Confédération germanique

doublé Mondial-Euro réalisé dans ce sens[Note 1]. Les Bleus s'adjugent encore deux coupes des Confédérations en 2001 et 2003. Enfin, ils atteignent la finale de la Coupe du monde 2006 en Allemagne, qu'ils perdent aux tirs au but face à l'Italie. La France est la première sélection à avoir remporté toutes les compétitions internationales : Coupe du monde (1998), Jeux olympiques (1984), coupe des Confédérations (2001, 2003) et son championnat continental (1984, 2000). Depuis 1904, l'équipe de France

rumeurs entourant la Confédération canadienne ne lui plaisent pas. Il a la conviction que celle-ci n’est pas avantageuse pour les intérêts des Canadiens français. En 1867, ses craintes se confirment puisque la Confédération est adoptée. Selon lui, les pouvoirs accordés aux nouvelles provinces sont plus qu’insuffisants. Les partis politiques présents au Bas-Canada à cette époque ne répondent pas à ses aspirations. D’un côté, il y a les conservateurs qui sont pour la Confédération et de l’autre côté

l’explorateur français Jacques Cartier en 1534, le Canada prend son origine en tant que colonie française sur le territoire de l’actuelle ville de Québec d’abord occupé par les peuples autochtones. Après une période de colonisation anglaise, la confédération canadienne est née de l’union de trois colonies britanniques, lesquelles étaient constituées des territoires de la Nouvelle-France. Aujourd’hui le Canada est un État fédéral de dix provinces et de trois territoires qui a obtenu son indépendance

1798 et est considérée comme l’avènement de la Suisse moderne. a) La confédération d'Etats du XIIIe siècle à 1798 1. Le réseau d'alliances confédérales Avant 1798, la Suisse est constituée par différents textes (en pages 4 et 5 du polycopié). Il s’agit en fait d’un réseau d’alliances mais il n’existe pas d’Etat suisse à proprement parler. Cela n’apparaîtra qu’en 1798. En revanche, cet ensemble d’états forme une confédération qui comportera jusqu'à 13 états (ou cantons) unis par « l’alliance confédérale »

même un peu plus distant quant à sa carrière sénatoriale: "Assurant cette mission avec satisfaction, il fut adlecté dans le Sénat". De là débute sa carrière sénatoriale exemplaire elle aussi. En effet grâce à sa participation pendant les guerres germaniques sanglantes de Marc Aurèle contre les Quades et les Marcomans, l'empereur le fait nommer sénateur. Au fur et à mesure de sa carrière, Pertinax va atteindre des postes sénatoriaux de plus en plus qualifiés. L'empereur lui confie le proconsulat d'Afrique

-le poème situé p153 a aussi sa dernière strophe identique à la 1ère -Charleroi=ville industrielle mais « herbe », ttefois « noire »… -rimes embrassées -pourquoi la présence des Kobolds dans ce poème ? (=lutin malicieux des légendes germaniques qui a pour tache de garder les trésors souterrains. Dans ce texte, ils veillent sur les mines de charbon.) -S2= question brisant le rythme -naturel mêlé à l’industriel : « herbe, vent, avoine, buisson »≠ « forges, gares », le bruit. -confusion

victimes durant ses batailles => Plusieurs petites guerres mais les soldats ravagent le pays et vivent sur le compte des habitants en période de trône. - La guerre de trente ans : (1618-1648)  tensions (protestants-catholiques) dans l'Empire germanique  catastrophe démographique : la population diminue de 30 % en ville et de 40 % en campagne. Allemagne : 23 millions => 11 millions d'habitants  Défaite de l'Empire et victoire de la France - Conclusion : La France s'impose face aux autres

Francs sont un peuple d’origine germanique qui va combler la place laissé par l’empire romain et ce, en exerçant un contrôle dès 554. Cette nouvelle culture est prise en compte par l’Église. Le développement d’une principauté met en cause l’unité politique du territoire. Logiquement, elle appartient à un prince. Quand celui-ci meurt, le territoire est morcelé entre les héritiers mâles de ce dernier. On peut citer aussi plusieurs origines à ce peuple germanique dont : ❖ Les Visigoths.

en 842 (Deo au cas régime et Deus au cas sujet)10,11, puis Deu et Dieu (xie et xiie siècles)12. Les termes qui désignent Dieu dans les langues germaniques (Gott en allemand, God en anglais et en néerlandais, Gud dans les langues scandinaves, Guþ en gotique, Guð en islandais) ont une autre origine, elle aussi indo-européenne 13. La racine proto-germanique *ǥuđan est liée à la notion d'appel ou d'invocation 14. Sa plus ancienne mention écrite se trouve dans le Codex Argenteus, au vie sièclenote 1

de l'ours lui-même. En Scandinavie il enlève les jeunes filles et engendrent avec elles de guerriers fondateurs des dynasties dont les rois de Norvège et du Danemark se revendiqueront. Le combat contre un ours dans tous les peuples celtes et germaniques correspond à un rite initiatique. Tacite ne parle pas de ce rituel dans son oeuvre consacrée aux peuples germains, achevé au 1er siècle, mais l'historien Ammien Marcellin sénateur romain en 380 raconte comment chez les Goths les jeunes gens doivent