Convention montagnarde

République Section I : La République Jacobine §1) La Convention girondine (20 septembre 1792 - 2 juin 1793) A) L’installation de la Convention girondine B) Le travail constituant §2) La Convention montagnarde et la Terreur (2 juin 1793-9 thermidor an II) A) La constitution de l’an I B) Le Gouvernement révolutionnaire Section II : De Thermidor au Directoire : la république des notables (1794-1799) §1) La Convention thermidorienne (juillet 1794-octobre 1795) §2) La constitution

la France dans la guerre. La France déclare ainsi la guerre à l’Autriche en 1792. Avec la guerre, la Révolution se radicalise, prend des formes plus dures. On en arrive à un véritable paroxysme révolutionnaire. -Ensuite vient la période de la Convention nationale, à la fin septembre 1792, à la suite de l’élection d’une nouvelle assemblée. S’ensuit une radicalisation de l’Assemblée qui élimine les plus modérés et radicalise tout le monde. Ce régime culmine à partir de 1793, date à laquelle s’installe

de septembre 1792 à la chute de Robespierre le 27 juillet 1794 est la plus dramatique de la Révolution. La Convention a duré de l'été 1792 à la Constitution de l'an III (22 aout 1795) et cette première phase marque l'apogée de la Révolution. Commencée dans l'enthousiasme de la proclamation de la République, La Convention voit rapidement éclater le conflit entre les Girondins et les Montagnards. Le gouvernement révolutionnaire et la Terreur judiciaire sont abattus en quelques jours par les thermidoriens

lui un modèle de la « vertu antique ». Pour exemple, lorsque Marat est accusé de fanatisme et de corruption à la Convention, David le défend criant « Le liberté triomphera ! » En effet, Marat est un tribun ardent, ombrageux et violent et surtout un patriote intrasigeant. Il est assassiné le 13 juillet 1793, par une jeune royaliste : Charlotte Corday. Le lendemain du meurtre, la Convention demande à David de peindre le portrait de Marat : le 20 octobre 1793 il est achevé et David l'expose chez lui Ce

le sentiment de la nature, devenant ainsi une figure d’inspiration pour la génération romantique. Après la Révolution, elle devint une fervente républicaine, et fut l’instrument de la promotion de son mari Jean-Marie Roland de La Platière dans la Convention girondine grâce à son salon politique. Elle fit de lui le ministre de l’intérieur des premiers gouvernements révolutionnaires mais il se rendit vite impopulaire pour sa trop grande mollesse. Manon devint la maîtresse de Buzot et resta avec ce dernier

thermidor an II, signe la fin de la grande terreur, mais également la mise en avant sur la scène politique des hommes de thermidor. En effet, ces hommes que l'on appel les thermidoriens, sont des hommes politiques ayant fait parti de la convention; des montagnards qui ont cherchés à se débarrasser par tous moyens de Robespierre ainsi que de sa guillotine qui tournait à plein régime et qui commençait à les menacer. Pour cela, ils n'ont pas hésité au cours de Thermidor à recourir à la force armée sous

l'Assemblée nationale supprime la monarchie et instaure une République. En 1793, il faut rédiger une nouvelle Constitution, que l'on nomme aussi la Constitution de l'an I, ou la Constitution montagnarde. Le suffrage universel a été instauré par la Constitution de 1793 inspirée des idées de Rousseau, sous la Convention nationale mais sans pour autant être appliqué. Durant cette Constitution de 1793, des éléments de démocratie directe tel que le référendum, la démocratie directe et le veto populaire sont

20 septembre : Victoire de Valmy 21 septembre : Première séance de la Convention et abolition de la royauté 1793 21 janvier : Louis XVI est guillotiné 06 avril : Le Comité de défense générale se transforme en Comité de salut public 31 mai-02 juin : Chute des Girondins 24 juin : Constitution de l'An I 04-05 septembre : La Terreur est mise à l'ordre du jour 17 septembre : Loi sur les suspects 10 octobre : La Convention décrète le gouvernement révolutionnaire jusqu'à la paix (19 vendémiaire

le jeu et aucun mécanisme ne permet de sortir de la crise. On fait appel aux citoyens pour mettre en place une convention nationale. On veut passer à un autre régime. Convention : renvoie à la technique américaine. Le corps législatif va céder place à la convention, les 20 et 21 septembre 1792, la royauté est abolit et le 22 septembre 1792 la république est proclamé (an I). La convention  Politiquement elle marque le virage à gauche de la révolution, elle est l’origine de la constitution de 1793 (jamais

faut de surcroît prévoir des institutions particulières. L'expérience de la Terreur et de la dictature de Salut public, c'est-à-dire de la perte des droits les plus élémentaires et de l'inefficacité des garanties, rend le travail constituant que la Convention nationale entreprend pour la seconde fois particulièrement exemplaire sur ce sujet. De quelle façon tire-t-elle les leçons de cet échec majeur pour le constitutionnalisme comme pour l'ordre républicain ? Des solutions neuves doivent-elles émerger