Convention montagnarde

          La Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen           Proclamation de la République : 22 septembre 1792 [pic] La victoire de Valmy L'ouverture du procès de Louis XVI [pic] L'abolition de l'esclavage par la Convention La Terreur L'exécution de Marie-Antoinette La loi du maximum général L'arrestation de Robespierre                           Le coup d'État du 18 brumaire   I) La Révolution et l'Empire : l'avènement d'une France nouvelle

espérer « une dictature suprême » permettant d’instaurer l’authentique Révolution. 3)Jacobins contre Girondins Quoique critiqué pour son obsession de la conspiration et sa philosophie du terrorisme populaire il est élu représentant de Paris à la Convention nationale, il rejoint la Montagne, à l’extrême gauche de l’Assemblée. Il suggère toujours des mesures dictatoriales, invoquant que la Révolution ne sera pas acquise tant qu’on « ne [fera] pas tomber les têtes qui oppressent le peuple ». Promu à

Il est membre du club des Jacobins dès ses origines et en est le plus illustre membre. Opposé à la guerre contre l'Autriche en 1792, il s'oppose à La Fayette et soutient la chute de la royauté. Au début de la République, il siège à la convention parmi les Montagnards, comme Danton. Robespierre soutient aussi les revendications des sans-culottes. En 1793, il est le principal investigateur de la politique de la Terreur. Il est arrêté avec son frère Augustin et ses amis Couthon, Saint-Just et Le Bas

Robespierre est né à Arrras le 6 mai 1758 et est décédé le 28 juillet 1794. A cette époque, son père a 26 ans et il est avocat au Conseil d'Artois (François de Robespierre). Robespierre était un avocat et politique français, il était chef des Montagnards et il incarna la tendance démocratique jusqu’au-boutiste de la Révolution française. Controversé, Maximilien de Robespierre est surnommé "l'Incorruptible" par ses partisans, « la chandelle d’Arras » par ses opposants royalistes puis « dictateur

Qu’est-ce que la Terreur ? La Terreur est décrétée en France le 5 septembre 1793, en réponse à un état de crise qui dure ; elle constitue la seule solution trouvée pour garantir les acquis révolutionnaires et ceux de toute la jeune République. La Convention fait ensuite le choix d’un Gouvernement révolutionnaire. Dès lors, la Terreur apparaît comme l’organisation systématique de la répression des adversaires intérieurs et des traîtres de la République française. Un débat controversé

27 Juillet 1794, un pouvoir de fait, sous la forme d’une terrible dictature menée par les montagnards et leurs chefs, Maximilien de Robespierre. Au 9 thermidor, Robespierre est vaincu, mais la Convention sauve la France. A partir de 1795, apparaissent les émeutes révolutionnaire, résultant des difficultés économique, que la France a pu subir, sous l’influence des Jacobins. Après capitulation, la Convention était venue à bout des jacobins, mais était menacé par les royalistes. Restés nombreux et

Desmoulins (époux), Laridon-Duplessis (épouse), Laridon-Duplessis (père), Boisdeveix (mère), Pétion, Brulard, Robespierre, JP Brissot, Mercier Berardier, député à l'Assemblée nationale, Gueudeville, vicaire de Saint-Sulpice[3]. » Député à la Convention nationale Avant et après la déclaration de guerre de 1792, il est résolument partisan de la paix, comme ses amis Robespierre, Danton et Marat. Cette opinion est formulée au club des jacobins en décembre 1791, dans Jacques-Pierre Brissot démasqué

demeure révolutionnaire en attendant l’adoption de la nouvelle constitution. La chute de Robespierre détermine un changement dans la classe dirigeante française. Place à la bourgeoisie libérale au sein du gouvernement révolutionnaire à la place des Montagnards. Absence de changement des structures gouvernementales. But du gouvernement révolutionnaire : Fonder la République et aboutir à la constitution de l’An I. Or, ici, on écarte la constitution de l’An I. Constitution de 93 liée au terrorisme, à l’anarchie

jour du 10 août. Fin de règne L'Assemblée législative, enhardie par le succès de l'émeute, prononce la «suspension» du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures «pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l'égalité». En vue des élections des députés de la Convention, elle abolit les distinctions entre citoyens actifs et citoyens passifs et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit

révolutionnaires parisiens) prennent d'assaut le château des Tuileries, s'emparent du roi et l'emprisonnent. L'assemblée est débordée par le peuple parisien et accepte sous la pression cet acte illégal. III°) La première république. (1792-1799) A) La convention. (1792-1794)  Une nouvelle assemblée est élue au suffrage universel. La république est proclamée le 21 septembre 1792. Un nouveau calendrier apparaît (Fabre d'Eglantine). (Le nom des mois changent, et 1792 correspond à l'an I de la République)