Conte Divertissant

ses différents genres comme le théâtre, le roman, la poésie a pour but d'aider a l’évasion du lecteur dans un autre monde et de ce changer les idée : le lecteur voyage, et se met à rêver. En effet, cette évasion est notamment mise en valeur dans le conte de Voltaire s’intitulant Candide Voltaire met en scène un personnage naïf sous le nom de Candide, un jeune garçon qui admire beaucoup son précepteur,Pangloss, et aime secrètement sa cousine, Cunégonde. Mais un jour, Candide se fait chasser de son pays

DISSERTATION INTRO: «Une morale nue apporte l’ennuie Le conte fais passer le précepte avec lui» enonce Jean de La Fontaine dans le Lion et le Chasseur, Fables VI, 2. La Fontaine, connu pour ses Fables, et adule pour son talent a manier l'apologue. L'apologue, c'est en quelques mots, l'art de conjuguer la narration a visee argumentative et didactique, celle-ci se reposant sur des figures allegoriques de toutes sorte, d'un enseignement dont le lecteur entrevoit un morale. L'apologue est intemporel

Entretien Fables : Le pouvoir des fables : plaisir du conte et moralité I. XVIIème siècle - Divertissement privilégié : * Les salons : lieux de rencontre sociaux -> on montre notre culture, notre raffinement => valeurs du XVIIème siècle * Valorisation de l’Ironie dans ce siècle * faste : richesse * merveilleux s’apparente au faste - Type humain : honnête homme dont les vertus sont : * cultivé dans tous les domaines * généraliste -> passion de tout * sociable -> goût de la société,

prix…) / essai La Fontaine, / « L’Huître et les plaideurs » (une justice expéditive), « Le Savetier et le financier »… (l’argent comme unique valeur) / fable Voltaire, Candide (la noblesse, la religion, le pouvoir royal, l’esclavage, la guerre…)/ conte philosophique Rimbaud, « Le dormeur du val » (guerre) / poésie Eluard, « Au nom du fron »t (guerre, nazisme…) / poésie Apollinaire, « La colombe… » (guerre) / poésie Diderot, L’Encyclopédie, article sur l’autorité politique (pouvoir arbitraire et abusif)

néanmoins ils ont également des registres auquel ils sont raccrochés. En effet, l’argumentation indirecte est plus présente dans la morale, les fables ou l’apologue. Cependant, La Fontaine à un jour affirmé « La morale nue apporte de l’ennui Le conte fait passer le précepte avec lui » dans le Lion et le Chasseur, ainsi il annonçait sa préférence pour l’apologue pour exprimer ses idées, en représentant entièrement le principe fondamental du classicisme : plaire tout en instruisant. On peut donc

crédulité de ceux qui y adhèrent. Dans ce cas, le mythe est synonyme de fable, de conte et de mystification. Mais, dans un sens plus philosophique, le mythe est un récit permettant d'exposer une doctrine. C'est un sujet de croyance qui a la valeur de dogme et de réalité et qui nous rapprocherait de la vérité. On peut donc se demander quelle est la réelle signification du mot mythe ? Dans quelle mesure est-il seulement un conte imaginaire et plaisant ? N'a t-il pas d'autres fonctions que de divertir le

poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Il vécut à la même époque que Molière et Perrault cette similitude se retrouve dans les œuvres, des œuvres qui se veulent plaisantes, simples et divertissantes mais toujours avec une critique qui amène à une morale. C'est en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope, qu'il écrit les Fables qui font sa renommée. Le premier recueil qui correspond aux livres I à VI

choses réelles sont advenues. - Texte narratif structuré avec des règles : une histoire forte, avec des actions, mise en scène d’êtres surnaturels, héros, êtres exceptionnels - Mythes souvent repris dans des œuvres littéraires B. Le conte - Récit profane dont le but est de divertir - Origine dans la tradition populaire orale - Raconte des évènements imaginaires, surnaturels, merveilleux qui se déroulent dans un passé intemporel avec lieux imprécis - Personnages

littéraire qu’il choisit va participer pleinement à rendre une argumentation plus efficace. Ainsi, le conte philosophique, qui mêle des éléments du conte merveilleux à des réflexions philosophiques s’inscrira plutôt dans une argumentation indirecte. Ce genre va permettre au lecteur de se divertir tout en s’instruisant ce qui est un moyen infaillible pour se laisser convaincre. Par exemple, dans le conte philosophique  Micromegas  de Voltaire la portée philosophique est masquée par la présence du merveilleux

dernier pleurer au pied de sa maîtresse. Le cadre aide donc le lecteur à « se plonger » dans le récit et permet de rehausser les effets scéniques rendant trépidant le roman, et donc distrayant pour le lecteur. Enfin, le roman est d'autant plus divertissant qu'il laisse une grande place à l'imagination du lecteur, ce dernier joue donc un rôle actif et ne « subit » plus le roman : dans Bel-Ami, l'excipit du roman ne constitue pas un dénouement réel puisque le héros n'a pas achevé son parcours initiatique