Congrégation religieuse

solidité de l'édifice qui se veut immuable. C'est ce qui explique en partie la multiplicité des ordres religieux dont nous allons donner ici un aperçu. Le clergé dit « régulier » Phénomène presque universel, venu des profondeurs de la pensée religieuse, le choix d'une vie d'ascèse, retirée du monde et consacrée à la prière n'est pas la caractéristique du christianisme. Les premiers moines chrétiens seront Coptes, en Egyptye. Mais dès le haut Moyen Age, on assiste en Europe à une poussée étonnante

reste importante, perd un grand nombre de ses fonctions (nationalisation des biens du clergé). Un peu plus tard, les philosophes du siècle des Lumière (XVIIIe siècle) cherchent avant tout la raison scientifique et combattent toute forme de croyance religieuse, qui entraine l'Homme dans l'erreur. Au nom du progrès et des valeurs républicaines les hommes combattent l’Église catholique. Quels combats ont été menés par les défenseurs de la laïcité ? Pourquoi la laïcité reste encore une valeur à défendre

La providence: le roi était le père de ses sujets. Idée que l'État soit assurer la subsistance de ses sujets. Évolution progressive vers un État providence. Extension à la sphère de l'économique et du social des droits de l'Homme. Question religieuse: différentes pbs s'entrecroisent. Question rapport entre État et Église. Question de la distinction par l'État de la sphère du publique et de la sphère du privé. Débats politiques: idée de pluralisme politique. Droite et gauche ne peuvent être

sur la séparation des Eglises et de l’État , la laïcité est une valeur fondatrice et un principe essentiel a la République en particulier en matière d'enseignement. Elle est néanmoins confrontée au développement de revendications culturelles et religieuses, souvent d’ordre identitaire. Ainsi l’étude de notre sujet sera centrée sur deux axes. Dans un premier temps nous étudierons l’affirmation de l’école laïque de 1880 à 1914, puis dans un second temps nous verrons que la laïcité est remise en question

trois ans. La foi républicaine et la laïcité s’imposent comme des valeurs essentielles de la république dès la fin du XIXème siècle. Par la loi Goblet de 1886, les instituteurs laïques remplacent progressivement ceux qui enseignaient dans les congrégations enseignantes. Ces lois font partie de l’œuvre entreprise par les républicains modérés pour promouvoir de grandes libertés et qui vont marquer l’histoire française. La République française veut imposer l’idéologie républicaine, il y a donc un

représentait aux yeux de certains hommes politiques, une arme contre le catholicisme. Entre 1997 et 1801, des cérémonies s’en réclamant eurent lieu dans les églises.) Bonaparte et le Concordat Le Premier Consul souhaite rétablir en France la paix religieuse, d’abord pour assurer la paix politique. Les négociations pour régler la situation de l’Eglise s’ouvrent à Venise le 14 mars 1800. Elles se poursuivirent à Rome et à Paris, furent très lentes laborieuses, de graves divergences opposant Bonaparte

l’instruction élémentaire : apprendre à compter. Mais cet enseignement n’est pas présent partout : coût important dans écoles payantes et retrait des élèves de l’école bien avant ce stade dans les écoles gratuites. àObjectif fondamental : la formation religieuse. àTous les traités pédagogiques s’occupent des moyens de punir. Par exemple dans L’Ecole paroissiale : -baguette sur les doigts pour faire étudier sur le champ. -Sur le derrière, plus ou moins selon la gravité de la faute. -La place de l’âne

incarnée en la personne d’Auguste Comte puis d’Emile Littré. Cette philosophie positive estime que dans l’histoire de l’humanité il y a eu trois âges différents : l’âge théologique où l’homme cherche des réponses à son existence par des explications religieuses, l’âge métaphysique où ce sont les philosophes qui prennent le relai et enfin l’âge positif où l’homme admet que la seule façon de trouver la vérité est la démarche scientifique. Ce positivisme entraine les Républicains à être anticléricaux et même

l’instruction obligatoire.  ü 1. Comment jules Ferry justifie-t-il l’école obligatoire ?... nécessaire pour la démocratie. 2. Qui s’occupait avant de l’instruction ?… les congrégations religieuses. 3. Quel est le but de cette laïcisation ?… neutralité, conformité avec la liberté de culte. 4. Quel est aussi le véritable objectif de cette école ?… former de bons républicains et préparer

disparition du principe spirituel, mais fait de celui-ci une pratique individuelle, relevant exclusivement de la sphère privée. Elle représente alors l’installation dans un présent historique qui a effacé le passé antérieur et où le thème de la liberté religieuse remplace celui des droits de Dieu et de l’église, où l’horizon de la civilisation chrétienne s’efface devant celui de l’humanité universelle. Le concept de la laïcité recouvre trois plans de réalité distinctes qui révèlent l’inscription de ce