Consommation épargne Revenu

Partie 1 : Ménages et consommation. Problématiques : - Comment les revenus et les prix influencent – ils les choix des consommateurs ? - Comment le revenu disponible se répartit – il entre consommation et épargne ? - Quel est l’effet des variations du revenu et des prix sur la consommation ? - Quel est l’effet de l’évolution du pouvoir d’achat sur la structure de la consommation ? - La consommation un marqueur social ? - Nos choix de consommation dépendent – ils de nos caractéristiques

         Question n°50 : expliquez pourquoi la consommation et l'épargne constituent deux                           variables économique clés ?  Intro : l'économie est définie comme la science du choix, du simple fait que nos besoins illimités font face à des ressources limitées. L' agent économique doit donc faire des choix et notamment celui de la consommation et/ou de l'épargne. La consommation consiste en l'acquisition de biens et services utilisés pour la satisfaction direct du besoin

macroéconomie justifie une nouvelle théorie, raisonnement, en faisant la baisse des salaires, les revenus sont plus faible, moins de débouché. Pas d’intérêt à embaucher. Keynes va s’intéresser à la demande. Keynes reprend les notions et s’intéresse à la demande globale. SA vision n’est pas un ensemble de marché, c’est plutôt un ensemble de tuyaux puisqu’on vient de dire que si les salaires baissent, moins de revenu, moins d’achat et donc pas d’embauche. Le monde est un ensemble de tuyaux avec Keynes. Une

pondérée est la moyenne d'un certain nombre de valeurs affectées de coefficients.  Evolutions en valeur (ou nominale = à prix courants) et en volume (ou réelle = à prix constants) : Dans le cas d’une grandeur simple , telle que la consommation d’automobiles, par exemple, on peut définir la valeur et le volume à partir des quantités consommées et des prix unitaires . La valeur à la date courante (1) s’obtient en multipliant les quantités courantes par les prix unitaires

sur la théorie de la 2 concurrence imparfaite. C’est, dans ce cadre, que Kaldor développa une théorie « keynésienne » de la répartition : le taux d’investissement, qui est une variable exogène, détermine, pour des propensions à épargner données, la répartition du revenu entre salaires et profits. Parler d’une théorie keynésienne de la répartition peut apparaître paradoxal. Keynes ne s’est pas intéressé, en tant que telle, à cette question et, dans la Théorie Générale, il reprend la thèse néo-classique

Dissertation Devoir 2 CORRIGE 22 novembre2010 ------------------------------------------------- Consommation et revenu Introduction : Accroche  La consommation a baissé en octobre. Ainsi L’INSEE publie tous les mois les chiffres des dépenses des français ainsi que l’indice du « moral des français ». Intérêt du sujet. La consommation des ménages alimente l’offre des entreprises, donc leurs productions, leur pérennité, la croissance, l’emploi…C’est une grandeur macroéconomique de premier

Dfinissez la valeur ajoute et indiquez entre quels acteurs elle se rpartit. Cest la richesse cre par lentreprise au cours du processus de production. Elle correspond la valeur de la production (chiffre daffaires) diminue des consommations intermdiaires. La valeur ajoute est rpartie entre les salaris (salaires et traitements) les apporteurs de capitaux (intrts pour les banques et dividendes pour les actionnaires) lEtat sous forme dimpts et taxes les organismes sociaux sous forme de charges sociales

La Marsupie: Q1. FBCF : 0,9 Q2. Consommations intermédiaires : 4,1 Q3. Biens et services de consommation : 3,3 Q4. Exportations : 0,8 Q5. Importations de biens de consommation : 0,3 Q6. Importations de services : 0,1 1. B. Emplois Ressources Consommation : 3,7 (3,3 + 0,3 + 0,1) FBCF : 0,9 Exportations : 0,8 PIB : 5 (9,1 – 4,1) Importations : 0,4 (0,3 + 0,1) 1. C. PIB (5) + M (0,4) = C (3,7) + FBCF (0,9) + X (0,8) = 5,4. Il n’y a pas eu de variation de stocks. Ressources et

typologie des B et S : Produits B et S de consommation - biens durables - biens non durables - services marchands - services non marchands B et S de production - biens intermédiaires - services intermédiaires - biens d ’équipement -investissement immatériel 4 De la production à la valeur ajoutée : La valeur ajoutée = la valeur de la production – le montant des achats de B et S qui sont entrés dans le processus de production (= les consommations intermédiaires). Les deux indicateurs : Le

Epargne et croissance économique Beaucoup d’études montrent une forte corrélation entre épargne et croissance mais le lien est difficile à identifier. La relation de cause à effet est encore mal comprise : est-ce la croissance du revenu qui est à l’origine d’un accroissement de l’épargne ou est-ce l’épargne qui stimule la croissance ? 1. Le rôle théorique de l’épargne dans le mécanisme de croissance Avant de s’interroger dans quelle mesure l’épargne agit sur la croissance d’un pays, il