Convention montagnarde

Jean-Paul Marat, né à Boudry le 24 mai 1743 et mort à Paris le 13 juillet 1793. Il fut député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution a longtemps été considéré comme le principal responsable des massacres de septembre (Les massacres de Septembre sont une suite d’exécutions sommaires qui se sont déroulées du 2 au 6 ou au 7 septembre 1792 à Paris[1]) Son assassinat par Charlotte Corday permit aux Hébertistes d'en faire un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois

de l’Ancien Régime, et le remplacement de la monarchie absolue par la monarchie constitutionnelle, puis par la Première République. Le document est un décret, c'est-à-dire une décision émanant du pouvoir exécutif, qui émane dans ce cas de la convention nationale destiné au peuple des colonies françaises, à savoir aux esclaves et à leurs maîtres. Ce décret a été émit durant la période de l’esclavage, le 16. Jour du Pluviôse, an second. C'est-à-dire, en calendrier grégorien, le 4 Février 1794.

INSTITUTIONS REVOLUTIONNAIRES 1789 1791 1791 1792 1792 1795 1795 1799 Constituante Législative Convention Directoire Convention jacobine Girondins : 1792 – 1793 Montagnards : 1793 – 1794 Convention thermidorienne 5 mai 1789 : Ouverture des Etats-Généraux. 17 juin 1789 : Les Etats-Généraux se proclament « Assemblée nationale ». 20 juin 1789 : Serment du jeu de paume : jure de rester unie « jusqu’à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides

3.3.1 La marche vers la guerre 3.3.2 La guerre modifie les rapports de force 3.3.3 Le renversement de la monarchie 3.3.4 Le 10 août 1792 : la seconde Révolution 3.3.5 Les forces en présence à la Convention 4 La Première République 4.1 Girondins et Montagnards 4.1.1 Procès et mort du roi 4.1.2 La Vendée 4.1.3 La fin des Girondins 4.2 La République en danger (1793) 4.3 Le redressement 4.3.1 Lois, mouvements populaires et renforcement gouvernemental

qu’une nouvelle Assemblée soit élue et qu’il y ait une nouvelle Constitution, on va l’appeler la « convention nationale ». Cette convention nationale doit être élue au suffrage que l’on qualifie de « quasi-universel ». Cette Assemblée aura pour objet de voter une nouvelle constitution et assurer l’intérim. Un conseil de 6 membres est désigné pour assurer la gouvernance jusqu’à la promulgation de la convention. Pendant cette période d’été 1792, la commune de Paris va affirmer sa suprématie et même son emprise

Commentaire de texte : « le procès de Louis XVI » - discours de Robespierre à la Convention, 3 décembre 1792. Le 5 novembre 1792, Robespierre a déclaré à l’Assemblée : « Citoyens, voulez-vous d’une révolution sans révolution ? » Par cette phrase notamment, il marque sa volonté d’une rupture totale avec l’Ancien Régime et tout le système monarchique dans son ensemble, à commencer par le roi. Robespierre était un avocat, élu député du Tiers-Etat aux Etats généraux de 1789. Rapidement, il va

: L'Assemblée nationale constituante émancipe les Juifs du Royaume. 30 septembre 1791 : Fin de l'assemblée législative. Elle est remplacée par la convention nationale. Formation de trois partis : les Feuillants, partisans de la monarchie constitutionnelle, siègent à droite ; les Girondins, partisans d'une république libérale, siègent à gauche ; les Montagnards, partisans d'une république démocratique, siègent en haut. Proclamation de la République. 20 avril 1792 : Louis XVI déclare la guerre

DISCOURS PRELIMINAIRE SUR LE PROJET DE CODE CIVIL (21 JANVIER 1801) – JEAN ETIENNE MARIE PORTALIS La fin de la terreur Tragédie de Robespierre : l’amour, l’armée, la trahison se côtoient. Comité de salut public : 10 personnes qui transmette a la convention, les décrets de la terreur est une œuvre collective La terreur est un système de gouvernement, une idéologie La question est de sauver la république ou de la voir mourir (soit on la sauve soit on la laisse) La fin justifie- t- elle les moyens ?

des Thermidoriens . En effet en 1793 , on assiste à un échec de la mise en place de la Constitution. La rédaction de la Constitution est confié en premier lieu aux Girondins , majoritaire à la Convention , ceux-ci seront même écartés de la Convention , en second lieu elle sera confié aux Montagnards , celle-ci se soldera également par un échec de leur projet de Constitution .Leur Constitution rédigé ne s'appliquera pas en France , puisqu'en automne 1793 la Révolution est menacé à l’extérieur

va mettre en place un appareil de gouvernement autoritaire à l’origine de cette « terreur ». Mise en place d’appareils de contrôle par le gouvernement révolutionnaire : - 2 organes principaux : Le comité de sûreté générale : il est crée par la convention (qui a remplacée l’assemblée) le 2 octobre 1792. Il est en charge de la police et de la justice révolutionnaire. Il assure la mise en place de la terreur en favorisant les dénonciations. Le comité de salut public : mis en place en mars 1793, il