Contingence Aristote

 À continuation une analyse des courantes à travers le temps. ANCRAGE HISTORIQUE ET DÉVELOPPEMENT DES COURANTS DE PENSÉE DE L’APPRENTISSAGE Rationalisme Avant JC 500-400 16e et 17e Siècles Socrate Platon Cartésianisme Descartes Empirisme Aristote Empirisme anglais Locke Hume SUITE 2 19e siècle (fin) Structuralisme Empirisme logique Wundt Titchener Comte Bernard Mentalisme 20e siècle (début) 20e Siècle (milieu) Psychanalys e Gestaltisme Fonctiona lisme Freud Erickson Wertheimer

qu'il n'y en jamais de parfaitement semblables » Principe des indiscernables in « Les Nouveaux Essais ». L'existence d'un individu se trouve toujours au-delà de toute essence. L'existence paraît donc un défi, un irrationnel face à la science. Aristote dit « Il n'y a de science que du général et d'expérience que du singulier ». Être un existant c'est être unique. On peut dire cela de l'homme mais aussi de tout être. Tout objet est unique en tant qu'il existe. La botanique étudie la fleur en

attention. Comme dirait Sartre dans un théâtre de situation, « le théâtre est un art social qui produit des faits collectifs » ;il est alors le projecteur de l’être qu’il fige pendant la durée du spectacle. Mais, l’homme étant « un animal social »selon Aristote ,il est aussi ,celui qui dépeint avant tout l’être face à son monde, l’être face à l’histoire, l’être face à s a vie ; en quelque sorte l’être face à lui-même. Le théâtre par le biais de l’art « ressuscite » ,comme dirait Hugo dans la préface de

oubliées depuis la chute ! C’est à cause de son désaccord avec la théorie des Idées de son maître Platon, fondateur de l’Académie (academos) qu’Aristote va créer sa propre école de philosophie, le Lycée, en référence au quartier des loups (lycos). Aristote insiste sur la philosophie comme capacité d’étonnement face au mystère du monde. La conscience, l’inconscient « La conscience est toujours conscience de quelque chose ». Husserl Plan du cours : Introduction 1) La conscience morale :

Descartes parle de « l’âme » il ne l’entend pas sous sa définition traditionnelle : selon lui, l’âme est une substance pensante, un principe intellectuel, non pas un principe d’animation. 1 ) Le fondement de la vie : le problème de l’Ame par Aristote La notion d’âme surplombe la pensée biologique jusqu’à Descartes : c’est une réalité distinguable du corps et qui est soit présente, soit absente de celui-ci. Le principe vital est donc différent du corps : ils ne se confondent pas. L’âme existe-t-elle

seele; soul, anima : principe de la vie, de la pensée ou de toutes deux à la fois, en tant qu’il est considéré comme une réalité distincte du corps, par lequel il manifeste son activité. âme pensante, âme sensitive, âme végétative, âme sensible; Pour Aristote, l'âme a cinq fonctions : la fonction nutritive, la fonction sensitive, la fonction pensante, la fonction désirante et la fonction motrice. analogie : Ressemblance établie par imagination entre deux ou plusieurs objets de la pensée essentiellement

articulation qui lui permet de le faire ; () si on accepte les causes finales on dira que Socrate est assis parce qu’il l’a décidé en fonction de ce qu’il jugeait être bon pour lui –il est meilleur d’obéir aux lois de la cité plutôt que leur désobéir. Aristote reprend cette perspective pour penser la spécificité du vivant : le vivant est un être vivant animé qui peut se déplacer et s’arrêter. Ce qui fait la vie de cet être c’est donc la possession d’un principe de mouvement qui distingue l’animal (l’animé

claire Texte II - Hanna Arrendt " Qu'est-ce que " = trouver l'essence de Essence = ensemble des caractères qui font d'une chose ce qu'elle est = caractère essentielle (Les caractères essentielles sont divers, mais ils sont par exemple - selon Aristote - vivant et raison) Interroger le concept de l'idée de liberté est faire face à une contradiction: A - On croit être cause première de nos actes: la cause efficiente de mon action est ma decision et non pas quelques causes cachés dont je n'aurais

permettent d’élargir le champ de notre connaissance. Pour cet objet de la raison, il n’y a alors plus d’équivalence, la vérité entraîne la cohérence, mais non l’inverse. A défaut de certitude, la cohérence d’un jugement sur les faits implique la contingence de sa vérité, possible mais pas nécessairement vérifiée. C’est le cas des sciences physiques et des sciences naturelles. Cette réflexion sur les conditions nécessaires pour certifier la validité d’un jugement en fonction de l’objet étudié n’est

tel travail de recherche, la dimension culturelle ainsi que les obstacles et les défis y afférents. 1- Les contours de la théorie de l’action ou de l’activité Les premières réflexions sur l’action en philosophie grecque ont été initiées par Aristote qui considère l’âme comme le principe animant le corps. Sans se traduire toujours en actes, l’âme se distingue en plusieurs parties opposées de nature rationnelle (versant savant pratique ou théorique) d’une part et irrationnelle (partie désirante