Contes Merveilleux

La Princesse de Babylone, Voltaire 1768 I. Présentation La Princesse de Babylone est un conte philosophique où Voltaire mêle le merveilleux à la satire et à l’ironie. La forme en est une histoire d’amour merveilleuse où les personnages doivent passer, dans leur quête, par les épreuves les plus dures durant un voyage initiatique. Ce conte se situe donc dans la lignée de Zadig ou L’Ingénu. Pour Voltaire, philosophe des Lumières, le périple des deux amoureux, appartenant à des classes sociales

problème de lecture des consignes p.6 2. Amener les élèves à prendre conscience du problème p.7 3. Mise en place de critères de réussite, de grilles de relecture p.8 4. Bilan des progrès des élèves lors de la séquence sur le conte merveilleux p.11 5. Les « limites » des dispositifs mis en place : un guidage peut-être trop méthodique p.13 II/ Améliorer le contenu p.16 1. Une ouverture culturelle problématique : des élèves en mal d’inspiration p.16 2. Une conception

ce personnage permet-il aux enfants de s’identifier ? c) Citez quelques animaux présents dans le livre. Pourquoi ne sont-ils pas des animaux comme les autres ? d) Citez des contes que vous connaissez dans lesquels des animaux surprenants apparaissent. 2) Les marques de la tradition a) Cherchez la définition du mot « merveilleux ». Vous semble-t-il convenir à l’univers d’Alice ? b) Quels éléments du récit relevent de la magie ? c) Alice vit des aventures surprenantes et se retrouve souvent dans des

spatio-temporel inventif, comporte des personnages merveilleux et des intrigues originales. Un apologue peut être une fable, une parabole, un conte, une nouvelle, une utopie. Le cadre spatio-tomporel est souvent peu défini, atemporel, ce qui incite le lecteur à transposer l'histoire dans n'importe quel lieu à n'importe quelle époque mais peut aussi être très inventif très saisissant, ce qui attire le lecteur. Prenons comme exemple un conte merveilleux : Les voyage de Guilliver de Jonathan Swift

nouvelle qui, comme l'indique son nom, se fonde sur la réalité. Mettant en scène peu de personnages, mais fortement caractérisés, dans un cadre spatio-temporel délimité, elle est centrée sur un fragment de vie ou une anecdote. À la différence du conte merveilleux, elle est ancrée dans le réel. En effet cette nouvelle cherche à raconter une histoire ou un fait dans toute sa vérité. L'auteur de ce genre de texte montre qu'il ne ment pas au lecteur et ne l'incite pas à prendre d'avis. Il reporte les faits

souplesse permet de brosser un tableau de certains comportements, de personnalités ou d’instituions au cours du règne de Louis 14. Les caractéristiques du conte philosophique dans l’Ingénu Si Candide reprend des caractéristiques du conte merveilleux comme l’inconsistance des personnages, la succession d’aventures, la quête d’une vérité, il n’en est pas de même dans l’Ingénu. En effet, l’Ingénu s’encre au contraire dans de mondes réels inspirés d’évènement présent ( la localisation géographique

- Fantastique : · L’univers du roman n’est pas totalement imaginaire. L’univers décrit est parfois proche de celui du lecteur. Des phénomènes étranges surgissent et perturbent l’ordre établi. - Conte merveilleux : · Projet oXatan offre un décor étrange, entre végétation tropicale et pyramide maya. Certains êtres paraissent hostiles aux héros et constituent des obstacles à leurs quêtes (ex : les alligators qui peuplent les marais ; MG s’apparente

La dimension parodique intrinsèque au conte a pour effet d’impliquer le lecteur dans une aventure douteuse, de susciter une sorte de malaise à l’égard de son origine naïve ou grossière et du pouvoir accordé aux désirs. » Extrait 2 : Jack Zipes, Les contes de fées et l’art de la subversion, trad. fr. F. Ruy-Vidal, Paris, Petite bibliothèque Payot, 1986, rééd. 2007 (Fairy Tales and The Art of Subversion, Londres, 1983), p. 13 et 25 : « […] des auteurs cultivés se sont délibérément approprié, à une certaine

es-et-m-de-nemours-48003798.html I)Parodie du conte a)Caractéristiques du conte : formule initiale : Dès la ligne 1, le cadre du conte merveilleux est posé avec la formule « il y avait » propre aux contes de fées et avec le château, élément caractéristique du conte. De plus, cette ouverture du conte est naturellement un emprunt aux contes merveilleux qui mettent en scène des personnages dans des lieux peu précis, à une époque qui relève plutôt de l’intemporalité. Il n’y a ici aucune précision

causale des événements, sont des motifs libres.» Voici quelques grilles d'analyse, différentes et complémentaires, plus ou moins généralistes, permettant l'approche de la logique syntaxique d'un récit. SCHEMA NARRATIF Si l'on part d'un conte merveilleux comme la Belle au bois dormant, on pourrait proposer une analyse structurale, applicable à d'autres types de récit, mutatis mutandis. Une série de motifs, de séquences essentielles s'enchaînent ainsi : 1 2 3 4 5 équilibre initial perturbation