Consensus de Washington

sommet, l’Iran, de son côté, réagit normalement, en tentant de «rétablir l’équilibre stratégique». La seule solution rationnelle serait la dénucléarisation totale de la zone, mais il y a encore énormément de travail à faire pour en arriver à un tel consensus. Bref, de son côté, l’Iran fait probablement le meilleur choix stratégique possible, compte tenu de sa situation quelque peu précaire. Elle tire avantage, en quelque sorte, du conflit qu’ont les Américains en Irak, se débarrassant d’un seul coup

des années 1990, dans un processus de reformulation des stratégies de développement articulée autour de la réalisation des Objectifs du Millénaire. Ce changement de cap est marqué par l’émergence, en 2002, du consensus de Monterrey qui est un nouveau consensus, censé dépasser celui de Washington incarné par les Institutions de Bretton Woods (IBW). Ces dernières ont d’ailleurs contribué au renouvellement des approches du développement, ce qui a supposé un travail d’introspection et de remise en question

opérations en dehors de son territoire, notamment dans les Balkans, -en Bosnie et au Kosovo- ainsi qu’en Afghanistan. 60 ans après la fondation de l’OTAN, l’engagement d’assistance envers un allié agressé, qui découle de l’article 5 du traité de Washington, représente encore aujourd’hui l’essence même de l’Alliance. Nous en avons tiré une conséquence supplémentaire après les attaques terroristes du 11 septembre. (..) « Nous appelons enfin à un renforcement du régime de non prolifération. Il est

paix éventuelle, alors que d’autres prônent qu’elle pourrait créer des instabilités. Ce débat doit également être compris en termes de perception. En effet, la perception de menace face à l’acquisition ou la possession d’armes d’un pays n’a pas de consensus international : cela dépend du type de relation qu’entretiennent les états entre eux. C’est dans ce sens que nous pouvons avancer que les institutions ayant comme but le contrôle des armements doivent être le moins possible dominée par les États-Unis

le droit d'initiative des lois; il ne peut renverser le président, ni être dissous par lui. Le Parlement peut être monocaméral (France, C, 1791, C, 1848) ou bicaméral (EtatsUnis; France, C, an III, 1795). Si les « Pères fondateurs » (George Washington, Benjamin Franklin, Alexander Hamilton, James Madison et Robert Morris) ont strictement séparé les organes et les fonctions, ils ont aussi établi entre les 3 pouvoirs un subtil équilibre fondé sur le système des checks and balances (freins et

flexibilité du marché du travail, suppression de l'État-providence, diminution des cotisations sociales, réduction des dépenses publiques, retour à l'équilibre du budget de l'État, encouragement à l'épargne... 2.1.3) Le consensus de Washington (1989) Le consensus de Washington selon John Williamson résume en 10 points les propositions qu'on qualifie de « néolibérales » : Politique budgétaire : les déficits n'ont d'effets positifs qu'à court terme sur l'activité et le chômage, alors qu'ils seront

l’investissement, la production, la vie sociales, les échanges et parfois la politique (lobby).  Interventions fréquentes de l’Etat sur la fiscalité, le budget, et nationalisation d’entreprises.  Renforcement du rôle compensateur des syndicats qui produit un consensus social large et durable. Elle contribue à construire une société plus juste, soucieuse de préserver l’égalité des chances. III – Une reconstruction rapide et imparfaite Le relèvement de la production Favorisée par la rénovation des systèmes

générer par son action des externalités positives (ex création des zones franches en Chine) favorables à la croissance. Joseph STIGLITZ souligne ce rôle de l’État dans la croissance des pays émergents et met en avant que les principes du consensus de Washington n'ont pas été tous respectés, ouverture mais reste surveillance et quelques interventions de l'état. Attention, l'ouverture au commerce international n'est pas un dogme et le protectionnisme n'est pas tabou, ainsi dans la lignée des travaux

manœuvre, même si elle est considérée comme une grande puissance économique, elle n’a ni politique étrangère ni défense crédible. Et plusieurs de ses dirigeants se complaisent dans la servilité à l’égard des USA. L’auteur parle par la suite du Consensus de Washington, qui est un ensemble d’accords informels entre les grandes sociétés, Wall Street, les banques, la FED, la Banque Mondiale, le FMI, l’OMC qui vise la privatisation du monde par le biais de la mondialisation, et qui n’a que des conséquences

ou désordre généralisé ? 3) La fin du monde bipolaire Epuisement soviétique par la course aux armements : G des Etoiles débouche et sur fossé technologique, et sur crise éco D’où politique de désarmement avec le traité de Washington, 1987 (doc 1 p 166 ; lire le texte, et réfléchir sur écriture a posteriori) (théorie : fin des impérialismes et des tensions ; réalité : moins de dépenses militaires et échanges éco avec USA) Pour survivre, URSS essaie de se réformer : perestroika