Constitution 1789 Assemblée Nationale

des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) est le texte fondamental de la Révolution française, qui énonce un ensemble de droits naturels individuels et collectifs et les conditions de leur mise en œuvre. Ses derniers articles sont adoptés le 26 août 1789[A 1]. Elle comporte un préambule et dix-sept articles, qui mêlent des dispositions concernant les droits de trois catégories de personnes : les « droits des hommes » (les Français, les étrangers ou les ennemis)[1], qui reprennent des dispositions

Titre Premier : Cycle révolutionnaire 1789-1799 Il s’agit d’une révolution sociale qui va apporter un nouveau modèle de société. Nous sommes passé d’une société d’ordre hiérarchisée inégalitaire à une société d’individus égalitaire. La révolution est également politique car on abandonne définitivement la monarchie absolue de droit divin. On cherche un régime idéal qu’on a du mal à trouver. Nous aborderons en premier l’expérience de la monarchie constitutionnelle succédée par un régime différent

des Etats généraux - Ils débutent le 5 mai 1789. Les députés du tiers-états réclament le vote par tête et non le vote par ordre, ce qui est refusé par le roi. → situation de blocage le 17 juin 1789. - Les députés du tiers-états ainsi que quelques députés de la noblesse et du clergé se proclament Assemblée Nationale au nom de la souveraineté nationale. → les députés du tiers-états représentent 96 % des Français. Souveraineté nationale = principe politique qui fait de la nation et de

REVOLUTIONNAIRES 1789 1791 1791 1792 1792 1795 1795 1799 Constituante Législative Convention Directoire Convention jacobine Girondins : 1792 – 1793 Montagnards : 1793 – 1794 Convention thermidorienne 5 mai 1789 : Ouverture des Etats-Généraux. 17 juin 1789 : Les Etats-Généraux se proclament « Assemblée nationale ». 20 juin 1789 : Serment du jeu de paume : jure de rester unie « jusqu’à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides ». 9 juillet 1789 : Se proclame

sur un territoire donné et sur la population qui l’occupe. L’idée de souveraineté, ainsi évoquée, reste abstraite, néanmoins c’est dans sa pratique, pendant la période révolutionnaire qu’elle prend véritablement forme. La révolution qui débute en 1789 et qui s’achève en 1799 est une période de bouleversements politiques et sociaux marquant une rupture avec l’ancien régime et créant de ce fait, une nouvelle ère politique. Au départ, le but de l’insurrection populaire est seulement d’abolir les

a. La souveraineté du peuple  Consigne 1 ­ Raconter les événements du 20 juin et du 14 juillet 1789. (Rédiger quelques phrases.)  Image 1 page 71 + texte 2 page 70  Image 1 page 68  Doc.1 ­ "La Révolution, Quelle aventure !" Extrait 1  1789 = réunion des Etats généraux → députés du Tiers-Etat → conflit avec le roi → Assemblée nationale → 20 juin : le serment de rester ensemble + donner une constitution au pays → le roi appelle les troupes autour de Paris → 14 juillet → peur des habitants → le peuple

de la vie politique Titre 1 : Fondement historique de la vie politique de 1789 à 1946 La vie politique est la lutte pour la conquête du pouvoir, elle est marquée par son paysage, les acteurs et institutions. Pour la France, elle est marquée par son héritage historique qu’elle a particulièrement riche. On ne peut faire l’impasse sur cette histoire constitutionnelle et politique très complexe et chaotique. En 1789, il y a une séparation nette entre 2 sociétés différentes. La Révolution n’est

française La date de 1789 est très importante pour le droit constitutionnel français. Avant, il y a une continuité dynastique de la famille capétienne (mérovingiens et carolingiens) à partir de 888 et donc une monarchie. Jusqu’à Louis X, il y a toujours un fils aîné. Jusqu’à 1614, alors que Louis XIII est roi, on réunit les Etats généraux pour discuter avec le roi d’un certain nombre de problèmes avec le roi (surtout fiscal). Ensuite, on ne va plus les réunir jusqu’à 1789. Jusqu’à 1614, on considère

=e Olympe de gouges appelle à la constitution d’une Assemblée nationale des femmesLe préambule s’ouvre sur une énumération tertiaire qui produit un effet rhétorique, dans la lignée des textes rhétoriques révolutionnaires : “les mères, les filles, les sœurs”L’auteur désigne toute les femmes par périphrase. Ces périphrases insistent sur la solidarité des femmes. Elles sont en effet d’emblée présentées comme formant une seule et même famille, une large entité source de vie et de protection. Ces périphrases

I. LES ORIGINES DE LA REVOLUTION I.1. LA REMISE EN CAUSE DES LUMIERES En 1789, sous la monarchie de louis XVI, la France est divisée en trois ordres établis selon leur fonction : le clergé qui prie (130 000 français), les nobles qui combattent (400 000 français) et le tiers-état qui travaille (25 000 000 de français). A la tête de cette société intolérante, qui ne laisse pas de liberté de conscience et de culte, se trouve le roi détenteur de tous les pouvoirs : judiciaire, législatif et exécutif