Contes pour tous

Guy de Maupassant (1850-1893) est un écrivain français. Ses romans, ses contes et ses nouvelles, entre réalisme et fantastique, mettent en scène la méchanceté et l'horreur ordinaires. Né à Fécamp (en Normandie), Guy de Maupassant coule une enfance heureuse dans la campagne normande. Après des études de droit interrompues par la guerre de 1870, il commence une carrière de fonctionnaire à Paris. Peu assidu au travail, préférant les guinguettes et la compagnie des femmes, il découvre, sous l’influence

peuvent plus être là pour voter. Elle fait donc partie de la démocratie. La tradition vient compléter la démocratie en donnant une voix aux morts, tandis que la démocratie donne une voix aux vivants. Ces deux concepts ont le même but : permettre à tous de pouvoir donner son opinion sur la société. Il y a toujours deux côtés à toutes choses dans la vie. Celles-ci vont dans le même sens, excepté que la tradition est ce qui est réellement à l’intérieur du monde et que la démocratie est représentée par

Hamelin I Présentation de l'œuvre Le joueur de flute de Hamelin, récit noir universellement connu, est à l'origine une légende allemande anonyme datant du moyen-âge. Cette histoire a été reprise par de multiples auteurs dont les frères Grimm (contes et légendes allemandes 1816), prospère méritée en 1829 dans chroniques du règne de Charles IX. Ce récit n'a cessé de nourrir l'imaginaire occidental à travers des supports variés comme l'opéra (VE Nessler , 1925) ou le cinéma (adaptation de Jacques

petite Barbade, témoigne de l’histoire de toutes les Antilles (anglophones comme francophones). De 1685 à 1848, l'esclavage dans les colonies françaises se règle par un document : le code noir. Le code noir est alors ce qui précise : un, qu'il faut que tous les esclaves soient baptisés chrétiens ; deux, combien de nourriture il faut leur donner ; trois, comment les punir ; quatre, ce qu'il faut faire avec les enfants nés de relations entre esclaves et maîtres, etc. L'esclavage est ensuite interdit en

leudesamio Il s’agit du lien concret de subordination individuel du sujet a son roi, le sujet va obéir au roi parce qu’il le reconnait peronnellement par ce leudesanium qui est donc un engagement personnel qui repose sur un serment, il est fait par tous les hommes libres, quelque soit la nation d’origine ( romain, burgonde,…) c’est un serment obligé mais manifesté individuellement 2e illustration : la recommandation/commendation Il n’interesse plus que l’elite, les antrustions, qui forment la trustice

La petite sirène L’œuvre étudiée est intitulée Contes . Il s’agit d’un recueil où il est recensé certains des contes écrits par l’auteur danois Hans Christian Andersen. On peut d’ailleurs lire dans la préface que ces contes « ne sont pas présentés dans l’ordre chronologique éventuel de leur composition […] mais dans celui de la publication des recueils où ils figurent, tels que ces recueils ont vu le jour du vivant de leur auteur » De ce fait, l’extrait étudié

par une visite forcée ( mais relativement agréable ) dans une bibliothèque, dans la partie réservée aux enfants. Dans la bibliographie, se trouve dressée une liste de tous les ouvrages trouvés intéressants dans tout ce qu’on a pu lire. Pour ce genre de recherche, ni trop poussée ni trop « bâclée », il s’agissait plus de survoler tous les genres, de passer d’un aspect assez « documentaire », avec pour cela par exemple une œuvre de Viviane Koenig, une auteure spécialisée dans la littérature pour enfant

sociaux -> on montre notre culture, notre raffinement => valeurs du XVIIème siècle * Valorisation de l’Ironie dans ce siècle * faste : richesse * merveilleux s’apparente au faste - Type humain : honnête homme dont les vertus sont : * cultivé dans tous les domaines * généraliste -> passion de tout * sociable -> goût de la société, vit dans les salons = sorte de lien avec l’autre / misanthrope, hermine * modeste -> réserve, humilité - Formes littéraires : * Siècle où le théâtre est roi (Racine

mission dont il avait été chargé par l’administration pour recueillir des contes : 12  Wangrin, dont il est ici question, est évidemment le personnage dont Hampâté Ba a retracé l’ascensi (...) Quand M. Equilbecq arriva à Bandiagara en juin 1912, le commandant de cercle convoqua le chef Alfa Maki Tall pour lui demander d’envoyer au nouvel arrivant tous ceux, hommes, femmes, vieillards ou enfants, qui connaissaient les contes. Je figurais parmi les enfants choisis. Chaque conte retenu était payé à

romancier. Sa définition commence par une double formule, « fantaisie presque orientale », qui donne l’impression d’une œuvre qui laisse libre cours à l’imagination , comparée ensuite à des contes orientaux . D’une part , le terme de « fantaisie » met l’accent sur la prédominance de l’imagination dans la création , le romancier ayant ainsi toute liberté d’inventer un cadre, des personnages