Connecteur logique

est de soutenir « le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves » (lg 1) : le prénom perso. ‘nous’ semble inclure l’auteur parmi les partisans. → Forte argumentation ( par la variété des raisons données, et par la multitude des connecteurs logiques.) : ‘serait trop … si l’on ne’ (lg 4), ‘si … qu’il est presque impossible de’ (lgs 5-6), ‘si … que’ (lg 9) + nombreuses expressions pleines d’assurance visant à emporter la conviction du lecteur : ‘ on ne peut se mettre dans l’esprit’ (lg

Exercice de logique Voici un texte de Pascal tiré des Pensées :  « Il est juste que ce qui est juste soit suivi ; il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans force est contredite, parce qu'il y a toujours des méchants. La force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et pour cela faire que ce qui est juste soit fort ou que ce qui est fort

b) Le philosophe, le vertige (dispositif visuel, schématique=philosophe; planche; vide/efficacité du tableau en peu de lignes diff de Montaigne sur le vertige/connecteur logique « quoique »=démonstration/usage du futur=pascal sûr de sa démonstration/ « raison »=le stoïcisme/ vertige=expérience révélatrice=raisonnements impuissants contre cette peur/philosophe=incarnation de la raison mais victime de l’imagination/ « plusieurs »=déterminant

d’emblée de l’étude à mener appuyée par le connecteur chronologique « d’abord » l. 1 > sens de l’organisation. - Illustration de l’abrutissement et de la violence du colonisateur dans la suite du § par l’utilisation d’exemples à portée générale (articles définis, usage du pluriel) jusqu’à l’universel (l. 6). > Volonté pédagogique et démonstrative (la logique de la démonstration est laissée souvent au jugement du lecteur/ auditeur : peu de liens logiques au final mais beaucoup de ponctuation comme

d’époque.  Et aussi différence entre ancien moine et ceux d’aujourd’hui. Richesse actuelle des abbés B. Incohérence logique des arguments.  Structure d’ensemble : Les arguments se suivent sans cohérence logique, sans trame/déroulement de pensée, cela ce perçoit par l’absence de connecteurs logique au début de chaque alinéa.  Dans les détails : -A1 : La logique ne résiste pas à l’examen de détails, lien cause/conséquence. Montesquieu introduit une notion de nécessité, une conséquence

raisonnement : "que toutes les choses....découvre". L'énoncé des 4 règles est précédé par un paragraphe qui les justifie .A cette fin , il y fait un raisonnement par analogie entre la gouvernance d'un état et celle de la raison , organisé autour du connecteur logique "ainsi".L'argument présenté dans les trois premières lignes appartient plus à la doxa qu'à un fait avéré(NB: on sait qu'il fait référence à Sparte). Pour rendre son raisonnement plus convaincant , il utilise une hyperbole avec "multitude" ligne

et de subordonnées relatives (qui apportent une précision) *des mesures précises, mathématiques : « égale distance », « sept pieds de large », « trois pieds et demi », « cinq pieds de haut », « 23 carats », « onze deniers de fin » … *des connecteurs logiques (conséquence, de cause) : « puisque qu' », « ainsi », « car » *registre didactique : zadig explique très précisémment comment il va de l'observation à la conclusion = raisonnement inductif IV. La critique de la justice : - Les juges

L’esclave critique de plus en plus ouvertement son sort. L. 6 a 10 : décrit son sort sans le critiquer, mais a partir de la l. 14 a 16 il déplore sa situation, plainte «Hélas ». Hyperbole « mille fois moins » l. 16. Raisonnement logique : connecteurs logiques « si…Alors » Le raisonnement de Voltaire est un réquisitoire contre l’esclavage II. Un réquisitoire de l’esclavage 1. Dénonciation de la cruauté physique A) A travers le discours du nègre, décalage entre son état et le ton neutre

fréquemment l'absurdité du monde, le spectacle théâtral est porteur de sens. Axe II : Le spectacle théâtral permet de ne pas se laisser gagner par l'absurdité du monde. § 4 : D'une part le texte mis en scène, loin d'être insignifiant, obéit à une logique, même s'il aborde le thème de l'absurde. Ex. 1 : L’intrigue cyclique de La Leçon d’E. Ionesco symbolise la spirale de la violence. ( Tout sert à exprimer, à signifier (E. Ionesco, Notes et contre-notes, 1966). Ex.2 : Les didascalies de plus en

que l'on pense afin d'amener le lecteur à se poser des questions. Il a pour but de critiquer ou de dénoncer certaines pratiques, en recourant à l'antiphrase. - L'absurde : propos déroutants par leur absence de logique et où la relation entre cause à effet est défectueuse. - Le registre polémique : expression d'échange d'opinions contradictoires. - Le registre oratoire: expression entraînant l'adhésion du lecteur et qui