Contrainte Des Didascalies

recherche des plaisirs et des intrigues. La pièce critique avec humour l’aristocratie de l’époque de Louis XV. Cette pièce appartient au mouvement de la fin du Romantisme. Les scènes 1 et début de la scène 2 présentent un jeune homme timide Folleville contraint de se marier avec la fille d’un marquis Manicamp. Mais il ne peut se marier avec Berthe car il doit épouser Aloïse, sa cousine. Jusque là Folleville n’a pas pu lui dire que c’est impossible car à chaque fois qu’il essaie, le marquis lui montre toute

qui se demande si Titus va maintenir sa décision ou, au contraire, y renoncer. I- Le monologue d’un homme tourmenté confronté à un dilemme. A- Le désarroi de Titus. -Un héros seul face à lui-même. (Didascalie : « Titus seul »). -La présence massive d’interrogations et d’exclamations renforce le coté pathétique du monologue. (« T’es-tu bien consulté ? »…). -Il se qualifie de « téméraire », car il est

d’expérimentation sur les plans esthétique et idéologique, étant un genre populaire et n’ayant pas beaucoup évolué depuis sa création durant l’Antiquité. Le théâtre doit être le reflet de la modernité qui rompt avec le conformisme en se libérant des contraintes de la tragédie classique. Il doit aussi apporter une portée politique et sociale au genre dramatique. Ensuite elle ne prend pas en compte les règles fixées par cette dernière : elle ne respecte pas l'unité de lieu, en effet, la scène est tantôt

l’histoire du théâtre et de la comédie française. Molière était et l’est encore un auteur très joué. Il écriva des pièces qui mêlaient le comique, le pathétique et critique. Il se servait du rire comme une arme pour combattre les coutumes et les contraintes de son époque. En 1665, lorsqu’il écrit Dom Juan, Molière se hisse au rang du plus grand artiste de son époque. Molière tombe malade en 1666. Gravement affaibli, il parvient neanmoins à écrire deux pièces, le Médecin malgré lui et le Misanthrope

de venir se dérouler ». Effectivement, une action se déroulant dans une unique pièce, un lieu de passage représenté par la scène, n’est pas représentatif du réel. Le drame romantique la refuse comme on peut le voir dans Lorenzaccio où, dans les didascalies de début d’acte, on rencontre une abondance de lieu. L’action se passe successivement dans « un jardin », « devant une église », dans « un palais »… Ainsi, au début de scènes nous découvrons des lieux différents, trente cinq au total. Cette multiplicité

et évoquent le découragement de Arnolphe. La didascalie « reprenant haleine » montre qu’Arnolphe est si troublé qu’il en est essoufflé. L’inversion des rôles commence alors après le dépit de Arnolphe sachant ce qui arrive à Agnès, elle tombe amoureuse d’un autre homme .C’est alors Agnès qui donne des ordres elle utilise de l’impératif « jurez ». Elle lui répond également fermement : « Si fait », « Si ». Pour obtenir son l’aveu, Arnolphe est contraint d’insister et de se répéter « non, non, non et

Analyse du drame1. La passionComme l’indique Hugo lui-même dans la préface, le sujet humain recoupe le sujet dramatique, un homme aimant une femme, un laquais aimant une reine. Passion amoureuse contrariée par l’obstacle de la condition sociale, héros contraint d’approcher celle qu’il aime par le moyen d’une imposture, conversion de cette chute en élévation sublime : le trajet de la pièce vise à abolir le grotesque du valet déguisé, qui, enfin nommé pour ce qu’il est, meurt réconcilié avec lui-même, le

et la femme au service du seigneur : double servitude de Suzanne (// double humiliation de Figaro). Figaro et Suzanne sont des vassaux : ils doivent obtenir la permission du maître pour se marier. Interprétation des symboles représentés par les didascalies externes (« le petit bouquet de fleurs d’orange ») et internes : « « Oh ! que ce joli bouquet virginal », le « beau lit que Monseigneur nous donne » objet du litige. Problématique/ oeuvre (thèse de Beaumarchais): la pièce s’ouvre sur une réflexion

scène à la lecture et par plaisir, mais d'y être contraint par la médiocrité toute relative du jeu théâtral. Toujours le même auteur en 1953 et le relatif en moins : « Qui dit troupe dit : des emplois. Qui dit emplois dit : convention. Qui dit convention dit : le ver est dans le fruit. » Cette même pièce, qui a mis plus de 16 ans avant d'être représenté, forme une transition toute naturelle avec la suite, à savoir que la lecture est parfois plus contrainte qu'autre chose. 3. La lecture parfois imposée

de son auditoire. Les didascalies sont en effet très nombreuses et très précises, tant au sujet des costumes des “chevaliers du XIè”, qu’à propos de la description physique des personnages, comme Belcredi qui est “mince, précocement gris (...) [avec] une curieuse tête d’oiseau”, ou enfin quant à leurs pensées intérieures : “Carlo di Nolli [est]désireux d’égards. Il est pénétré du peu qu’il croit être et de sa valeur dans le monde”. Shakespeare n’emploie pas des didascalies aussi détaillées sans doute