Conseil Constitutionnel 9 Novembre 1999

votée le 27 juillet 1982 par l'Assemblée nationale. L'homosexualité n'est donc plus considérée comme un délit en France. A l'échelle mondiale, l'homosexualité ne sera plus considérée comme une maladie mentale par l'OMS qu'à partir de 1991. Le 15 novembre 1999, le Pacs est voté et permet d'unir civilement deux personnes qu'elles soient de même sexe ou non. Après l'adoption du Pacs, des actions menées par les partis de gauche tentent d'ouvrir le mariage aux personnes de même sexe. En effet, il y a eu

Le 4 Mai 2009 DEVOIR DE DROIT PUBLIC Sujet : Article 9-1 du code civil : « Chacun a le droit au respect de la présomption d’innocence. » Dans un développement structuré, après avoir défini la notion de « liberté publique » et expliqué l’article 9-1 du code civil, vous montrerez comment ces libertés sont reconnues et défendues en France et en Europe. On ne peut valablement parler de libertés publiques qu’à l’égard des droits et libertés définis et protégés juridiquement. Les libertés

------------------------------------------------- CONTENTIEUX CONSTITUTIONNEL DS : Le Samedi 17 Mars INTRODUCTION Chapitres non développés dans l’introduction : Chapitre 1 : réflexion sur le contentieux constitutionnel. Ce contentieux est il synonyme de litige, de JP constitutionnelle ? Chapitre 2 : Le modèle de contentieux constitutionnel. La différence entre le modèle américain et celui européen. (TD2) Chapitre 3 : L’histoire du contentieux constitutionnel en France. (TD 1) CHAPITRE 4 : LES TEXTES

commerciale en Amérique…etc. il explique alors qu’il respectera ses engament à l’égard des Français et mes en place un amendement au proche de loi constitutionnelle

La France, avec l’émergence de l’état de droit, a repris ce principe de la hiérarchie des normes et la célèbre pyramide de Kelsen. On constate que cette hiérarchie des normes en France diffère selon le point de vue du droit interne (droit constitutionnel) et selon le point de vue du droit externe (droit international). En effet le rang tenu par les engagements internationaux et les obligations communautaires par rapport à la Constitution n’est pas le même selon le point de vue. Néanmoins ces

contenu de la négociation. La règle de l’unanimité demeure le principe lorsqu’il s’agit de traités bilatéraux ou de traités conclu entre un petit nombre d’Etats ( créant, par exemple, une organisation régionale ou un pacte d’assistance mutuelle) article 9 paragraphe 1 « L’adoption du texte d’un traité s’effectue par le consentement de tous les Etats participant à son élaboration, sauf dans les cas prévus au paragraphe 2. ». (Adoption à l’unanimité ou par consensus) Quand il s’agit de traités multilatéraux

Décision n° 2010 - 2 QPC Mme Viviane L. Dossier documentaire Source : services du Conseil constitutionnel © 2010 Table des matières I.Dispositions législatives 4  A.  Dispositions contestées ...........................................................................................4  1. Code de l’action sociale et des familles, article L.114-5 ............................................................. 4  2. Loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la

nouvelle union, appelé également troisième union qui a été mis en place que très récemment. En effet, depuis la loi de 1793, la mariage civil a acquis une portée juridique. A celle-ci se rajoutait l’union légale ou le concubinage. Cependant, la loi de 1999 et qui plus est la réforme de 2008 portant sur le PACS a permis la création d’un véritable statut alternatif au mariage avec des effets non seulement civil mais également fiscaux ou encore sociaux. Les Pacs sont un contratype d’ union civile est né

à vue Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n° 30 Commentaire de la décision n° 2010-14/22 QPC – juillet 2010 M. Daniel W. et autres (articles 62, 63, 63-1, 63-4, 77 et 706-73 du code de procédure pénale) Par un arrêt du 31 mai 2010, la Cour de cassation a joint vingt-six questions prioritaires de constitutionnalité posées devant elle à l’occasion d’un pourvoi pour deux d’entre elles ou transmises par des juridictions répressives du fond pour les vingt-quatre autres. Ces questions portaient

Commentaire de l’arrêt du Conseil d’Etat du 2. novembre 2005 Etabli par l’arrêt Duchâtellier de 1838, le principe gouvernant la responsabilité de l’Etat législateur du fait de ses lois fût longtemps celui de l’irresponsabilité. Il aura en effet pris 100 ans, jusqu’en 1938, pour admettre la responsabilité, sans faute, du fait des lois, dans l’arrêt Lafleurette, responsabilité fondée sur l’inégalité devant les charges publiques. Le Conseil y expose les deux conditions pour mettre en œuvre cette