Confédération générale du travail - Force ouvrière

FICHE DE LECTURE « Histoire des forces politiques en France (1880-1940) » de Pierre Lévêque Introduction : Le thème des mondes du travail requiert un détour réflexif par les forces politiques, qui sont à la fois l’expression de leurs acteurs (les rapports de production informent les organisations, et les travailleurs, selon leur secteur, leur situation dans ces rapports, s’identifient à des entités différentes) et les instruments de leur régulation (par la législation sociale comme par l’intervention

– entretien une fois par mois leurs moyens d’action : 15 h de délégation par mois – circulation libre – protection spécifique contre le licenciement - délit d’entrave remarque : le CHSCT Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail : si + de 50 salariés le comité d’entreprise : sa mise en place : obligatoire si + de 50 salariés – délégation unique – comité d’établissement – comité central d’établissement – comité de groupe – comité européen ses attributions :

de vie et de travail du monde ouvrier : a) Niveau de vie très bas L'ouvrier est un salarié dépendant d'un employeur qui l'embauche et le licencie. Son travail a toujours une composante manuelle plus ou moins pénible. Son environnement professionnel est marqué par les nuisances et des conditions de sécurité souvent médiocres. Des différences de considération et de salaires opposent l'ouvrier qualifié, l'ouvrier spécialisé et le manœuvre sans qualification. L'identité ouvrière n'est pas seulement

Pendant longtemps, l’influence du marxisme et plus encore peut-être celle des écrits des “philanthropes” des années 1840 comme Villermé, relayés par des écrivains (Hugo) et les hommes politiques (Blanqui, Guesde, etc.) a imposé l’image d’une classe ouvrière française constituée selon un schéma calqué sur celui de la Grande-Bretagne : passage précoce du domestic system au factory system, exode rural massif, prolétariat démuni s’entassant dans les banlieues des grandes villes, enchaîné aux grandes

permis de nombreuses améliorations des conditions et de travail des différentes classes sociales. Cela était permis car c’est une forme de gouvernement ayant une constitution et dont les représentants du peuple sont élus par celui-ci pour une durée déterminée. Ainsi, ce système permet l’expression des désirs et des nécessités du peuple à travers leur vote pour leurs représentants. Nous étudierons ici plus particulièrement la classe ouvrière au sein de la République française de 1870 à nos jours.

du chômage, consécutif comme nous l’avons dit de la crise économique. Cette hausse du chômage a conduit selon certains analystes à une désyndicalisation du fait tout simplement que les chômeurs n’ont pas d’intérêt à s’engager car ils n’ont pas de travail, ils n’ont donc rien à revendiquer. De plus certain sociologue explique que le chômage entraine un repli sur soi et donc une faible propension à aller s’engager. A ces phénomène structuraux, les syndicats, à partir des années 1960-70 ne vont pas être

radicalise d’avantage après le massacre de My Laï et l’offensive du Têt. Cette opposition se manifeste par de nombreux affrontements entre les forces de l’ordre et les étudiants. Ce mouvement s’accompagne par la suite d’une contestation culturelle générale de l’ensemble du pays. Pour ces mêmes motifs, un mouvement de constations apparaît simultanément au Japon, visant directement l’Amérique impérialiste. Les pancartes soulevées par les étudiants lors des marches de manifestation condamnent également

fragilisées par la grande dépression (1873-1893) se dépeuplent. L’exode rural se généralise entre 1850 et le début du XXe siècle, alimentant un grand courant d’émigration vers les villes et vers les pays du nouveau monde (Amérique) pour trouver du travail. 2- Multiplication des grandes agglomérations : Cette urbanisation, qui bouleverse les paysages et provoque le développement anarchique des banlieues, frappe les contemporains qui sont nombreux à s’apitoyer sur la « terre qui meurt »

Sommaire Introduction I. Le droit du travail : a) Les débuts du droit du travail et les évolutions majeures en France b) Qu’est-ce que le droit du travail ? c) Le Code du Travail d) Les syndicats et le conseil de prud’hommes II. Le droit au travail : a) Qu’est-ce que le droit au travail ? 1) Définition et généralités 2) Origines b) Les obligations de l’Etat Conclusion Annexes Introduction Le travail peut se définir comme toute activité professionnelle

La décision de supprimer la solde de la garde nationale et d’enlever les canons sur les hauteurs de Montmartre entraînent la révolte, la Commune de Paris, qui s’achève par un affrontement sanglant entre Communards et Versaillais commandés par le général Mac-Mahon : environ 20000 morts, 30000 arrestations et des condamnations à la déportation sont prononcées. Au départ, cette République est conservatrice et royaliste puisqu’elle aspire au retour de la monarchie. En 1875, des lois constitutionnelles