Consensus de Washington

CNUCED, le PNUD... * Crises du développement * > Crises financières et dette publique * Tout d’abord la remise en cause du consensus de Washington : Après la politique monétaire des Etats-Unis de 1982, les fameuses politiques structurels apparaissent en 1989, le consensus de Washington. (Les dix commandements du Consensus peuvent être répertoriés en deux catégories ; une regroupe des réformes de stabilisation macroéconomique et l’autre concerne des réformes structurelles)

ratio moyen du service de la dette publique sur les exportations a renoué avec sa tendance à la baisse. 2) Une nouvelle norme de développement promue par les institutions internationales Le consensus de Washington peut permettre le développement. a) Les politiques d’ajustement structurel et le consensus de Washington Les PAS comportent un volet conjoncturel, correspondant à la mise en œuvre de politique de rigueur. Il est considéré qu’il faut impérativement maîtriser et au besoin réduire le crédit

partis de gauche avec autant de pouvoir dans autant d’endroits. L’échec du «consensus Washington » à garantir un niveau de vie acceptable et à réduire le nombre de gens vivant dans une pauvreté abjecte mena aux mouvements de masse, aux grèves et aux conflits sociaux découlant des conséquences néfastes de la mondialisation et des gouvernements de droite favorisant cela. Dans le vide créé par l’échec du « consensus Washington » et des régimes qui le soutenaient émergea une série de politiciens de gauche

investissements privés dans les secteurs touristique, agricole et de construction. ● A partir de 1986 jusqu'à nos jours, l’Etat Tunisien subit de divers problèmes liés au surendettement, ce qui a nécessité une réforme et ainsi le recours au “consensus de Washington”. En effet, cette crise causée principalement par des problèmes de gouvernance et de choix décisifs en politique économique a obligé la Tunisie d’opter vers l’ajustement structurel et la libéralisation commerciale, à l’institution d’une zone

nom de « consensus de Washington ». Cela part du Chili post Pinochet et se diffuse sur tout le continent. L’ISI est abandonnée pour favoriser l’internationalisation de politique et l’ouverture aux capitaux étrangers. Mais de nvlles formes de dépendances apparaissent et provoque des résistances de la part des populations. Dans certains pays comme le Venezuela, la fin des années 2000 est marquée par un retour de l’Etat sur la scène économique. I. L’Amérique latine et le consensus de Washington

équitable. Les accords de commerce internationaux sont déséquilibrés, les pays industrialisés pouvaient imposer des frais de douanes en moyenne quatre fois plus élevée que les pays en développement. Cette libéralisation a aussi ses limites, le consensus de Washington a entre autres négligé les questions d’ordre social, d’emploi, ainsi que la nécessité de protéger l’environnement. Cette nécessitée est d’autant plus urgente étant donné que la Chine et l’Inde ont de plus en plus de moyens et que ceux-ci veulent

des récessions pires que les pays comparables à politique économique différente. Les prévisions macroéconomiques laissent penser que les pays ciblant l’inflation pourraient moins souffrir de la crise financière (voir graphique 3). Selon Consensus Forecasts (Consensus Economics) de janvier 2010, la croissance moyenne de tous les pays en 2009–10 serait très inférieure à celle de 2001–08. Mais, parmi les pays émergents, la baisse par rapport à la moyenne antérieure à la crise serait généralement plus

les efforts pour le rapprocher de la réalité débouchent sur une mise en cause radicale de ses hypothèses de bases. Une régulation de la configuration internationale sera concrètement mise en place après la seconde guerre mondiale sur la base du consensus élaboré entre les alliés durant la conférence de Bretton Woods. La référence aux grands principes de la spécialisation internationale et du libre-échange est proclamée avec insistance. Mais les mécaniques de la régulation vont reposer sur un modèle

contreproductifs [Stiglitz (2002)2], en particulier dans le domaine de la réduction de la pauvreté. A la Banque Mondiale, c’est sous l’égide de J. Wolfhenson (président) et de J. Stiglitz (économiste en chef) que va s’organiser le dépassement du Consensus de Washington, sous la forme d’un « nouveau paradigme » [Stiglitz (1998)], celui du Comprehensive Development ou Développement Intégré. Les travaux de refondation se concrétiseront par l’édition 2000/2001 du Rapport sur le développement dans le monde

planète. Comment ? En fabriquant le consensus de Washington Le consensus de Washington est une expression qui fut employée pour le première fois en 1989 par l’économiste John Williamson pour désigner ses dix recommandations à l’usage des états désireux de réformer leurs économies. Ce qui en fit un «produit» irrésistible fut la décision de la BM et du FMI de subordonner leurs prêts à l’adoption de politiques inspirées du dit consensus. Le consensus de Washington met fin au découplage entre économie