Contrôle De Constitutionnalité Des Lois Et Démocratie

préservée la vertu essentielle de l'état de nature : l’égalité. » La volonté générale est la source de la loi. Un peu plus libre n’obéit qu’aux lois et c’est par leur force qui n'obéit pas aux hommes. - l’origine sociale : elle est toujours présente dans les idées politiques. C’est l’idée qui conduit à une forme de gouvernement : la démocratie. Dans son article 2 , la Constitution française actuelle affirme que le principe de la république est : « le gouvernement du peuple, par le peuple

Il est pourtant sujet à la coutume et aux conventions de la Constitution. Il est complété par un ensemble de textes particuliers, les lois organiques, dont la seule définition est d'être un texte pris selon une procédure particulière (article 46 de la Constitution). La Constitution est composée de deux grands ensembles, qui forment un "bloc de constitutionnalité". Le premier est le corps du texte constitutionnel, c'est-à-dire, de l'article 1 à l'article 89. Sont concernés majoritairement des questions

Constitution de 1946. Nous sommes en présence des normes suivantes : - la loi en question, est dite « ordinaire », ce sont les lois fixant les règles dans le domaine de compétence du pouvoir législatif, elles sont en général votées par le parlement (démocratie indirecte) mais l’article 11 de la Constitution prévoit qu’elles peuvent être adoptées par referendum (démocratie directe) - article 3 du préambule de la Constitution de 1946 revendiqué par Madame Terre. Commençons par qualifier dans un premier

Continentale et semble être à son apogée depuis seulement quelques décennies. La justice constitutionnelle peut être définie comme étant « un pouvoir donné à des personnes nommées (ou organes) d’apprécier, de contrôler et de sanctionner la conformité des actes pris par les pouvoirs publics et notamment les lois votées par les représentants, élus du peuples souverain. » Si en Europe, les expériences de justice constitutionnelle vont se faire au début du 20ème Siècle avec notamment en 1920 la création de la

partis minoritaires. Saisir le Conseil Constitutionnel permettrait de réviser la constitution et ses lois, ce qui la protégeait. L'opposition a donc profité de cette loi, non pour protéger la constitution mais pour en retirer des avantages politiques et empêcher la majorité de mettre en oeuvre son pouvoir législatif (les parlementaires ont saisi le Conseil Constitutionnel pour quasiment toutes les lois).  => Les règles du droit constitutionnel sont donc instrumentalisées par les acteurs politiques.

comme un accessoire du parlementarisme rationalisé : il va servir à s’assurer que le parlement n’outrepasse pas ses prérogatives et que le pouvoir normatif du gouvernement en matière réglementaire ne soit pas entravé. * Donc rôle du CC en 1958 : Contrôle de la délimitation du domaine de la loi : faire respecter la répartition des compétences entre pouvoir législatif et pouvoir réglementaire (art 34 et 37 . C’est un arbitre souhaité des conflits de compétence susceptibles de naître entre le gouvernement

PAS AUX PARTIELS problématique : -est ce un outil de démocratie ou de politique? -les pouvoirs du parlement ne sont pas remis en causes? Introduction : « la loi est l'expression de la volonté générale » la démocratie représentative toujours au cœur des institutions; la loi toujours été norme suprême au dessus la de la constitution jusqu'en 1958. 1958 rupture en introduisant le référendum. Plan : I- mode d'expression de la démocratie. -domaines du référendum art 11 -développement du domaine

interprétée, active. Les procédures de contrôle de constitutionnalité ont été cantonné à un dialogue entre autorités publiques mais elles se sont parfois, plus récemment en Europe, ouvertes aux citoyens donc aux justiciables. Ce citoyen est alors devenu acteur devant son juge. Les Juridictions en Europe illustrent ce mouvement longtemps tourné vers les autorités et maintenant ouvert aux citoyens. Comment le système français de contrôle de constitutionnalité a évolué avec la QPC ? Cette participation

politique. c’est une question de légitimité. On ne respecte la règle de droit que parce qu’on se l’approprie, on ne respecte une norme que parce qu’on s’identifie à elle. Un certains nombre d'états ont été colonisé par la France, ils veulent les mêmes lois que celle de la France ( ex article 5 : Le chef de l'état est le garant de l’unité sociale) Cependant cet article est l’évolution historique de la France et non celle des pays colonisés. C’est un droit contextuel social, historique, économique. Il

le droit constitutionnel, le droit administratif et le droit budgétaire. Comme son nom l’indique, le droit administratif régit les activités administratives des personnes publiques : ces activités administratives consistent dans la mise en œuvre des lois et des règlements et dans la gestion des services publics. Le droit budgétaire regroupe toutes les règles relatives aux finances de l’Etat, et notamment toutes les règles relatives à l’élaboration et à l’exécution du budget de l’Etat. Enfin, le droit