Condition Ouvrière

Dissertation : Les femmes dans la Première Guerre Mondiale Niveau : lycée SOMMAIRE INTRODUCTION I. Les femmes ont un rôle majeur, mais caché, de 1914 à 1918 II. La place des femmes dans les mœurs III. Les conditions de la vie des femmes durant la guerre CONCLUSION INTRODUCTION La Première Guerre Mondiale, d’abord considérée courte, s’est en fait avérée être une guerre longue et totale. En France, les hommes étant partis combattre au front, il a donc

les délais, les fabricants chinois mettent souvent leurs employés dans des conditions de travail extrêmes. Thierry LECLERE nous donne comme exemple ce fabricant chinois, qui, pour terminer à temps la commande de Noël, a fait travailler ses ouvrières cent jours consécutifs sans un seul jour de repos, Pendant la période de pointe, les semaines de 72 heures sont de mise. La loi chinoise n'est jamais respectée. Les ouvrières sont payées à la pièce, pour réaliser les quotas élevés, elles sont obligées

les années 20, 30 aux USA, en réaction au taylorisme.  Elle survient par hasard, lors d’une expérience faite à la Western Electric.  Une interrogation : quelles conditions de travail pourraient augmenter la rentabilité des ouvriers ? L’expérience Hawthorne  Demande aux experts de l’OST Étudier les conditions matérielles d’un grand atelier L’expérience Hawthorne  Contexte de la Western Electric  Morosité des travailleurs  Augmentation du taux d’absentéisme et de roulement

niveau, le boulanger peut travailler seul ou en équipe. Un artisan qui tient sa propre boulangerie peut travailler seul, alors qu'en grande surfaces ou industries, les boulangers travaillent souvent à plusieurs car le travail est plus élevé. Conditions de travail : Le boulanger travail toujours en intérieur, et debout. Il a un rythme de travail journalier, sauf s'il a un jour de fermeture. Ses horaires varient en fonction de son secteur de travail. En boulangerie ou en supermarché il travaillera

occidentaux, puis dans une seconde partie, nous verrons que le syndicalisme reste un facteur d'intégration sociale. Partie 1: En sachant que le syndicalisme a pris racines dans le mouvement ouvrier, nous pouvons penser que le déclin de la classe ouvrière a participé à la crise du syndicalisme. Le nombre d'ouvriers est passé de 7 millions en 1982 à 5,9 millions en 1999 mais c'est surtout la nature du travail ouvrier qui s'est transformée. En effet, en 2001, il y a plus d'ouvriers qui travaillent dans

(Ouvriers de l’Industrie du Verre) __________ 6 Protocole d’accord - Miroiterie ___________________________________________________ 10 Conditions sectorielles de travail et de rémunération _____________________________ 15 Convention collective de travail du 30 juin 2011 conclue au sein de la Commission paritaire de l’industrie verrière, relative aux conditions de travail et de rémunération en 2011 et 2012 ___ 15 Prime de fin d’année ___________________________________________________________ 22

classe ouvrière. La première vague du féminisme Dans la première moitié du XIX° siècle,dans les pays industrialisés,l'existence des femmes appartennant à la bourgeoisie était soumise à de strictes contraintes sociales .Leur activité était confinée au tâches domestiques et aux oueuvres charitables ,et il était fort mal vu qu'elles exercent une profession rénumérés,surtout hors de leur domicile.De leur côté,les ouvrières effectuaient de longues journées de travail dans des conditions misérables

pour voir s'il a réussi sa journée. Le soir il se met sur son 31 pour aller à la réception qu'il a organisée pour le reste de la grande bourgeoisie de la ville, où chacun montre sa richesse. Les conditions de vie des ouvriers au 19ème siècle Par Léa, Julie, Harriette, Delphine La population ouvrière est de plus en plus nombreuse dans les villes ainsi que dans les pays noirs où se concentrent les mines, les usines sidérurgiques et les usines textiles. La main d'oeuvre augmente, elle est constituée

de revendications : augmentation de salaire, amélioration des conditions de travail, avantages spécifiques, annulation d'une décision… Le recours à la grève, on le sait, a connu ces dernières décennies une très forte décrue. Les salariés éprouvent de plus en plus de difficulté à recourir à ce qui constitue pourtant leur mode de lutte spécifique, et cela alors que les motifs de contestation (concernant principalement leurs conditions de travail et niveaux de rémunération) ne cessent de se multiplier

quant à l'impact véritable de ces mobilisations collectives. En effet, ces conflits du travail opposent généralement les salariés et leurs représentants aux employeurs sur des enjeux socio-économiques, tels que les revendications salariales, ou les conditions de travail. Jusqu’aux années soixante, les conflits du travail étaient des éléments importants du paysage social des pays développées comme la France. Puis se sont développées de nouvelles formes de représentation des conflits à travers notamment