Conséquence Inflation Dans La Zone Euro

rapport à son point le plus haut atteint en 1993 avec 55 % du PIB, alors qu’en 2007, elle ne représente plus que 52,3 % du PIB. Cependant, la structure de ces dépenses publiques a évolué. Les dépenses des collectivités territoriales ont augmenté, conséquence des lois successives de décentralisation et des transferts de charge, aujourd’hui non compensés intégralement par les dotations de l’État (bâtiments scolaires, réseau routier, logements sociaux, gestion du RMI/RSA...). Aujourd’hui, l’essentiel des

proche du carré magique. Ce carré est qualifié de magique car irréalisable. Dans la réalité, il est très difficile d'atteindre simultanément les quatre objectifs de la politique monétaire : une forte croissance avec un faible chômage, une faible inflation et une balance commerciale équilibrée. En fait plus la surface du quadrilatère correspondant aux statistiques d'un pays à une période s'éloigne de la surface idéale du carré magique, plus la situation se détériore. Le problème est que l'on ne peut

pareil (problème des nouveaux produits). Dans l’Union Européenne, c’est l’Indice des Prix à la Consommation Harmonisé (IPCH). L’utilité c’est que tous les pays ne calculent pas tous la même inflation (pas de comparaison possible), la Banque Centrale Européenne doit choisir un indice des prix dans la zone euro et ce mode de calcul est très proche de l’Indice des Prix à la Consommation française. 2. Les causes de l’inflation 2.1 L’inflation par la demande Pour certains économistes

panique a soufflé sur le marché de change tunisien, à la fin de la deuxième semaine du mois de mai. Le dinar enregis- Parité Dollar -DTN/ Euro-DTN sassinat du leader politique Mohamed Brahmi, surtout par rapport à l’euro, ont de nouveau alimenté les inquiétudes sur la sta- Euro Révolution tre des records de baisses face aux principales devises étrangères, dollar, euro, … Le glissement observées au lendemain de l’as- Dollar US 2,2 14 Janvier 2011 2 1,8 1,6 bilité de la monnaie tunisienne. Bien

sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites et en réponse à la crise financière et à la récession mondiale qui ont suivi, les responsables du monde entier ont adopté un policy mix afin de mieux résister aux éventuelles conséquences négatives anticipées par les experts et par les marchés financiers. La série d’événements sans précédent depuis la deuxième guerre mondiale 1 a entraîné, sur le plan budgétaire, l’appel au jeu des stabilisateurs automatiques et des mesures discrétionnaires

l’un des objectifs de la politique monétaire visant à ce que l’indice des prix à la consommation harmonisé (l’ipch) soit inférieur à 2% dans la zone euro. Une marge de sécurité à la baisse est toutefois conservée au risque de la déflation. Il est donc indispensable de prendre en compte les incertitudes en mesurant les écarts d’inflation dans la zone Euro. La politique monétaire permet d’évaluer l’évolution économique et financière actuelle ainsi que les risques que celle-ci engendre à court et moyen

principales de l'UEM sont: - une politique monétaire unique - une banque centrale, commune aux pays membres, chargée de contrôler l'émission d'une seule monnaie: l'euro. La mise en place de l'euro entraîne l'abandon du SME - destiné à établir une zone de stabilité pour les taux de change de la plupart des pays européens – ainsi que l'abandon de l'écu*. Pour que l'UEM soit durable et la monnaie unique stable, les pays qui veulent y participer doivent faire preuve d'un haut degré de convergence

également pour les pays partenaires. De ce fait, si un pays de l’UE voit son déficit augmenter de façon trop importante, c’est l’Europe qui en paie le prix. Par exemple, « un déficit de 8 à 10% du PIB d’un grand Etat de la zone euro exigerait 5% des économies totales de la zone euro » . L'élargissement progressif de l'UE a rendu la tâche de cohésion bien plus délicate qu'il n'y parait. La politique budgétaire s'est avérée n'être plus aussi efficace qu'auparavant. De grandes disparités sont remarquables

Sommaire I. Résumé 2 II. Introduction 3 III. Thèse défendue : Pourquoi la BCE ne doit-elle pas demeurer prêteur de dernier ressort. 4 A. Le rôle de PDR va à l’encontre de la mission de la BCE : Inflation vs Stabilité des prix 4 B. La perte de l’indépendance de la BCE, son atout majeur. 4 C. La responsabilité des politiques dans la crise & la refonte nécessaire mais non envisageable du mandat de la BCE 6 D. Les aléas moraux engendrés 6 1. Conduite rationnelle de la BCE

la fonction d’unité de compte de la monnaie. Monnaie, fonction sociale. Monnaie indispensable. La valeur de ce bien intermédiaire est lié à l’environnement. EURO sert lien sociale entre membre de l’UE : renforcement de l’appartenance à une communauté et permet communication à travers les échanges. Cpdt pas tous les pays ont l’EURO. EURO augmente relation écon. Pol. Et commerciales entre les états. Monnaie, fonction politique. C’est l’émetteur de la monnaie qui garantit sa valeur. Dc la qualité