Conjonction logique

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Logique et langage des ensembles 2.1 Propositions et op´rateurs logiques e 2.2 Quantificateurs . . . . . . . . . . . 2.3 Techniques de d´monstration . . . e 2.3.1 R´currence . . . . . . . . . e 2.3.2 Contrapos´e . . . . . . . . . e 2.3.3 D´monstration par l’absurde e 2.4 Langage des ensembles

1er paragraphe, Rousseau affirme avec force les deux biens fondamentaux qui sont pour les hommes, la liberté et l’égalité. Les deux mots sont mis en italiques, ils sont également soulignés par la ponctuation (ligne 3) puisqu’ils sont unis par la conjonction de coordination « et » qui les met sur un pied d’égalité, mais séparés par la virgule qui marque une pose et marque ainsi le poids que méritent chacun de ces mots. De plus, ils apparaissent au cœur d’un parallélisme qui permet d’accorder la même

couleurs qui sont fades : « noirs » (v.4), « gris » (v.5), dans « Croquis parisien », ainsi que dans « Spleen », avec l’adjectif de couleur : « gris » (v.2), des couleurs qui traduisent la tristesse, la mélancolie. La présence de répétitions de la conjonction de coordination « et » dans les deux poèmes, vers 10 et 11 chez Verlaine et vers 10,11 et 12 chez Laforgue, insiste sur la monotonie, et la routine. Ce qui est péjoratif. De plus, l’interjection « Bah » (v.13) utilisé par Laforgue exprime son dégoût

séparent sous peur de se contaminer « les tourterelles, se fuyaient ». De plus nous pouvons remarquer que dans la phrase « ni loups ni renards n’épiaient la douce et l’innocente proie » le verbe épier est à la troisième personne du pluriel or la conjonction de coordination « ni » devant les noms communs signifie qu’il n’y en a pas, le verbe devrai donc être a la troisième personne du singulier. Aussi a cause de cette maladie nous pouvons aussi voir que les couples se séparent sous peur de se contaminer

phrase complexe peut aussi se disposer d’une manière expressive. On en observera donc la structure et les éléments constitutifs. Lorsqu’une phrase (ou un ensemble de phrase) est composée de groupes juxtaposés et que l’auteur en retire toute conjonction de coordination ou tout mot subordonnant, il utilise un agencement parataxique. La parataxe désigne un enchaînement sans lien, saccadé, ménageant une impression de clarté, de rapidité, d’automaticité… Ce type d’organisation se repère grâce à la

données sensibles auxquelles l’esprit à affaire dans la validation de ses connaissances, prouver le fait d’avoir raison par la matière. D’après Platon, on se sert alors du ‘’monde sensible’’ pour aller vers le ‘’monde intelligible’’. Aussi, la conjonction de coordination ‘’et’’ place ces deux termes sur le même plan, voire peut-être même les lie. Mais, ils semblent tout de même déterminer deux attitudes contraires, voire contradictoires. Ce qui est accentué avec le verbe ‘’opposer’’ montrant que

à proximité des Grands : proposition relative introduite par « qu’ », expansion du groupe nominal « en exercice de contrebande ». * et hurler entre soi pour compenser : proposition infinitive coordonnée à la proposition principale par la conjonction de coordination « et ». De même, la proposition infinitive « pour compenser » est une circonstancielle de but. 3) Orthographe : « - Quoi, quoi, quoi, un « zombi » ? N’as-tu jamais entendu parrler des elfes, des gnomes, des fées, et feux follets 

Cependant même lorsqu’un texte est préparé à l’avance, on retrouve des éléments permettant d’identifier son statut oral. Effectivement, on entend la conjonction de coordination « et » avec un « d » ce qui donne « ed » (00 :37). On retrouve aussi une mauvaise négation de la part de François Bayrou qu’il reprend immédiatement « que nous n’examinons là ; que nous examinons là » (00 :49). Quelques bafouillages

Candide enjambe « des tas de morts et de mourants » (l.14/15) comme s’il franchissait des collines. Cela donne réellement l’impression que le narrateur fait preuve de froideur face aux souffrances. Dans cette perspective, nous pouvons noter que la conjonction de coordination « ou » (l.27/28) établit un rapport d’équivalence entre « les membres palpitants », chair humaine qui manifeste encore quelques signes de vie et les « ruines », désastre de pierres et de bâtiments. (+Dévalorisation franche des victimes :

caractéristiques du style de Flaubert, avec l’utilisation de la juxtaposition (parataxe) et l’usage de l’imparfait, c’est la façon particulière dont il se sert parfois de la conjonction de coordination " et ". Deux exemples ici : " et les plaques de lichen... " ; " et, assise sur le gazon... " Ainsi utilisée, cette conjonction permet le développement de tableaux, la pause dans une mesure rythmique au sein de la prose musicale flaubertienne. Partout où d’autres écrivains mettraient un " et ", Flaubert