Contes pour tous

conte philosophique planté dans un décor oriental. I) Un récit plaisant (on s’attachera à l’analyse des procédés repris du conte traditionnel merveilleux, et plus généralement à tous les procédés destinés à séduire le lecteur) a) une structure narrative très simple - schéma narratif très simple qui s’apparente à celui des contes : situation initiale, situation finale, péripéties : la trame est très épurée = un dervis quitte sa solitude pour entreprendre un pèlerinage à la Mecque - situation initiale

Le combat des nouvelles : Contes butô En regardant la première de couverture d’un regard rapide, on aperçoit le titre de l’œuvre et le nom de l’auteur. Une image d’une morbidité évidente garnit le bas de la couverture. Cette paire de jambes qui semble pendre de nulle part ne donne aucun indice à savoir si elle appartient à un corps masculin ou féminin. Dans la partie de gauche de l’image, une flamme intense jaillit du bas. Tout ceci nous donne l’impression que l’œuvre sera morbide, obscure, voir

chants IX à XII peut aussi être mensonger. Giono garde la dynamique du récit encadré et du récit enchâssé de l’œuvre homérique : le but de l’œuvre est précisément de conter une autre fois l’histoire d’Ulysse gardant comme point focal le récit de l’héros même. En fait ce que distingue l’œuvre de la Naissance est proprement de conter de nouveau le récit homérique (Giono reprends les mêmes personnages, Circée, Pénélope, Agamemnon, Ménélas) sous un autre point de vue, celui d’un Ulysse mensonger et

joie dans un univers élyséen – et c’est même dans les pays lointains et les temps reculés que les hommes ont supposé le bonheur parfait – mais il n’est guère possible de rêver la peur sans l’éprouver un peu. Sorciers, diables et mauvais génies des contes de nourrices sont presque des personnages fantastiques. Le merveilleux de L.Tieck touche au fantastique quand il se fait terrifiant. Le fantastique des romans gothiques est un merveilleux effrayant : les châteaux hantés sont aussi inquiétants que

pages : 316 Niveau conseillé : Primaire et Collège Difficulté de lecture : 3 LETTRES DE MON MOULIN Alphonse Daudet Illustrations de Rozier-Gaudriault (Couverture de Agnès Audras) RÉSUMÉ La diligence de Beaucaire : Le boulanger raconte à tous les voyageurs de la diligence comment la femme du rémouleur le quitte régulièrement pour d’autres hommes puis revient le consoler. Le secret de maître Cornille : Le moulin de Maître Cornille est le seul à fonctionner depuis qu’une minoterie à vapeur

dont il est ici question est l’incipit de Candide de Voltaire. Voltaire est un des grands hommes du mouvement des Lumières, il dénoncera sans relâche et en utilisant différents genres, les injustices, les inégalités et l’intolérance. Il écrira des contes philosophiques, mais aussi des traités, des essais, des lettres ainsi que des articles de l’Encyclopédie. Candide est donc un conte philosophique, une des formes possibles de l’apologue, qui se doit d’être un récit divertissant comportant une moralité

cache-t-il derrière ces histoires merveilleuses ? Qu’elle est le vrai but de ces classiques ? Qu’elle image de la femme du XIXème siècle nous est-il représenté ? En effet dans les contes de fées on nous décrit l’archétype de la femme blanche, soumise, pure, à la beauté irradiante … et parfaite femme au foyer. Dans tous les contes elles ont généralement un niveau intellectuel plutôt limité et sont considéré comme très naïves. La plus part du temps elles sont dans une posture de passivité et attendent leur

situation 1) Les ressemblances. Tout d'abord les deux contes possèdent la même trame, en effet les personnages principaux sont deux hommes, « Riquet à la houppe » qui était jugé à sa naissance comme étant «  un si vilain marmot » il a donc pour défaut d'être laid et François Luné «  malheureux du fait qu'il ne marchait pas dans le même sens que tout le monde » ( conte de Dumas et Moissard ), ils finissent tous les deux par se mariés, Riquet avec une belle princesse qui compense son

(modes de création, de diffusion...) comme dans leur contenu,ce qui amène à les considérer de manière séparée. Par ailleurs le terme de « conte » peut aussi désigner l'activité de conter, quel que soit le type d'histoires (épopée, légende, conte, histoire devie, nouvelle…). Le conte est alors l'art du conteur. Quant aux contes africains, difficile d'en donner une définition, compte tenu de l'étendue du continent, de la diversité des peuples, des modes devie et des langues… n’oublions pas ces propos de

Kam Sié Alain qui en fait une synthèse qui a retenu notre attention. Il l’a définit comme : « L’ensemble de tout ce qui a été dit, généralement de façon esthétique, conservé et transmis verbalement par un peuple et qui touche la société entière dans tous ses aspects. » (1) .En claire la tradition orale est l’expression oralisée de l’esthétique des peuples à travers les temps. Leur façon de penser, de célébrer le monde, d’appréhender le beau en un mot l’expression de leur idéologie. On pourra distinguer