affecter considérablement les prix.  La concurrence est un stimulant de l’individu et l’individu innovera. Croyance aux vertus de la concurrence. C’est un postulat. o Concurrence très forte. o Idée de pureté : normalement il n’y a pas de frottement, il n’y a pas d’imperfection, d’usure