Conte Divertissant

Les Fées C'est un texte du 17ème siècle. Ce conte est une sorte de fable avec une portée morale. Il illustre le genre merveilleux. Contrairement au genre fantastique où l’intrusion pose un problème, le surnaturel ne provoque aucune surprise. Les personnages considèrent les fées comme faisant partie de leur univers. La problématique est la situation initiale. On peut donc y reconnaître le schéma minimum du récit, avec une situation initiale en déséquilibre. Il y a ensuite la situation intermédiaire

succession d’actions (pas d’informations précises sur la situation finale). • Charles Perrault ne s’attarde sur aucun détail, aucune description. Peu de qualificatifs. Sommaires, par exemple, l.40 : la fille arrive directement à la forêt. à Ce conte rapporte seul ce qui est nécessaire à la compréhension du texte, ex : cruche d’« argent » pour montrer l’hypocrisie. 3. Similitudes et oppositions • Similitudes : - situation familiale (deux sœurs) - péripéties des 2 rencontres

doivent leur succès au fait qu'il nous distraie ou qu'il nous instruise. Nous allons donc voir dans un premier temps que le but premier de ces récits est de nous divertir, mais nous constaterons que le conte a cependant une fonction d'éducation. Il est évident que le conte est principalement divertissant. En effet, grâce à leur merveilleux, ces récits plongent les petites filles dans un imaginaire de rêve, où chacune d'elle désire être ce héros. Quoi de mieux que d'écouter des histoires extraordinaires

Le conte Voltairien | Support :Dossier papier + Images Petit Rappel =) Le conte philosophique : définition - origines - objectifs 1.     Le conte philosophique Le conte philosophique est un genre littéraire narratif apparu au XVIIIe siècle qui emprunte de nombreux procédés au conte traditionnel qui a pour but de transmettre des idées et des concepts à portée philosophique. -C'est un récit fictif comportant une série de péripéties destinées à retenir l'intérêt du lecteur. Pour cela

concret que des sermons et maximes abstraites Narration = schéma narratif = péripéties =) le récit a un côté divertissant non négligeable, il est donc plus attractif. L’enfant, appâté par le récit, l’enrobage, va assimiler, sans s’en rendre compte, une leçon, en sus. De plus, les auteurs ont souvent recours à divers registres pour les rendre encore plus attrayants : le merveilleux pour le conte, certaines fables, la science-fiction pour la contre-utopie (monde exotique), ou le registre comique (Voltaire)

{text:bookmark} Le registre comique C'est un genre qui a pour but de faire rire, de divertir en représentant le travers et le ridicule des hommes. L'adhésion jouera de la complicité dans le cas du registre comique qui sort le lecteur de lui-même en le divertissant. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos, répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers

LES FABLES Les contes (en l'occurrence philosophique) et les fables sont des apologues. C'est à dire des récits divertissants qui ont une visée symbolique. Fable : Récit imaginaire didactique, court récit, apologue, généralement en vers, dont on peut tirer une moralité Conte : Récit d'aventures imaginaires, histoires peu vraisemblables CONVERGENCES: Tout comme la fable, le conte est écrit de manière à être facile à lire et peut être compris par tout le monde, même des enfants, qui sont les principaux

(pathétique et tragique comme chez Emma Bovary) Bovarysme : désigne l’attitude d’une personne qui, ne se satisfaisant pas du réel, vit dans ces rêves. II / Avertissements non-fondés. Illusion romanesque = récit imaginaire donc divertissant. récit ayant pour but un simple divertissement pour le lecteur, qui sait que ce qu’il lit est purement imaginaire. L’analyse est laissée au lecteur qui devine, reconstruit le personnage (à partir de ses actes, de son langage, de

répondre à cette question, vous prendrez appui sur les textes du corpus et sur les textes à visée argumentative que vous avez lus ou étudiés, tout particulièrement les apologues (fables, contes, paraboles, récits utopiques...). - Peut-on dire que le conte et l'apologue sont, comme le miroir du pèlerin dans le texte de J. Cazotte, des « invention(s) » qui permettent de voir le monde « tel qu'il est » ? Vous répondrez en vous appuyant sur le texte proposé, ceux que vous avez étudiés en classe et vos lectures

éprouve egalement un certain rejet pour le fils de la fée qu’il compare a un simple apéritif. Hugo transforme ce début de conte féérique en une parodie amusante. On débute avec une description féérique dans un décor Soviétique (vers 1 : Moscovie)qui devient un spectacle d'horreur : un enfant est dévoré par un Ogre . L’histoire , malgres la mort de lenfant , est donc divertissante, et permet au lecteur de comprendre et mieux accepter le message de l’auteur . Ici Victor Hugo dénonce un fait : il souhaite