Consonne nasale

à l’origine, à des interférences. Mais l’interférence reste individuelle et involontaire, alors que l’emprunt et le calque sont en cours d’intégration ou sont intégrés dans la langue A. Un Français parlant russe pourra ne pas rouler la consonne «r» et lui donner le son qu’elle a en français. Un Allemand qui parle français pourra donner au mot français «la mort» le genre masculin du mot allemand correspondant «der Tod» (interférence morphologique). Pour dire «Je vais à l’école» un Français

terminant par [Â] (qu’elles soient orthographiées ‹-eur› ou ‹-eure›, voire ‹-eurre›) : ‹bonheur› [bO·nπÂ] ; ‹heure› [πÂ] ; ‹beur› (verlan de arabe) [bπÂ] ; ‹beurre› [bπÂ] ; ‹leurre› [lπÂ], etc. C’est aussi le cas de toutes les syllabes fermées par la consonne [f] : ‹œuf› [œf] ; ‹veuf› [vœf] ; ‹teuf› (verlan de fête) [tœf] ; ‹meuf› (verlan de femme) [mœf].1 Parallèlement, on constate la même chose avec [v] final : ‹veuve› [vœv], ‹preuve› [pÂπv], ‹fleuve› [flœv], etc. On ne peut avoir que [œ], et jamais

hier passé, toujours même on me nomme. Jean-Baptise Chassignet, époque baroque, 1594, Mépris de la vie et consolation contre la mort. Rivière fluide et perpétuelle, caractère insaisissable de l'eau. Allitération en M (consonne liquide) Évocation bucolique, consonne fluide, voyelle ''o, ou''. Permanence de l'eau, elle part et revient, s'écoule, un peu comme le temps. Anaphore, rime fratrisée, parallélisme, eau omniprésente dans les 2 quatrains. Alternance des temps et époques + temps

le foie. Action rapide. La voie rectale Suppositoires, lavements, pommades. Soit effet local, soit passage dans la circulation et effet général. La voie vaginale Ovules, comprimés, capsules. Action locale sur la muqueuse vaginale. La voie nasale Solutions en spray, poudres, pommades. Action locale pour les infections otho-rhino-laryngologique. La voie oculaire Collyres, pommades, inserts. Action locale. La voie percutanée Pommades, lotions, crèmes, timbres, patch. Action locale ou

Orale de nina * Tout d’abord les molécules odorantes transportées par l’air, sont inspirées par les fosses nasales. * Puis ces molécules viennent se nichées dans l’épithélium olfactif qui est l’organe olfactif permettant la perception des odeurs. Il est composé de cellules réceptrices très sensibles qui sont en fait des neurones. * Anecdote : ce sont elles qui forme la tache jaune dans le fond du nez * Ces neurones ont deux prolongements. Il y en a un qui affleure à la surface

qui passent dans le pharynx puis dans les fosses nasales. La muqueuse La zone de réception des odeurs se situe dans les cavités nasales, à la partie supérieure, au dessous de la lame criblée de l’éthmoïde. On a une zone spécialisé de la muqueuse des cavités nasales : muqueuse olfactive ou pituitaire, et elle existe aux deux versants des fosses nasales : dans le plan qui est supérieur au cornet supérieur de la paroi latérale de la fosse nasale. Dans cette muqueuse olfactive, on va trouver des

Alizée LANDZBERG Paul BROCK Cédric CAPO Florence MARTINEAU Fanny PESENTI Yoann I) Organisation de l’appareil respiratoire  Voies aériennes supérieures: (extrathoracique) nez, fosses nasales, pharynx, larynx Voies aériennes conductrices: (intrathoracique) Trachée, poumons, bronches Cavité nasale Nez Les poumons Apex Hile Pneumothorax: Le poumon se « dégonfle » Les alvéoles pulmonaires  Nombreuses: 300 millions Nombreuses: 300 millions Produisent les

l'intérieur est formé de deux cavités, les fosses nasales, séparées l'une de l'autre par une cloison cartilagineuse, le septum. Elles communiquent d'une part avec l'extérieur par les narines et d'autre part avec la partie supérieur du pharynx par deux orifices, les choanes. Chaque fosse nasale se divise en deux régions : le vestibule et la cavité olfactive, la région où la muqueuse olfactive tapisse le sommet et le fond des fosses nasales. La surface de la muqueuse à rôle sensoriel se distingue

d’une monotonie désolante du paysage qui rejaillit (de la lenteur). «L’empereur revenait lentement» dénote l’idée de lenteur et qu’il exemplifie (mime) grâce à « lentement » et à l’imparfait. Les voyelles nasales permettent aussi cette dénotation. Les participes présents (avec une voyelle nasale) participent à cette durée de mouvement qui n’en finit plus. En général, la forme de l’alexandrin. Le rythme peut être syncopé : « boulets, mitrailles, obus... ». On est dans l’idée de l’inachevé : on n’est

langue pousse ce bol alimentaire vers le pharynx, on parle alors de la déglutition (avaler les substances ingérées), Pharynx: cavité en forme d’entonnoir (environ 13 cm) relit la bouche et ses fosses nasales, débouche sur l’oeusphage et la tranchée , déglutition, Ce lieu d’intersection de la cavité nasale, de la cavité buccale, de la trachée et de l’œsophage a besoin d’un système efficace de portes afin que l’air et la nourriture empruntent les bonnes voies. Les voies respiratoires doivent être fermées