Copán

civilisation mère des Olmèques Influence religieuse et culturelle sur toutes les civilisations ultérieures La culture teotihuacan –monte alban TEOTIHUACAN : « La Cité où Sont Nés les Dieux » Arts et religion à MONTE ALBAN Apogée de la culture maya TIKAL ; COPAN ; PALENQUE ; BONANPAK… des cités Etats à l’architecture remarquable habitées par un peuple très religieux et aux connaissances astronomiques très avancées CHICHEN –ITZA ou le syncrétisme TOLTECO-MAYA. Les cultures des nomades : TOLTEQUES : un peuple

développement, extra européen. L’élément de différenciation est sur la méthode car l’ethnologie repose sur une seule méthode « l’observation participante ». Secondement elle accorde une place très importante au symbole, études des rites, mythes. Copans è 3 critères permettant de définir l’ethnologie 1) Toute ethnologie questionne avant tout la différence 2) Cette différence est constitutive de l’évolution de la société humaine 3) L’observation participante qui symbolise l’allé retour entre le

Traditionnellement l’ethno s’intéresse à l’importance des rites, des mythes et des perceptions symboliques du peuple. Il faut la différencier de la sociologie. D/ Les spécificités de l’ethnologie L’ethnologie se caractérise par 3 éléments selon Jean Copans :  on considère que le peuple que l’on étudie est différent. On va avoir tendance à insister à ce qui nous différencie des autres.  Non seulement on pense que l’autre est différent mais on pense que cette différence est inscrite dans l’évolution

dans les quartiers populaires des familles d'ouvriers issus de l'immigration, la démarche de recherche qualitative vise toujours à saisir d'une manière globale la vie collective d'un ensemble social dans l'ordinaire de ses dynamiques quotidiennes (Copans, 1999 ; Laplantine, 1996 ; White, 1995). Les questions de la relation à l'autre, de la distance culturelle et/ou sociale, et de leurs influences sur la nature et la validité relative des informations recueillies y jouent un rôle central. D'une manière

comparée » Polis, Revue camerounaise de science politique, numéro spécial 2001, 1-18. http://www.polis.sciencespobordeaux.fr/vol8ns/gazibo.pdf Abel Kouvouama, « Penser la Politique en Afrique », Politique Africaine, n° 77, 2000, pp. 5-15. Jean Copans, « Six personnages en quête d’un africanisme », Politique Africaine, n0 69, 1998, 89-108. Christian Coulon et Denis-Constant Martin, « Introduction » in C. Coulon, D.C. Martin, (dir.), Les afriques politiques, Paris, La Découverte, 1991, p. 7-26

terme consistent à favoriser les projets créateurs d'externalités régionales positives : la participation aux polygones de croissance pour la Chine et la réactiva tion corridors d'Afrique orientale et australe pour la République des sud-africaine. 1. Copans, 1995. 

noire, P.U.F, Paris, 1955, 529 p. BONNAFE P., Histoire sociale d’un peuple congolais, ORSTOM, Paris, 1987, 400 p. CEPED, La démographie de 30 Etats d’Afrique et de l’Océan indien : données de base sur la population, Paris, juin 1994, pp. 130-137 COPANS J., Afrique plurielle, Afrique actuelle : hommage à Georges Balandier. Les mystères des Brazzavilles noires, Karthala, Paris, 1986, pp. 255-263. DESJEUX D., Conscience lignagère et alliances de classes au Congo-Brazzaville, Revue Tiers-Monde, oct-déc

cercle des amateurs25. Mais surtout, la médiatisation du jazz ne se limite pas à la presse écrite : à partir de 1946, la radio d’État ouvre peu à peu ses ondes, sous la forme d’émissions hebdomadaires animées par Hugues Panassié, Charles Delaunay, Sim Copans, et surtout André Francis, qui inaugure en 1948 une longue carrière radiophonique, d’abord sur le Poste parisien de la Radiodiffusion française, puis sur la modulation de fréquence. La radio joue donc un rôle décisif dans la diffusion du jazz, d’autant

politique particulier de la publication de ce texte dans « La situation coloniale. Ancien concept, nouvelle réalité », French Politics, Culture and Society, vol. 20, n° 2, 2002, pp. 4-10. Sur les usages parfois intempestifs de cette notion, consulter Jean Copans, « La situation coloniale de Georges Balandier : notion conjoncturelle ou modèle sociologique historique ? », Cahiers internationaux de sociologie, vol. 110, juin 2001, pp. 31-58. 7 Frederick Cooper, « Grandeur, décadence… et nouvelle grandeur des

vecteur d‟avantages stratégiques. Il ne serait pas pertinent, d'analyser l‟entreprise informelle en se basant sur une rationalité purement classique qui conduirait à réduire le champ de l‟analyse aux seules variables économiques. Car comme le dit Copans (1996 cités dans « entreprises et entrepreneurs africains », « …l‟entreprise africaine serait donc entièrement soumise aux rapports sociaux ambiants. Cette recomposition complète, continue-t-il, produirait d‟emblée une perversité structurelle interdisant